Décevants

[CHENNOUFI]

Décevants

Même si c’est ainsi
Tragique, hélas soit mon sort
Dure, je sais est la vie.
Fait mal, elle torture
l’ami devient ennemi
Quand t’il me fait du tort
Alors se fane a jamais
Dans nos cœurs les fleurs
Même le miel ne guérit
Mes profondes blessures
Faite hélas par la vie
Par son tranchant, humeur
Triste dans mon coin esseulé
Je me cède à tes lois seigneur.

Le hasard et les jours
Rapide hélas, sont leurs pas
C’est pour ça, mon bonheur
A connu des triste fin
C’est pour ça, de mon cœur.
Des mots tristes, à mon quatrain
Toutes mes peines, et mes douleurs
Causé par ceux que j’ai admirés autrefois
Ceux que j’ai donnés de moi-même le meilleur
Aujourd’hui pour eux je suis devenu proie​

J’ai cherché alors, au fond de leurs cœurs.
Des repenses, simples a mes questions.
D’où vient ce mépris, qui fait fondre l’or
Sa pureté et son brillant
Cette arrogance, et ces efforts
Au point de m’écarté
Moi au cœur velours
Par leurs épines, j’ai été piqué

Croyant renaître en moi l’amour
La joie de vivre, que j’ai perdu
Après avoir été piqué au cœur
Je ne sais vraiment pas comment.
Est-ce que ma naïveté candeur
Qui a aveuglé mes yeux
Au point n’a rien senti mon cœur
Cette lame tranchante, de la trahison ​

J’ai trouvé hélas, des actes qui déçoivent.
Et un raisonnement désolant
J’ai trouvé une amitié qui s’achève.
Et mensonge dans les mots
J’ai trouvé, cendre tous mes rêves
Effacé par la haine et son feux​

Ainsi l’égoïsme au fonds qui règne
L’individualisme et trahison
C’est pour ça, grande en moi est ma peine.
Me déçoit leurs rendez-vous
À cause d’eux, mon cœur saigne.
Malgré ma gentillesse et mes dons
Dans mon cœur, leurs voix s’éloignent.
Dans le vide comme un écho​

Personne là pour alléger
La peine forte, de mon cœur
Mes larmes coulent en pluie.
Puisé ce soir de ma douleur
Ni printemps ni l’été
Même avec leurs belles fleurs
Ni leurs parfums qui éblouit
Apaise hélas mes atroce douleurs.​

Et même ceux que j’ai aimés
Ceux qui ont eu tout mon amour
Sauf ceux que j’ai enterrés
Pour eux moi j’avale ma douleur
Loin de moi Aujourd’hui
Dis-moi destin, combien de tours
Dans ton sac, a me jouer
Trouve d’autre, et laisse mon cœur
Il n’est pas encore guérit ​

Quand je pense à mes jours
Je me sens tourmenté.
Triste, hélas, soit mon sort.
Mon silence a des cris
Fait pleurer même les morts

Soudain rien, sans abri
En plein froid, sans chaleur
Mes proches ailleurs dispersés
Et l’hiver qui s’installe au cœur.
Le froid et la pluie
Sans toit pour mon corps
Ni rouge-gorge pour me chanter
Sa Melody, qui réjouit le cœur
Rien que le vent, et l’ennui
Et le désespoir qui murmure
Bientôt, tu seras enterré.
J’espère auprès de mes amours.

Que crains-tu là mon cœur ?
Tu trembles pourtant à chaque fois.
Est-ce que tu cèdes à la peur ?
Est-ce que tu baisses les bras ?
Pourtant, tu as connu des jours.
Souviens-toi autrefois.
Caractère tellement fort
Tu affrontes qui que ce soit.
Même la douleur de la mort
N’arrive pas à arrêter tes pas

Malgré mon mal et mes douleurs
D’autres joies viendront sûrement.
Car mon allier est le seigneur
Entre ses doigts, les cœurs des gens

Malgré les gouttes de tous mes pleurs
De toutes les épreuves que j’ai connues
Je laisse à celui qui lit les cœurs
Celui qui fait le mauvais et le beau temps
Sa beauté ce soir moi j’implore
Pour ma plaidoirie, sa miséricordieux
Même si l’injustice humaine torture
Car, les gens sont décevants.

Si je compte tous mes rêves
Je fais d’eux une épopée
Avec le temps ils s’achèvent
Dans l’air évaporé
Pour mon cœur je veux une trêve
Peut-être qu’il va être guérit
Mes blessures sont tellement graves
A cause des sottises des amis

Si je compte toutes mes larmes
Je fais d’eux une pluie
Pour ce volcan qui me flamme
Me torture a l’infini
Tant d’épreuves et de drame
Moi j’ai connu, dans ma vie
Pardon je demande, à ceux que j’aime
Pour les erreurs involontaires que j’ai causées
Ainsi je se termine ce poème
Peut-être demain il y aura d’autre écrit​