En été, les plantes sont en fleur et tout le monde sourit ;
Cette chaleur qui remplit nos cœurs et qui fait notre bonheur ;
Tout le monde est content et croit en cette utopie ;
C’était sans compter ce tonnerre qui crie, cet orage de malheur.
En automne, les plantes fanent et les feuilles tombent par terre ;
Un frisson nous parcourt et la mort remet les pieds sur terre ;
Quelques penseurs rêvent encore à une clairière ou au béton en fleur ;
Mais la mort s’empare de cette Terre et brûle son cœur.
En hiver, la mort finit sa sculpture morne en son effigie ;
Elle plonge le monde comme une nature morte dans une insomnie ;
Les plantes n’existent plus et ne sont plus qu’un rêve perdu ;
La patience est une vertu et on attend une renaissance dû.
Au printemps, la mort trépasse d’être las et se laisse soigner ;
Les plantes renaissent et guérissent ce monde blessé ;
Les utopistes retrouvent leur rêve, le cycle est terminé ;
Ils ne savent pas que le monde est juste une terre minée.
Cette chaleur qui remplit nos cœurs et qui fait notre bonheur ;
Tout le monde est content et croit en cette utopie ;
C’était sans compter ce tonnerre qui crie, cet orage de malheur.
En automne, les plantes fanent et les feuilles tombent par terre ;
Un frisson nous parcourt et la mort remet les pieds sur terre ;
Quelques penseurs rêvent encore à une clairière ou au béton en fleur ;
Mais la mort s’empare de cette Terre et brûle son cœur.
En hiver, la mort finit sa sculpture morne en son effigie ;
Elle plonge le monde comme une nature morte dans une insomnie ;
Les plantes n’existent plus et ne sont plus qu’un rêve perdu ;
La patience est une vertu et on attend une renaissance dû.
Au printemps, la mort trépasse d’être las et se laisse soigner ;
Les plantes renaissent et guérissent ce monde blessé ;
Les utopistes retrouvent leur rêve, le cycle est terminé ;
Ils ne savent pas que le monde est juste une terre minée.