Je le sais, je le vois, Dans tes yeux, ce désarroi.
Sur tes lèvres, un sourire.
Une mimique fausse, un désir de sortir.
Je le sais, je le vois, je le comprend, Ton étrange sentiment, ressentiment.
Dans tes yeux, une froideur de glace,
Un brèche, un barrage qui casse, je passe.
Je le sais, je le vois, je la comprend, je la ressens,
Cette étrange sensation de plusieurs instants. Dans ton cœur, un brouillard,
Une gêne, une peur, un désespoir.
Je le sais,
Je le vois,
Je les comprend, je les ressens, je les entends,
Ces étranges pulsations du temps, ces infimes battements,
De nos cœurs à l’unisson.
Nous unissons nos pulsations.
Je le sais.
Je le vois.
Je comprend.
Je ressens. J’entends.
Tes cris muets, et mes débattements vains.
Ta respiration rauque, mon cri soudain.
Nos cœurs s’embrument, pas nos esprits.
Et cet amour est impossible, et ce désir,
Qui nous rend si paisibles, si étourdis
Me fait souffrir.
Ces sentiments se heurtent à leurs mots futiles et dérisoires.
Le brouhaha de leur rires se cogne à notre silence assourdissant.
Je nage, tu plonges dans le brouillard,
Tandis que nous vivons ces quelques instants
Sur tes lèvres, un sourire.
Une mimique fausse, un désir de sortir.
Je le sais, je le vois, je le comprend, Ton étrange sentiment, ressentiment.
Dans tes yeux, une froideur de glace,
Un brèche, un barrage qui casse, je passe.
Je le sais, je le vois, je la comprend, je la ressens,
Cette étrange sensation de plusieurs instants. Dans ton cœur, un brouillard,
Une gêne, une peur, un désespoir.
Je le sais,
Je le vois,
Je les comprend, je les ressens, je les entends,
Ces étranges pulsations du temps, ces infimes battements,
De nos cœurs à l’unisson.
Nous unissons nos pulsations.
Je le sais.
Je le vois.
Je comprend.
Je ressens. J’entends.
Tes cris muets, et mes débattements vains.
Ta respiration rauque, mon cri soudain.
Nos cœurs s’embrument, pas nos esprits.
Et cet amour est impossible, et ce désir,
Qui nous rend si paisibles, si étourdis
Me fait souffrir.
Ces sentiments se heurtent à leurs mots futiles et dérisoires.
Le brouhaha de leur rires se cogne à notre silence assourdissant.
Je nage, tu plonges dans le brouillard,
Tandis que nous vivons ces quelques instants