De bon matin je suis allée te chercher,
Les larmes aux yeux nous nous sommes embrassés,
Avec des murmures d'amour nous nous sommes enlacés,
Main dans la main nous sommes rentrés.
Trois longs mois sans se voir
Est une attente plus qu'interminable.
C'était certain que d'attendre jusqu'au soir
Nous n'en étions pas capables.
Tes yeux dans les miens, d'amour éclairés,
Tes lèvres sur les miennes, si douces et si sucrées,
Ton souffle dans mon cou, chaud et empressé,
Tes mains sur mon corps, pleines de volupté.
Sous tes caresses j'ai senti mon cœur s'emballer,
Ton corps de parcourir mes mains se sont empressées,
Bientôt des soupirs se sont élevés
Et nous avons laissé la passion nous emporter.
J'ai ainsi pu contempler avec félicité
Tes beaux yeux mi-clos de plaisir
Alors que ma bouche dévorait avec avidité
Les parcelles de ta peau qu'elle pouvait parcourir.
La caresse suave de tes doigts
A déchaîné des torrents de désir en moi,
Et mes gémissements étouffés
Te priaient de continuer sans t'arrêter.
C'est avec une avidité prononcée
Que nos corps ont ensuite fusionnés,
Plus qu'heureux de se retrouver
Après avoir si longtemps été séparés.
Baisers passionnés,
Caresses empressées,
Murmures étouffés,
La jouissance nous a emportés.
Couchés, nus, dans notre grand lit,
Tous les deux jusque dans les os alanguis,
Je t'ai embrassé, homme de ma vie,
Et, avec un sourire, tu m'as dit que de moi tu avais encore envie.
Nos corps de sueur emperlés,
Par la fenêtre, la nuit nous avons contemplée.
Nous ne nous étions pas rendus compte qu'elle était tombée,
Mais, pour nous, elle ne faisait que commencer.
~ * ~ * ~ * ~ * ~ * ~
Je t'aime plus que tout mon homme, mon ours.
Ton crabe.
Les larmes aux yeux nous nous sommes embrassés,
Avec des murmures d'amour nous nous sommes enlacés,
Main dans la main nous sommes rentrés.
Trois longs mois sans se voir
Est une attente plus qu'interminable.
C'était certain que d'attendre jusqu'au soir
Nous n'en étions pas capables.
Tes yeux dans les miens, d'amour éclairés,
Tes lèvres sur les miennes, si douces et si sucrées,
Ton souffle dans mon cou, chaud et empressé,
Tes mains sur mon corps, pleines de volupté.
Sous tes caresses j'ai senti mon cœur s'emballer,
Ton corps de parcourir mes mains se sont empressées,
Bientôt des soupirs se sont élevés
Et nous avons laissé la passion nous emporter.
J'ai ainsi pu contempler avec félicité
Tes beaux yeux mi-clos de plaisir
Alors que ma bouche dévorait avec avidité
Les parcelles de ta peau qu'elle pouvait parcourir.
La caresse suave de tes doigts
A déchaîné des torrents de désir en moi,
Et mes gémissements étouffés
Te priaient de continuer sans t'arrêter.
C'est avec une avidité prononcée
Que nos corps ont ensuite fusionnés,
Plus qu'heureux de se retrouver
Après avoir si longtemps été séparés.
Baisers passionnés,
Caresses empressées,
Murmures étouffés,
La jouissance nous a emportés.
Couchés, nus, dans notre grand lit,
Tous les deux jusque dans les os alanguis,
Je t'ai embrassé, homme de ma vie,
Et, avec un sourire, tu m'as dit que de moi tu avais encore envie.
Nos corps de sueur emperlés,
Par la fenêtre, la nuit nous avons contemplée.
Nous ne nous étions pas rendus compte qu'elle était tombée,
Mais, pour nous, elle ne faisait que commencer.
~ * ~ * ~ * ~ * ~ * ~
Je t'aime plus que tout mon homme, mon ours.
Ton crabe.