Quand je repense,
A ton corps sur le mien.
Un désir intense,
Monte dans mes reins.
Tes mains me caressant,
le corps en ébulition,
ton souffle accélérant.
La nous ne formont qu'un,
Durant quelques instants,
Mais c'est tellement bon,
D'être insouciant.
A ce moment la je ne suis plus une femme mariée,
Mais ta maitresse.
Qui sans se soucié,
Vibre sous tes carresses.
Mais quant notre passion fini,
Qu'il faut revenir sur terre.
je m'aigri,
Je veux remonter en arrière.
Pour pouvoir a nouveau te faire l'amour,
Et te prouvé.
Que jusqu'a la fin de mes jours,
Je te désirerai.
A ton corps sur le mien.
Un désir intense,
Monte dans mes reins.
Tes mains me caressant,
le corps en ébulition,
ton souffle accélérant.
La nous ne formont qu'un,
Durant quelques instants,
Mais c'est tellement bon,
D'être insouciant.
A ce moment la je ne suis plus une femme mariée,
Mais ta maitresse.
Qui sans se soucié,
Vibre sous tes carresses.
Mais quant notre passion fini,
Qu'il faut revenir sur terre.
je m'aigri,
Je veux remonter en arrière.
Pour pouvoir a nouveau te faire l'amour,
Et te prouvé.
Que jusqu'a la fin de mes jours,
Je te désirerai.