Enlace la mort au bas de ce lit,
Vois cet etre qui perit,
Regarde ce maigre visage au joue meurtri,
Et au larme de souffrance tari,
Touche cet homme qui dans l'ombre ce tapi.
Toi qui pèrevoit mais ne pèredit,
Quand la femme donne vie,
Quand,assassin,devient le mari.
Suis ce maitre qui te conduit,
Quand ton corps s'affaibli,
Quand le mal,morribon,revit.
Dans ses yeux,la noirceur luit.
De son coeur,le malheur vomit.
Au loin,quand le malheureu,tu prie,
Il penetre dans ta chaire,dans ton esprit,
Celui que tu cheri,
Celui qui te maudit,
Toi qui pourtant le bennit,
Dans la bassesse il t'a suivi,
Emporter par ce fléau,cette maladie,
Celle par laquelle,ton coeur a été assombri.
Vois cet etre qui perit,
Regarde ce maigre visage au joue meurtri,
Et au larme de souffrance tari,
Touche cet homme qui dans l'ombre ce tapi.
Toi qui pèrevoit mais ne pèredit,
Quand la femme donne vie,
Quand,assassin,devient le mari.
Suis ce maitre qui te conduit,
Quand ton corps s'affaibli,
Quand le mal,morribon,revit.
Dans ses yeux,la noirceur luit.
De son coeur,le malheur vomit.
Au loin,quand le malheureu,tu prie,
Il penetre dans ta chaire,dans ton esprit,
Celui que tu cheri,
Celui qui te maudit,
Toi qui pourtant le bennit,
Dans la bassesse il t'a suivi,
Emporter par ce fléau,cette maladie,
Celle par laquelle,ton coeur a été assombri.