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Crève coeur...

Lyseria

modérateur
#1
Mon coeur à été fendu en deux
quand j'ai vue les yeux de cette femme à l'agonie,
tellement maigre accompagner de son bébé ,
dans ces yeux cette tristesse cette détresse. Qui crève un coeur
un jour ou il faisait si froid dans la poussette son bébé
pris la main dans le sac cherchant à partir
les Vigiles l'ont arrêtent moi mon coeur de maman
à parler l'aidant à fuir me rendant complice de son acte
ils m'ont interpeller je l'ai nous l'avons tous défendu bec est ongle
offrant pour elle nos denierS pour quelle puisse manger avec son bébé
quand la misère est au coin de nos rues quand la faim vous fait faire des choses incongrues
crève coeur ,un crève coeur
pour cette femme si maigre pour cette femme honteuse de son geste
je ne l'ai pas blâmer ni juger juste pleurer de voir cette misère
qui gouverne nos vies et nous pousse à faire des choses pour notre survie
j'avez besoin de partager cette émotion car j'ai tant pleurer maudit cette vie de merde
qui nous met à terre sans rien demander
mon coeur est lourd mon coeur pleure
crève coeur ,crève coeur
Quand la faim vous pousse
si loin quand ces politicien
nous mette à genoux
notre liberté n'est pas une liberté
même celle de penser ils nous l'ont interdit



 

maryvelo

Maître Poète
#3
Tu as fait preuve de générosité et de courage face à la détresse de cette femme,les vigiles font leur travail certes mais encore une fois il faudrait prendre les vrais fraudeurs de grand chemin.Pauvre maman et son bébé ils avaient juste les "tripes" au bout des doigts.
Merci de ton bon coeur Lyseria et mille bisous.
 

toutsimple

Maître Poète
#4
Laisser son cœur s'exprimer est la meilleur des formes d'évacuer ce que l'on ressent
L'écriture est une échappatoire, elle est médicament.
Votre texte me fait penser à ce film:
"La Loi du marché", un film brutalement contemporain avec Vincent Lindon
Sincère amitié
 

Lyseria

modérateur
#5
Tu as fait preuve de générosité et de courage face à la détresse de cette femme,les vigiles font leur travail certes mais encore une fois il faudrait prendre les vrais fraudeurs de grand chemin.Pauvre maman et son bébé ils avaient juste les "tripes" au bout des doigts.
Merci de ton bon coeur Lyseria et mille bisous.
je sais bien qu'ils font leurs travaillent je ne les ai pas blâmer mais j'ai bondit comme une bête féroce
pour l'aider j'ai offert mon argent nous avons tous offert notre argent pour elle
 

Lyseria

modérateur
#6
quand les autres se ruée à dire mais elle à volée c'est normal
j'ai levé la voix haute pour la défendre
croyez moi que je sais me faire entendre
faut que ça sorte j'ai encore ses yeux de détresse dans la tête
elle avait son bébé dans les bras pour échapper aux vigiles
putain de vie de merde qui vous met a genoux
quand vous ne rentrez pas dans les sats
 
Dernière édition:

Lyseria

modérateur
#7
Laisser son cœur s'exprimer est la meilleur des formes d'évacuer ce que l'on ressent
L'écriture est une échappatoire, elle est médicament.
Votre texte me fait penser à ce film:
"La Loi du marché", un film brutalement contemporain avec Vincent Lindon
Sincère amitié
merci toutsimple j'avoue que cela m'apaise un peu
malgré ce regard qui me hante
 

toutsimple

Maître Poète
#8
merci toutsimple j'avoue que cela m'apaise un peu
malgré ce regard qui me hante
Il faut, parfois, "lâchez prise sans laissez tomber", sinon on porte tout le malheur du monde... Et votre geste est merveilleux, c'est cela que vous devez garder en vous.
Il vous honore.
Merci
 
Dernière édition:

Lyseria

modérateur
#9
crève coeur d'une vie meurtrie
crève coeur d'une vie de survie
crève un coeur à l'agonie
dans tes yeux cette détresse
dans tes bras ce bien
que tu portes le protegeant
des regards infidèle
crève coeur d'une mère
crève coeur d'une destiné
chemin déprimé
violence en elle
de n'être qu'une simple délinquante
violence en elle ces regards accusateur
sans comprendre
sans vouloir comprendre
la juger la blamer
pour son geste d'amour
quand dans mes larmes
la solitude me pèse
quand dans mes larmes
coulent cette injustice
en drame je n'ai que mon coeur
je n'ai que ma tendresse pour apaiser un chagrin
je n'ai que mon sourire pour donner un peu de joie
je n'ai que mes mots pour apaiser les tempêtes
je n'ai que mon coeur pour vous aimez​
 

toutsimple

Maître Poète
#10
On se forge une opinion qui est humaine mais jamais juger "définitivement" .
Et cette fin de votre poème vous résume si bien :

"je n'ai que ma tendresse pour apaiser un chagrin
je n'ai que mon sourire pour donner un peu de joie
je n'ai que mes mots pour apaiser les tempêtes
je n'ai que mon cœur pour vous aimez "
 

Voile bleu

Maître Poète
#13
La largeur de votre cœur me touche beaucoup Lyseria, et votre témoignage tout autant!
C'est profondément Terrible, je ne peux que compatir! Un besoin de l'exprimer ouvertement
tout en votre honneur;
Si seulement la grandeur d'âme était de celle que l'on pouvait cloner!
 
#14
bravo tu as réagit en être humain certain parfois ne voies plus pris dans la banalité d'une société inhumaine qui nous asservie que souvent on oublie de s'indigner devant la misère et l'injustice
si tu aurais vu la détresse dans ses yeux serrant tout contre elle son bébé
et tous ces gens autours qui disaient c'est normal elle a volé
putain je suis rentrée dans une colère noire je les auraient tous bouffés
j'ai aucun mérite j'ai fais ce que je devais faire mon chat point
 
#15
La largeur de votre cœur me touche beaucoup Lyseria, et votre témoignage tout autant!
C'est profondément Terrible, je ne peux que compatir! Un besoin de l'exprimer ouvertement
tout en votre honneur;
Si seulement la grandeur d'âme était de celle que l'on pouvait cloner!
c'est l'amour qu'il faudrait cloner l'amour de son prochain
on ne peux rester indifférent face à tend de détresse
ces yeux resteront graver dans mon coeur
je suis écœurée de voir si peut de solidarité
 
#16
j'ai le bleues
dans mon coeur cette chanson
qui n'arrête pas de me tarauder
extirper ce mal de vivre
cette folie humaine
n'être que neige au soleil
j'ai encore son regard dans ma tête
qui me hante
 
A

Alain

Guest
#18
Une main tendue

Je vous prie de croire et d’écouter
De nos jours toutes les classes sont concernées.
Divorce, chômage et précarité,
À tous les étages de la société.

Je n’y ai pas cru,
« Ça n’est pas pour moi »
Mais les démons de la rue
Vous aspirent plus vite qu’on ne le croie…

Par orgueil ou par fierté,
Je suis fort, je reste muet.
Mais ni l’honneur, ni la dignité
Ne pourront vous aider

La faim et le froid
Sans cesse vous torturent
L’estomac et les doigts
Gantés d’engelures.

Les sourires se défont
Du fond de nos maisons en carton
Où la pluie se confond
Avec la sueur sur nos fronts.

Pleurant en silence
Quelques larmes glacées
À prier la clémence
La fin de la faim tant espérée…

Moi j’ai eu cette chance
Que d’autres n’ont pas :
Un cadeau de la providence,
Une main tendue vers moi.

Éternelle reconnaissance
Envers une âme généreuse.
Un plein d’espérance
De bonté contagieuse.

Aujourd’hui j’écris pour ceux
Dont l’espoir s’efface peu à peu.
Un matelas, une couverture pour deux,
C’est presque rien, c’est tellement peu…

Si le cœur vous en dit, tendez-leur la main
Ne serait-ce qu’un sourire pour tenir jusqu’à demain
Nous sommes tous pareils, nous sommes tous des êtres humains
Réfléchissez !!... Car ce sera peut-être vous demain !!
 
#19
Une main tendue


Je vous prie de croire et d’écouter
De nos jours toutes les classes sont concernées.
Divorce, chômage et précarité,
À tous les étages de la société.


Je n’y ai pas cru,
« Ça n’est pas pour moi »
Mais les démons de la rue
Vous aspirent plus vite qu’on ne le croie…


Par orgueil ou par fierté,
Je suis fort, je reste muet.
Mais ni l’honneur, ni la dignité
Ne pourront vous aider


La faim et le froid
Sans cesse vous torturent
L’estomac et les doigts
Gantés d’engelures.

Les sourires se défont
Du fond de nos maisons en carton
Où la pluie se confond
Avec la sueur sur nos fronts.

Pleurant en silence
Quelques larmes glacées
À prier la clémence
La fin de la faim tant espérée…

Moi j’ai eu cette chance
Que d’autres n’ont pas :
Un cadeau de la providence,
Une main tendue vers moi.

Éternelle reconnaissance
Envers une âme généreuse.
Un plein d’espérance
De bonté contagieuse.

Aujourd’hui j’écris pour ceux
Dont l’espoir s’efface peu à peu.
Un matelas, une couverture pour deux,
C’est presque rien, c’est tellement peu…

Si le cœur vous en dit, tendez-leur la main
Ne serait-ce qu’un sourire pour tenir jusqu’à demain
Nous sommes tous pareils, nous sommes tous des êtres humains

réfléchissez !!... car ce sera peut-être vous demain !!
[/fo
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merci alain la misère n'épargne personne soupir j'en reste muette devant vos mots
 
Dernière édition: