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Course

Bioneye

Nouveau poète
#1
Je cours, je souffle, et respire par ma bouche
Par terre, je vois, mes amis maladroits,
Dormant, par terre, car l’ennemi adroit,
D’une fureur extérieure, à fait mouche.

Je cours, toujours, rescapé du tonnerre,
Parmi tous mes amis, courants ou à terre,
On crie, ensemble, se donnant du courage,
Allant vers l’ennemi, mouchant avec rage.

-Volants en éclats, tombant dans le bain,
Échappant aux pièges, nous sommes les lapins.
Éclairant de loin lâchement les lapins,
Ce sont les chasseurs, ennemis des miens-

Je cours, toujours, et j’ai peur par amour,
Oui, mon amour, je l’aimerai toujours…
Mais là je cours, je souffle ; et la fin approche.
J’y pense. Mais en plus de ma femme, aux proches.
Car ils me reverront, une fois encore,
Au moment où moi, je jouerai au mort.

!!!(Pan!)
Je suis piqué ! Et dans le bain entré !
Bain de boue et d’eau rouge ! Horrifiant !
Je tombe sur mon vieil ami Macé,
Qui dort en ce lieu depuis quelque temps.


Ma piqûre est maintenant robinet…
Je me relève, et vois, de tous côtés,
Un champs de vautour, des champs invastés…
Mais Matin monte, nous allons gagner.

L’Espoir nous prend, et le Sommeil nous fuit,
Le Sommeil les prend, l’Espoir les fuit.
Moi le Sommeil me prend, l’Espoir me fuit,
Pourtant je ne suis pas mon ennemi..?

Mais suis, par les volontés de la Nuit,
Car jouant au jeu, je suis puni.
Je cours sur les Champs-Élysées,
Et maintenant, je vois l’arrivée.

Kevin