Début du voyage
Elle marche à l’ombre des étoiles
Ses pas furtifs ne résonnent pas sur l’asphalte
Une lune ronde éclaire d’une lueur fantomatique
Les rues vides asymétriques
Son mentaux frôle le sol et lui donne l’allure mystique
D’un fantôme ou de la mort tragique
Elle s’arrête devant le cimetière
Relève la tête jette un œil aux bruyères
Tous respire la tristesse, la mort, et la mélancolie
Elle sait que sa place n’est plus ici
Elle regarde le ciel et sourie, son chemin continue
Elle reprend sa marche jusqu'à ce qu’on ne la voie plus