c'était un jour de rentré
à 8h au lycée j'entrait
la cour le soleil éclairait
vide le couloir était
seul avec moi même je demeurait
Soudain
une flèche passa à travers moi
je senti la foudre s'abattre sur moi
comme une force magnetique jaillisant au fond de moi
comme gravitation s'en allant me laissant en lévitation
Soudain
je senti mes côtes se félé
mon coeur s'affolant en quête de libértée
voulant sortir de ma poitrine attiré
par cette force divine approchant à pas lent
Soudain
l'ange, près de moi il passait
son parfum m'enivrait
son rire m'offrait l'effet
d'un feu d'artifice qui éclatait
Soudain
Elle s'arrêta
Se figea
se tourna vers moi
nos regard se croisèrent
mes yeux se limitèrent
à ses yeux et son sourir
qui me rendirent le sourir
mais la vie est bien austère
d'une injuste malice
car le maléfice
enplissait cette fille
Qui soudain
d'une caresse douloureuse me fouetta le visage
en riant tout le temps
la lumière
laissa place à l'enfer
un noir total me voila le regard
mes yeux se sont fermé mes pensée mon hanté
Elle me dit
comment peut tu croire qu'un ringard comme toi
puisse sortir un jour avec une beauté comme moi?
Soudain
je vit les flames grandissantes dans sont regard
des éclaires menassantes
beaucoup moin acceuillante
que la joie du coup de foudre
qui m'emplissait jadis d'un bonheur sans égal
qui m'emplissait à présent du regret maximal
la malfaisance n'a donc pas de barrière?
quel est la joie de procurer un tel chagrin?
ce que je retient
c'est que ce fut la plus dur farce qu'on est pu me faire
Comme un mulet..........Amoureux d'une Licorne
RAFFAL
à 8h au lycée j'entrait
la cour le soleil éclairait
vide le couloir était
seul avec moi même je demeurait
Soudain
une flèche passa à travers moi
je senti la foudre s'abattre sur moi
comme une force magnetique jaillisant au fond de moi
comme gravitation s'en allant me laissant en lévitation
Soudain
je senti mes côtes se félé
mon coeur s'affolant en quête de libértée
voulant sortir de ma poitrine attiré
par cette force divine approchant à pas lent
Soudain
l'ange, près de moi il passait
son parfum m'enivrait
son rire m'offrait l'effet
d'un feu d'artifice qui éclatait
Soudain
Elle s'arrêta
Se figea
se tourna vers moi
nos regard se croisèrent
mes yeux se limitèrent
à ses yeux et son sourir
qui me rendirent le sourir
mais la vie est bien austère
d'une injuste malice
car le maléfice
enplissait cette fille
Qui soudain
d'une caresse douloureuse me fouetta le visage
en riant tout le temps
la lumière
laissa place à l'enfer
un noir total me voila le regard
mes yeux se sont fermé mes pensée mon hanté
Elle me dit
comment peut tu croire qu'un ringard comme toi
puisse sortir un jour avec une beauté comme moi?
Soudain
je vit les flames grandissantes dans sont regard
des éclaires menassantes
beaucoup moin acceuillante
que la joie du coup de foudre
qui m'emplissait jadis d'un bonheur sans égal
qui m'emplissait à présent du regret maximal
la malfaisance n'a donc pas de barrière?
quel est la joie de procurer un tel chagrin?
ce que je retient
c'est que ce fut la plus dur farce qu'on est pu me faire
Comme un mulet..........Amoureux d'une Licorne
RAFFAL