Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Résultat du concours concours: sur la route de l'humour

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

LLUMIERELIVE

Maîtresse des concours
Membre du personnel
#1
CONCOURS : sur la route de l'humour
Thème retenu d'après une suggestion de GaëtanDragon



rire.jpg


Du 22 octobre au 1er novembre
Résultats le 3 novembre
Envoi de vos poèmes en copier/coller sur mon MP


Thème :
Humour en toute sa gamme…Démontrez que vous sortez de « l'école du rire » en proposant des histoires humoristiques, des sketches … les jeux de mots seront les bienvenus !


Contraintes :
Faites nous rire avant tout
Rimes croisées ABAB
Nombre de syllabes non imposé
20 vers au minimum
Attention à l'orthographe et à la ponctuation !


Vos poèmes seront notés comme à l'accoutumée avec impartialité et dans le respect total des consignes.


Chef de jury : Llumierelive
Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur mon MP



Riez en l'écrivant et vous nous ferez rire forcément


****************

médaille d'or COQHARDI
médaille d'argent REIUQRAPELCRAM
médaille de bronze LECOEURENTRETESMAINS



1 Vagabondage en France. FYSCO 8.37

Belle idée que ce GPS, une drôle d'embardée.
Véritable sketch bien drôle et bien tourné
Bien extravagué ! ça déraille…j’ai souri





Est-ce que je déraisonne,
Croyant partir à Billé,
Mon GPS qui déconne:
A Poil, me suis retrouvé.


Est-ce que je déménage,
Sur l'écran Seix demandé,
Mon GPS hors d'usage:
Monteton, m'a proposé.


Et maintenant je fantasme
Barby, pourquoi pas rêver,
Mon GPS a un spasme:
Espère, m'a renvoyé.


Croyez-vous que j'élucubre
Bezons, envie d'y passer,
Mon GPS est lugubre
C'est Mariol qu'il m'a pointé.


Et voila que je délire,
Il faut que je vois Seyssins,
Mon GPS me fait lire
Saligos, c'est pas malin.


Faut-il que je vous raconte,
Chatte, abri espéré,
Mon GPS, c'est la honte:
Trécon, m'a étiqueté.


Voulant avec ma voiture,
Anus, Yonne, pénétrer,
Mon GPS dénature:
Montcuq, on a visité.


Pensez-vous que je radote,
Dancé, lui ai suggéré
Mon GPS qui clignote:
Boulot, route à pratiquer.


Faut croire que je divague,
Ai Unverre commandé,
Mon GPS extravague:
Je suis de retour, Bourré!


C'est sur que là, je déraille,
Ai La Flotte précisé,
Mon GPS, sa trouvaille:
Vitreux, me suis réveillé.



*****************


2 Univers cité ou université ! LURON1er 7.1

De bons jeux de mots.
Une belle panoplie de jeux de mots, regrette qu’un fil conducteur ne les relie pas tous entre eux
Un peu confus, pas d’humour en salves




L'étable à la colle des sorts
En erreurs volontaires.
Les tables de l'école d'efforts
En saveurs à ne pas taire
A la colle du sort, ils disent,
S'ils auraient tété, las,
A l'école d'efforts, je bise,
S'ils avaient été là,
Ils auraient été plus bêtes,
Ovins, seraient devenus,
Ils seraient mutés, moins bêtes,
Aux vingt, seraient parvenus,
En allant vers la défaite,
De l'âne, en verraient le bonnet,
En allant faire des fêtes,
D'exams, en seraient abonnés,
De raies ainsi sans sonnets,
Finiraient par oublier,
De réussites sanctionnées
Deviendraient bientôt publiées.


************





3 Pour toi, à prendre au pied de la lettre. LURON 1er 7.47

Une belle histoire, bons jeux de mots, j'ai souri.
Tout en jeux de mots mais l’humour n’est pas au rendez-vous
Humour bien amené




Je prends ces quelques lettres
Pour t'écrire des doux mots,
Et t'offrir cette lettre
Pour ôter tous tes maux.


Je la mets dans l'enveloppe,
Moi, le petit timbré,
Par un coup de baguette, hé hop,
Pas même oblitérée.


Hé, c'est là qu'on sonne,
C'est une nouvelle phase,
Le facteur te la donne,
Tu vas lire mes phrases.


J'imagine, je la vois, elle,
Par moi, son p'tit gars virtuel,
Se délectant de mes voyelles,
Peut-être, les apprécie-t-elle !


J'ai cassé ton accent grave
Pour mon accent aigu,
Et encore, je relave,
Qui vénère ta vertu.


J'enlève le circonflexe
Ainsi que ce drôle, le tréma,
De ce sire si complexe,
Que je trouve plutôt bas.


J'enlace avec des virgules,
Idiots sont ces deux points,
Pour que mes mots circulent,
Toujours en contre points.


Parfois à court d'argument,
Et si parfois je trime,
Jamais ne nargue, jamais ne ment,
C'est pour trouver la rime.


Et si d'un petit trait,
C'est encore pour rayer,
Je dessine un tiret,
Tous tes termes enrayés.


Je le trouve con ce texte d'amour
Mais, pour elle, j'ai fait ce poème,
Dans ce maigre contexte d'humour,
Et j'ai du pot, elle aime.


***********


4 Promesses du jeu de paumes IBOUJO 7.37

Bien écrit mais plus érotique que drôle.
Erotisme mis en humour
Eh ! c’est coquin



Il aime la porcelaine fragile de mon visage
Le circonflexe élevé dessous mes émeraudes
Mon regard , miroir d'espoir qu'à mon âge
L 'attire pour boire et l'invite à maraude


Mes yeux sont en accord avec mes cheveux roux
Crinière flamboyante au tain de mon automne
Qui dispense d'un ton : "Bel ami voulez vous
Bien aider votre muse dont la toison foisonne"


Au plus bas d'elle même sa sœur y est cachée
Vous pourrez constater en lui faisant promesse
D'anoblir le ventre de ses fesses en ras satiné
De votre doigt armé d'une lame qui n'aura cesse


Lié au serment du jeu de paumes , votre toucher
Dans la récente épaisseur de la touffe disparue
Viendra de sa caresse tendue, agrémenter
Votre inconnu dans ses petites lèvres nues


***************



5 Folle romance SAMSARA2 8.25


J'ai bien aimé ce ménage endiablé, une chute bien amenée.
3ème quatrain : balai ne rime pas avec entremêlées, un ménage conté dans l’humour
Un ménage qui déménage


Viens voir le ciel çà sent l'orage
Pousse le tapis on va danser
Cette romance qui n'a pas d'âge
Tout se partage viens badiner


Promis je ne serais pas sage
Viens on va tout épousseter
C'est la révolution ménage
Crois-moi la maison va briller


Es-tu prêt pour ce décapage
Je vais te faire la danse du balai
Pour que tu lustres le carrelage
Mains batailleuses entremêlées


On va faire valser la sauvage
Toutes les pièces vont y passer
Sens-tu la pulsion nettoyage
Déhancher toutes tes pensées


Donne tes doigts à l'abordage
Tout ce qui assombrit la propreté
On va le libérer de nos rages
Car rien ne doit être emprisonné


Et puis après pour ton courage
Ta sueur sera récompensée
Sens-tu la douceur que dégage
Le bain des huiles parfumées


Viens mon amour sur mon corsage
Pizza anchois pour le diner
Tu vois que tu aimes le ménage
La nuit ne fait que commencer


*****************
6 Alex en drain. LURON 1er 8.16

"Alex en drain " : un bon jeu de mot, mais le seul ! Dommage. Bien écrit.
Approche humoristique de l’Alexandrin
Alex en drain remanié avec entrain



Un tuyau, j'en ai marre de cet Alex en drain,
Il s'incruste, ici personne n'avait claque sonné,
Il nous purge comme des crétins, avec entrain,
Demandant des alexandrins dans un sonnet.


Si pour certains adeptes cela coule de source,
Mes termes bons ou mauvais arrivent l'un après l'autre,
Je le dis ici bas, j'en ai plein les bourses !
Car dans l'improvisation, toujours je me vautre.


Avec ces manières baroques de pieds en douze,
Faut-il ici encore en rire ou en sourire,
J'ai essayé et bien mis mes pieds dans la bouse,
Pour mes poèmes que je compose en bons loisirs.


Oui, chacun apprécie peu ou prou mon humour,
Car il est là, toujours caché entre les lignes,
Surtout quand je le mélange bien avec l'amour,
A vous de le trouver, même si je vous fais signe.


Et si l'esprit est planqué dans un jeu de mot,
C'est l'énigme dissimulée qu'il vous faut résoudre,
Sans jamais vouloir en faire de doux trémolo,
Je veux et peux également ici vous absoudre.


****************


7 Autour du rire POPA1234 7.72


Apologie du rire fort bien écrite, de bonnes idées ( je me souviens )
Attention : barbe ne rime pas avec marbre apologie du rire écrit tout en humour
Çà parle des rires en provoquant des sourires.
rimes non respectées (5éme strophe)


Rire est bon pour la santé, sauf bien sûr si vous en mourrez.
Oui, j'aime rire. Petit, ma mère m'a lavé sous une cascade de rire.
De plus, il parait que le rire est le propre de l'homme. C'est inné.
Une fois, j'ai éclaté de rire si fort qu'il y en avait partout. Non, c'est pour rire.


Il m'arrive parfois de me rouler parterre ou de me tenir les côtes, tant je ris.
Le rire est paradoxal. Je suis imberbe et pourtant je ris souvent dans ma barbe.
Je me souvient d'un matin, avoir ramassé des éclats de rire, tant j'avais ri.
Je suis drôle, c'est fou comme je suis drôle. S'il vous plait ne restez pas de marbre.


Combien d'expressions avons nous prêter au rire, toujours prêtant à rire.
"Être plié en quatre de rire" j'ai déjà essayé. cela s'est terminé à l'hôpital.
Et là, croyez moi je riais jaune car seulement de larmes, je ne pouvais rire.
Je suis sain d'esprit et pourtant je suis souvent atteint d'un fou-rire congénital.


Les mots pour rire, j'en ai toujours quelques uns dans la poche, au cas où.
Et puis rire à gorge déployée, m'a toujours empêché d'avoir des angines.
Le rire n'est pas une maladie mais il est très contagieux croyez moi (boudiou).
Je n'aime pas les gens riant du bout des lèvres. Pfff.... des coincés de mâtines.


Le rire se respecte. Rire de bon coeur est de bon aloi, faisons fi du rire intérieur.
Désopilants sont les pince-sans-rire. Un humour ravageur tout en restant sérieux.
Par contre, je plains les bedonnants(es) qui rient "à ventre déboutonné", ils me font peur.
Oui, j'aime rire, m'esclaffer, me poiler. Je mourrai de rire quand je serai vieux.


****************


8 Poème d'amour imparfait. FYSCO 8.38


Apologie du rire fort bien écrite, de bonnes idées ( je me souviens )
Attention : barbe ne rime pas avec marbre apologie du rire écrit tout en humour
Ça parle des rires en provoquant des sourires
5ème strophe: rimes non respectées


Souvenez-vous l'endroit où nous nous rencontrâmes,
Tous les jours, j'attendais que vous apparussiez.
C'était un matin sur une ligne de tram
Alors que je sortais enfin de mon pucier.


Comme toujours, en retard, vous vous engouffrâtes,
Amoureux, je rêvais que vous m'aperçussiez,
Dans ce wagon plein d'individus disparates
Où, cruelle, de moi vous ne vous souciiez.


Il semblait que, à dessein, vous m'ignorassiez.
Pour votre plaisir il fallait que je languisse
Et moi je voulais que vous me remarquassiez,
C'est ainsi que je vous présentais ma saucisse.


Toute chaude, dans un sandwich assaisonné.
Enfin, j'étais heureux que vous me sourissiez
Je comprenais que vous n'eussiez point déjeuné,
C'était le bon temps pour que vous me chérissiez.


Fallait-il que ce moment vous oubliassiez,
Que dorénavant d'autres hommes vous aguichiez,
Que cet amour pour moi vous désavouassiez
Et pour finir maintenant par m'envoyer...paître.


****************



9 Arnaque alimentaire REIUQRAPELCRAM 7.3

Bien écrit et très drôle, belle chute .
Dommage, le ABAB est passé en mode AABB, mais l’humour est au rendez-vous
Pas mal amené et bonne conclusion




Bernard rampe à terre comme un asticot ;
Rien d'extraordinaire. Rien de rigolo.
Bernard est un ver dont on parle à l'imparfait,
La tête en plein air, une poule se l'est fait !


Girouette bat des ailes sans s'envoler,
Se prend les pattes dans le poulailler.
Girouette était une poule, c'est du passé,
Un roux et malin renard se l'est tapé !


Coxy est un coureur, Coxy est un chasseur
Mais Coxy pour son malheur a de belles couleurs...
Enfin… avait de belles couleurs à ce qu'il parait,
avant qu'un chasseur ne se fasse un étrange dîner.


La morale de mon histoire de chaîne alimentaire :
Si tu n'es pas au sommet, surveille tes arrières
Car dans la vie tout arnaqueur a un maître ;
Faut-il encore le savoir pour ne pas se faire…


******************


10 Un jour bien cogité. LURON 1er 6.82

Une drôle d'aventure relatée d'une façon très originale.
Humour humour, quand tu nous tiens !


Cette nuit là, j'étais devenu le con piqué,
Madame était ainsi surprise, Monsieur s'est épousseté,
Poli dans les bars, son aimant de vingt ans, comment expliquer !
En plein bricolage, elle ébruitant sous sa blouse d'été.


En elle, priant par petits bouts les saints,
Qui laissait lire sous les éclats sa rampe, ses secrets,
Et ce qui se lit, c'est escroquer au mildiou en vain,
Oh ! Ce coq malin pour madame surprend ses loisirs à ses regrets.


Tra, la, la, ! Chansonnette que fredonne l'aube est là,
Celle-ci avait fini par m'avoir,
Et voici monsieur dans les bas de madame au delà,
Pas commode, il en perd ses pieds au lavoir.


J'étais tapi, sans mots, l'omoplate transie, l'œil en bas, envieux,
Mais la vielle femme est interloquée, renfermée, pas belle au couvent !
Ha ! Et encore une friandise de monsieur !
Va satisfaire son horoscope, une insufflation bien souvent.


Dégage ! Dégage ! Vers l'infini vers les tartares au four,
Ton vieux le dit, des vers, tu vas en perdre les pieds,
A la rescousses, Je mate là quand elle s'écrie : Oh ! L'humour !
Ils vont me perturber, ces gueux la, c'est bien risible de se fier.


Mes bras exigent de comprendre le contresens,
Les stores instaurent des sourires,les donnent,
Pas commode quand on est replié en deux sens,
Le rustre à la dernière place se raisonne.


Satire ! Satire ! Ecrit le ! Tiroir pour un respect verglacé,
Et monsieur se met à se réjouir, tellement porc, en plus,
Ha ! Par don, je complète l'histoire, suis-je le préposé ?
Dans les groseilliers se débouchent les orteils, ils n'en peuvent plus,


J'ai un supplément, je postule,
Ajax, dieu que je chambre en cette ronde bien cogitée,
Pour ce soir, enrayez bien les coups dans l'cul !
En aimant ? Il vous colle les points raportés.


Oyez ! Oyez ! Ce cher baratin,
L'aimant c'est désamianté,
Cons, détruisez vous même cette grosse faim,
Trois fois, ils reculent et détestent les tabous, rayent. Bien doté.


A.R.N s'identifiera à la personne en âge,
Mon vieux, que ce Zozio est en survoltage !


******************


11 Le cœur en demande IBOUJO 8.16

Un trait d’humour sur les attraits du…passé
Hum…un grand-père bien raplapla
La réalité traitée avec un certain humour.



Même si le cœur est en demande ,il y a l'âge des artères
Si le baiser se donne léger , une caresse ici sous toi
Pour synchroniser la bande , ils doivent tuer père et mère
Le califourchon branle-bas va plomber tout leur émoi


Tout est raidi sauf le bon endroit,seule la fatigue se dresse
Alors on parle , on boit ,le tout dans un calme raplapla
Il fait froid , l'on se rhabille puisque rien ne presse
Viens la promesse d'une autre fois..ça ira ou ça n'ira pas !


Grand-père grand -mère feront la guerre , foi d'anciens
Le doigt qui se perd et qui se noie dans un crachat
Le cœur en demande mais sans les reins juste la main
Où est le temps des enfilés à s'enfiler des mega plats !


Même si l'envie peut surprendre la langue à terre !
Il faut en faire des prières pour danser la sarabande
A Saint Thomas, à Saint Christophe et à leurs frères
De la flûte pan pan vouloir déboucher l'artère..Oh !les glandes !!


Un texte de Papy Jean Quinenfilepluslebas



************


12 Femme sur son trente et un (31)haute Garonne LILASYS 7.09

Les rimes ABAB sont délaissées, mais bel humour
Rimes demandées ABAB et non AABB. Dommage ! Histoire drôle voire attendrissante, bien contée.



Le jour de notre rencontre,comment oublier!
Cette envie soudaine de m'échapper,
Je frétillais comme un poisson dans l'eau,
J'avais oublié que je n'avais pas de pot.
Elle est arrivée sur son trente et un,très en retard!
Sous le vent, la pluie j'étais trempé, dans mon costard
La mignonnette sous son parapluie faisait du zèle
Tandis que moi j'avais les boules en gel
Une rafale de vent a emporté son faux chignon,
J'ai souris, elle m'a collé un oignon.
J'ai mis du temps à réagir
Qu'avec les femmes, il ne faut pas sourire
Elle était si belle de toute manière
Je l'ai emmenée dans ma tanière
Évidemment, pas pour coucher
Juste la déshabiller pour la réchauffer
Décidément tous les hommes pensent qu'a ça !
Et bien moi aussi mais pas ma Barbara.
J'ai commencé à la frotter pour la sécher
Elle a crié, le voisin a cru que je la violais!
Un judoka, pas le temps de parler sur le tapis mon râtelier.
Je me suis déshabillé sans bruit pour ne pas l'apeurer,
Pour la faire taire, je lui ai offert un verre.
Pourquoi? Barbara est si compliquée sainte mère!
Quelle journée et dire que l'on s'est mariés!
Aujourd'hui, c'est elle qui me fait crier.
Et malgré que je lui rappelle cette sale journée,
Elle me répète les yeux clignotants
Oui, tu sais quand elle bat des cils tu vois ?
Que je suis son prince boitant!
Et oui depuis j'ai une jambe en bois .
Souvenir de cette journée évidement.
Mais je l'aime ma Barbara à moi.
elle est à mes pieds maintenant
Enfin si je puis dire, à un pied .
Au premier regard elle m'a aimé,
Comme c'est compliqué une femme,
Tout un baratin tout un drame .


***********
13 Larry et les petits pois REIUQRAPELCRAM 8.09

Humour « vert » avec une belle moralité
C’est bien la fin des haricots ! « Faut-il pleurer, faut-il en rire » chantait Jean Ferrat
Recul sans e . Carotte et faute ( sons différents ) Artichaut et idiot ne riment pas mais un joli conte traité avec humour.




C'est l'histoire d'un haricot
Se prenant pour un petit pois
Qui si fin, si grand, c'est sot
Se croyait rond comme l'astre roi.


L'étrange légume à vrai dire
Avait un cœur d'artichaut
Mais passait pour un dur à cuire
Avant de passer pour un idiot.


C'était pourtant pas de sa faute
Si Larry dans une petite boite
Entre les pois et les carottes
Se pensait pareil au voisin de droite.


Il avait la hauteur mais manquait de recule ;
Tout en longueur dans la conserve
Le légume avait la tête dans l'opercule
Et forcément le cou dans une minerve.


Puis le nigaud dans cette histoire
Est finalement ailleurs qu'on ne le voit
Après tout, lecteur, comment as-tu pu croire
Qu'un haricot pense ? C'est pas un petit pois !


*************


14 Ma ferme à la maison. LECOEURENTRETESMAINS 8.67 médaille de bronze

J’ai éclaté plusieurs fois de rire, fort drôle !
Pas mal mais pas hilarant
Ecrit drôle et chaud, « chaque choc » un peu difficile à prononcer




Hier soir ma voisine est venue me rappeler
Que je vivais dans un quartier huppé non une ferme
Avec sa crinière, je l'ai trouvée assez gonflée
De venir tard jacter, à nos échanges j'ai mis un terme.


Surtout qu'aucun compagnon à poil ne vit avec nous
Et avec nos fourrures, chaussures crocos on est loin d'être des ploucs
C'est vrai que mon mari aime se faire des moustaches avec des minous
Et que ça lui arrive en fin de soirée de sentir le bouc


Faut voir aussi sa tête, on croirait qu'il est jumeau avec un veau
Il marche comme un pingouin pas le choix avec ses mollets de coq,
De plus il est aussi myope qu'une taupe qui porte un bandeau
Donc il se ramasse comme une limace dans les escaliers à chaque choc.


Puis avec son regard d'aigle et son caractère de cochon
On n'est pas près de nous faire trente millions d'amis
Alors pour passer le temps, on fait tourner les chichons
Après quelques taffes, Il hurle à ma lune qu'il veut y faire son nid,


Il ameute tout l'immeuble quand il veut tirer son coup
Tous les jours la même rengaine, il faut faire l'effort
Mais comme il baise comme un lapin, il peut brailler je m'en fous
Soixante-neuf secondes de cris ça ne réveille pas les morts


Mais ce n'est pas une raison pour que cette peau de vache
Vienne cracher son venin, avec ses gros chicots
Alors qu'elle, de près on croirait voir une pauvre tache
En plus son époux n'arrête pas de nous courir sur le haricot


On a beau l'envoyer paître, il revient nous chercher des poux
En tout cas il ne risque pas d'en trouver sur mon crâne d'œuf
Surtout qu'on m'a mis la puce à l'oreille, le type est tout mou
Enfin ça se comprend vu la carcasse et la gueule de sa meuf.


Moi je n'ai pas ce problème, mon chou est doux comme un agneau
Comme je vous l'ai dit plus haut avec lui jamais de panne
Et même s'il a beau être laid et salaud, moi mon coco
Je l'aime, surtout parce qu'il est monté comme un âne.


**********


15 Pourquoi ? GAETANDRAGON 7.69


2 rimes manquantes mais fort amusant
Confus
Manque une rime avec plaisant ainsi qu'à terminé. J'ai bien ri, bravo



Au lever du matin,
Madame me quittait
Pour aller chercher du pain,
Je lui ai alors dis « prends la monnaie »,
Mais voyant sa tête de babouin,
J'ai compris que c'était terminé...


J'ai cherché le comment du pourquoi,
Je n'ai trouvé que la folie,
Puis compris que c'était à cause des oies,
Et qu'elle préférait son pain de mie...


Me retrouvant seul face à ce bout de tristesse,
J'ai tout tenté pour la reconquérir,
Je lui ai même montré mes fesses,
Mais elle a préféré faire l'amour à un tapir...


J'ai donc marché dans le néant,
N'espérant plus rien de cette fille,
Jusqu'à recevoir ce précieux conseil d'un flétan,
«Allons mon gars, oublie sa face de gorille ! »


Voilà donc le soutien d'un charmant ami
Fort utile et plaisant,
Me faisant oublier son pain de mie.
"Il n'y a pu de pain sur la planche, j'ai désormais carte blanche..."


***********




16 Singulier pluriel. MARYVELO 7.21


Le ABAB pas toujours respecté mais belle leçon de français
Un méli-mélo, moi j’y vois un « imbroglio »
Un méli-mélo pluriel singulier recherché mais qui donne lieu à des rimes manquantes ! Dommage !


Une petite leçon sur nos règles grammaticales.
Respirez pour éviter une asphyxie du cerveau.
Vous connaissez ce récipient, qui au singulier se dit bocal,
Et qui se transforme au pluriel en bocaux,
Ainsi que tous les autres noms:normaux,Sénégal,tango...c'est la valse du bal.
Perso,je n'y comprends rien c'est infernal,
Je commence à en avoir plein le dos.
Je ne suis pas un cannibale,
Seulement, quand je demande la poche de berlingots,
Je dois me servir d'un seul bonbon,j'ai la fringale.
De même lorsqu'il s'agit de gâteaux,
Néanmoins je n'ai pas dit gâtal,où donc est le régal ?
Le père Noël,pareil, plutôt étranges ses histoires de cadeaux...
Au total l'unique,enrubanné certes,posé sur mon soulier...un cadal !
Enfin ,l'homme rouge est vieux et doit souffrir de tant de maux.
Bon passons,quand il est question de se mettre aux boulots,
La tâche lourde me fait perdre la pédale.
Au potager ,je comprends mieux les mots,
Je cueille donc des haricots qui nous feront l'effet pruneaux,
Jusque là tout me semble normal.
Au marais le cousin veut ramasser du roseau,
Je lui offre un bouquet,c'est pas banal,
Déçu, un seul il voulait l'animaux;aurait-il confondu avec les canaux ?
Je pourrais vous en faire un festival,un récital,
Mais cela devient difficile pour mon oraux.
Je ne sais plus si je monte à chevaux,ou à chacal,
Je pense que je devient rodéo,marteau.
Je vais me suspendre à ma martingale
Attachée à mes deux latéraux,
De mon manteau Prince de Galle.
La cloche sonne, vite en récréation afin d'éviter les tableaux.
Pour mettre en application les règles ,j'ai vu éclater mon cerval,
Mais direction les préaux pour s'amuser et s'accorder des repos,
Car je n'aurais jamais le nival,
Et encore moins les fondamentaux,
De ce vaste français imbroligo.


**************





17 L'accord des dons, LURON 1er 7.71

Double sens et jeux de mots
Un don pour la musique mais pour l’humour ?
Soirée ne rime pas avec envier. Première strophe Rimes AAAA au lieu de ABAB . J'ai bien aimé.




Il nous faut d'abord bien l'aborder,
Gentiment le déshabiller,
Pour enfin bien s'accorder,
Et sur le sol, le poser,


Titiller gentiment ses bretelles,
Qu'elles tombent bien sur son dos adoré,
Pour qu'elles n'soient pas devant elle,
Oui, cet été, il est devenu dos bien doré,


Et d'une petite main, elle titille ses boutons,
Montant et remontant sur sa table d'harmonie,
De l'autre, touche et touche, cela est vraiment bon,
C'est la grande passion de sa si belle vie,


Mais quelques fois, elle envoie tout valser,
Continuant de tantôt au matin,
En deux ou trois temps sans tergiverser,
Comme un p'tit tango presqu'Argentin,


Parfois elle cherche une p'tite amusette,
Pour animer toutes nos soirées,
Pas trop loin, dans ses musettes,
De cela, on ne peut que l'envier,


Si en partant, vous lui laissez une petite note,
Bien pour elle, notre petite Véronique,
Qu'elle soit bien mélodieuse et pas trop sotte,
D'une passe, elle adore la musique,


Oui, elle le connaît l'accord des dons,
Si d'aventure, vous pensiez autrement,
En jouant simplement sur son accordéon.
Vous ne connaissiez pas l'instrument.


***********


18 Maudite fée ! LECOEURENTRETESMAINS 8.08

Bien embrouillée l’histoire des fées
Passionnant et bien écrit.
Un conte bourré d’humour, les mots inversés sont très drôles



Une fée mal coiffée a frappé à ma porte
Fiévreuse, j'ai préféré ignorer cette hallucination
« Sans vouloir vous commander, ouvrer ou je m'emporte »
M'a-t-elle dit sur un ton menaçant. Peur d'une punition


J'ai ouvert à mini-dame ailée et lui ai proposé
De fumer avec moi un thé et de boire des petits gâteaux
« Ma pauvre fille ! Faut vous faire soigner, vous êtes complètement fêlée »
M'a-t-elle répondu en ôtant des guirlandes de son dos !


« Alors, dites-moi que puis-je faire pour vous Clochette ? »
« Mais dis donc ne me confondez pas avec cette trainée,
À tous les coups Pan est en train de lui faire sa fête »
M'a-t-elle confié en buvant du nez sa tasse à café


« Ok Morgane, j'ai compris, prude vous l'êtes mais moi dans tout ça ?! »
« Oh ! Vous voulez à tout prix m'enfoncer, cette sorcière
Qui sème la terreur dans tout l'Univers, retirez ça fissa »
M'a-t-elle ordonnée en clignant de ses paupières arrière.


« Pardonnez mon ignorance, vu que je ne vois point de bosse
Sur votre corps écaillé, vous ne pouvez vous nommer Cara »
« Qu'importe qui je suis, ce qui compte c'est le rôle que j'endosse »
M'a-t-elle avoué en posant sa baguette sur mon bras.


« Nom d'une poussière d'étoile » ai-je juré pour la première fois
Je me retrouve avec des ailes, des oreilles pointues et de tout petits seins !
« Et voilà le travail, une de plus pour répandre le bonheur et la joie »
M'a-t-elle hurlé au visage en clapotant de ses mains.


« J'ai rétréci et je vole que m'avez-vous fait maudite fée ? »
« Vous n'avez jamais été très grande de toute façon… »
« Debout, fait ! Mais qu'est-ce que tu dis ? Réveille-toi le jour s'est levé»
« Où est-elle ? » « Qui ta sœur ? » « Non, la fée Poisson »


« Surement dans la tonne de nourriture que tu as avalée la veille
Ou avec la petite sirène» m'a répondu ma mère en partant
« La fée Poisson ! Non mais qu'ai-je fait au bon Dieu pour avoir une fille pareille ? »
Le temps d'un concours je me suis juré de ne plus manger autant.


************


19 Insane CRISTOU 6.45


Un peu longuet, le fond me rend la « tête sèche »
Une saga d’hallowen
Succombais ne rime pas avec retrouvé. Dernière strophe : rimes AAAA au lieu de ABAB . On dit ; Nul n'ignore. Où fuir ? et non où fuis-je ? Que veulent dire ; avec excède et comme se suivre ? Sinon un écrit de saison celle d’Halloween.




Contes, village abritant près de 7200 habitants aujourd'hui,
Commune paisible, se préparant à fêter comme tous les ans enfin,
au 31 octobre, Halloween. Ici tout le monde se reconnaît et depuis,
nul ignore personne de faits et gestes sans fin, jusqu'au lendemain.


La fatigue les gagnait et moi aussi, j'avoue bourré, je commençais à piquer du nez…
Arrivés devant le domaine de chez la vieille dame, endroit lugubre et dénué de lumière,
la sonnette grinçait à travers toute la vallée bercée par les grillons sans cesse illuminés.
Porte glissante entrouverte, fumée s'échappant épaisse accueillante douce princière.



Que m'est-il arrivé?
Perdu sous les pins…
Où me suis-je enfermé?
Je me suis enfuit enfin?


Que s'est-il passé?
Éperdu jusque sans fin…
Où me suis-je évadé?
Jusqu'au lendemain…*



Traqué par une horde de revenants et je ne sais plus, je ne sais distinguer le vrai du semblant…
J'ai du mal à me relever, le pied droit me fait mal et mon téléphone ne répond à mes appels à l'aide.
Ce soir du 31 octobre, mes amis m'ont délaissé, et ne sais, ils m'ont abandonné, répondaient absent.
Seul livré à moi-même, me démerder, survivre avec un dernier joint allumé, j'étais livré avec excède…


Perdu et délaissé, la horde me poursuivait et ne me lâchait criant a tue-tête ''Tête Seiche''!
Où fuis-tu? J'avoue qu c'est infernal, car démuni, je ne savais où aller, mais ne succombais…
Me baladais, trimbalais comme si suivre, j'étais démuni. Fraîcheur et forme d'épice toute fraîche.
Je ne savais ou aller, j'étais traqué. Je criais ''A l'aide !'' j'étais perdu! Où fuies-je? Ils m'avaient retrouvé.


Ce soir du 31 octobre, je m'en souviendrai encore aujourd'hui car ils se sont tous moqués.
Car ils m'ont retrouvé et encerclé. La ''Tête Seiche'' ne pouvais qu'abdiquer, abandonner…
Cette nuit là mes amis et moi avons prévu de passer la soirée à Cannes pour en profiter.
Dans une boite de nuit branché mais il en est autrement pour fêter mes 18 ans mérités.



****************************


20 Je vais vous parler en femme IBOUJO 7.78


Pas de l’humour mais drôle de passion, ça rappelle la chanson « Il m’fout des coups mais je l’aime »
Variations ne rime pas avec bon. Beaucoup trop d'erreurs dans de rimes tout au long de votre poème, quel dommage, car il est très drôle !
Rimes en ABAB pas toujours respectées mais fine rigolade en cette lecture




Vraiment l'Amour ,c'est ce qui conduit le monde
Beaucoup de gens ne savent pas ce que c'est
Et cependant depuis que la terre est ronde
C'est le même fourbi et cela ne changera jamais
Comme la musique cela commence par des gammes
Et puis l'on fait de petites variations
Bien moi ce soir je vais vous parler en femme
Et vous avouer en Amour ce qui est bon


D'abord quand un homme vous dit ; on va s'aimer toute la vie
ça c'est du chichi
Notre Amour est sans nuage , je t 'aime chaque jour davantage
ça c'est du battage
Signe un bail de trois, six , neuf , je possède un coeur tout neuf
ça c'est du bluf
Mais s'il dit gentiment ,je gagne beaucoup d'argent
Ce que tu veux ,je te l'offrirais,voila d'l'amour et puis de la vrai


Depuis quelque temps ce n'est plus la même chose
On ne fait plus de phrases ,cela prend trop de temps
C'est plus l"époque d'offrir des bouquets de roses
Il n 'y a plus de chichi , on va au but vivement
Dans le fond pourquoi faire la dégoûtée , et dire non je ne veux pas
Pourquoi sans cesse faire la mijaurée , puisque l'on sait comment cela finira


Lorsque c'est le calme plat,que l'on s'aime à la papa
ça c'est raplapla
Quand on parle de la nature,qu'on fait de la littérature
ça c'est de la piqure
Que l'on vous parle en tremblant , imaginer un enlévement
ça c'est du roman
Mais tomber sur un gaillard , qui vous flanque au plumard
Sans demander si cela vous plait, voila d'l'Amour et puis de la vrai


Tenez mon mari , est un homme adorable
Il est gentil , je l'aime avec passion
Le soir je l'engueule quand nous passons à table
Car en Amour il me faut des émotions
Quand il me dit , viens vite que je t'embrasse
Je tourne le dos et ne lui réponds pas
Je fais la tête, je l'énerve , je l'agace
Jusqu'à ce qu'il me dise;je mets les pieds dans le plat


Alors quand il est à bout , et puis qu'il me roue de coups
ça c'est fou ,c'est fou
Quand il me fiche parterre ,me met le pied au derrière
ça c'est pépère
Je lui dis tais toi tu me tues, tu m'arraches les poils du.....des yeux!
ça c'est délicieux
Alors je lui saute au cou et je tire les verrous
On se raccommode après , en voila d'l'Amour et puis de la vrai


***************


21 L'autodérision COQHARDI 8.76 médaille d'or


Ion et on ne riment pas, désolée ! Cinq dixièmes, ce monde là.Il me semble que l'on doit dire :
" Sauf si je devais payer "et non devrais.
" je ne serais fauché ni plus riche " sinon un poème bien écrit.
Un autoportrait saisissant de rires avec une moralité bien réaliste
Bravo ! j’ai souri, j’ai ri, j’ai apprécié…drôlement bien construit en vers libres un peu longs


Je crois que pour être un bon humoriste
Il faut savoir déjà manier l'autodérision
Se foutre de ma gueule, ne serait pas triste
Ma création a dû être faite sans brouillons


Si je devrais payer de ma poche, un portraitiste
Je ne serais fauché et plus riche à millions
Vous allez vous dire celui ci est pessimiste
Non je ne me voile pas la face loin d'être un Apollon


A vu d' œil et sans passer par un ophtalmologiste
Avec mes lunettes j'ai 5 dixième a chaque œil, bonjour la vision
En parlant de spécialiste je ferai bien d 'aller voir un dentiste
Mais bon j'ai le blues car dans ma bouche, un vrai bataillon


J'ai les pieds sur terre enfin façon de parler, je suis unijambiste
Au moins moi je fais des économies sur mes bottillons
C'est vrai que pour danser avec une petite minette, le twist
Et pour l' emmener dans mon lit pour moi, le petit cochon


Je suis tenté devant ses belles silhouettes, l'envie existe
Mais hélas pour moi, j'ai ma petite queue en tire bouchon
Ma vie sexuelle est faite comme celle des bouddhistes
Il n'y a pas que le cul dans la vie relativisons


Mais j'ai des qualités car je suis un peu équilibriste
Pour pisser surtout je suis handicapé de mon gros bidon
Ma tête à Marseille, mon cul à Paris mon Dieu quel artiste
Je ressemble a une équerre de 90 degrés j'en ai la position


Ma vie fut gâchée moi qui rêvait d'être dans un orchestre, pianiste
A moins de savoir jouer avec ses pieds pas simple avec des moignons
C'est la vie, c'était écrit quelque part, il faut être réaliste
Il y en a bien qui ne savait pas en jouer et qui on fait des chansons


J'ai suivi les conseils de France l'étoile du Berger, je résiste
Pour moi, cette façon de faire et la meilleure de se prendre en dérision
Dans ce monde la qui n'est pas le mien mais je signe et je persiste
Je n'ai peut être pas ma place dans ce monde d'apparat mais de vivre est bon


Dans mon existence, j'étais toujours été la fable de quelqu'un moi, le fabuliste
Ma beauté extérieure ne vaut pas mon charme intérieur car il est mignon
De ce constat, je ne suis ni abattu, ni amer, je reste optimiste
Car je me dis que nous sommes tous plus ou moins de quelqu'un, le con


******************


22 Ma philosophie le rire KINKIN 7.75

Carbone et ozone ( sons différents ) Eh bien, le monde du rire a été passé au crible, écrit assumant des idées bien énoncées. Que le rire perdure dans votre vie. Bravo !
Les « comiques » passés en revue, une belle envolée dans l’humour
Un peu confus mais ça fuse de divers côtés et il y a de la « déconne »


A ma naissance, j'ai du avaler du gaz hilarant ou un clown
Car du matin au soir pour dire, écrire et faire des conneries, je suis championne
Certes, je n'ai pas la verge merde une faute, la verve humoristique de Danny Boon
Je n'arrive pas à la cheville du biloute, je le sais , je ne suis pas conne


Mais toujours le premier a faire la pitre dans un ascenseur bondé, je lance un simoun
Juste avant de sortir j'ai le droit je ne paie pas encore de taxe carbone
J'aurais bien voulu voir la tronche de la nunuche de moumoune
Et elle qui empestait le parfum, elle s'en fiche de la couche d'ozone ?


Un jour j'ai pris une biture j' ai mis deux jours pour rentrer dans ma guitoune
Je me suis pissé dessus, nous avons bouffés des biftecks aux Fêtes de Bayonne
Une autre fois pour un gala d'athlétisme en hommage au célèbre Alain Mimoun
J'ai fait le pari de courir en slip sur la piste pari réussi cela s'est passé à Narbonne


Si vous avez le moral dans vos chaussettes, je vous le remonte du à la scoumoune
J'ai le remède pas besoin de médicaments antidépresseurs ou de Rispéridone
Ma thérapie c'est de soigner par le rire, c'est vrai je n'ai pas eu de succès à Rangoon
Ils ne comprenaient mon humour, ils étaient amers les Khmers, ils riaient jaune


En parlant de jaune celui a qui je donnerais le rictus au gars qui a sur sa tête des poils de foufoune
Je sais je n'ai rien de bon dans la Corée, le dictateur Kim Jong Un dont l'unité monétaire est le Won
A une a qui je filerais volontiers le sourire aux lèvres et pas que ca d'ailleurs c'est à la pitoune
Car femme qui rit et a moité dans le lit pour ne pas la nommer, Miss Corée 2014, Kim Séo Yéon


Je ne m'inspire pas de l'humour noir de Dieudonné, natif du Cameroun
Je n'ai rien contre lui, ses pensées et contre sa couleur négrillonne
Moi je serai à sa place je me ferais hara kiri tel un shogun
Il se croit marrant et irrésistible pour moi seule sa connerie rayonne


Et je ne me déplacerai pas pour son vieux complice Elie Semoun
Je ne sais pas quel est l'auteur de ses sketchs mais il ne sort pas de la Sorbonne
Je n'ai pas envie de le voir sur scène cette espèce de singe hurleur, de baboune
Ma critique est la même pour l'autre débile ingérable qui gueulait sur M6 dans un mégaphone


Acteur, chanteur des Bratislava Boys et leurs titres Stach Stach pauvre tâche que ce Michael Youn
Un Dieu vivant pour cette pince sans rides si elle est assise dessus sans rire de Tante Yvonne
Difficile de la décoincer cette vieille fille j'essaie de la dérider avec mes brèves de comptoir de saloon
Tout ce qu'elle me trouve a dire c'est < Tu ne veux pas cent balles pour changer ton tube d'arpégionne >


Mêmes remarques de celle qui partage mon quotidien ma délicieuse vieille choune
Elle me dit souvent < Arrêtes de fumer de l'herbe et boit plutôt une tisane de belladone >
Je sais j'ai peut être oublié de grandir pour rester plus longtemps dans ce monde de pitchouns
Prendre la vie du bon coté comme les humoristes dont je ne suis en aucun cas, leurs clones


Ce ne sait pas pour vous mais pour moi le rire c'est ma raison d'être, de vivre, c'est comme le youkoukoun
Dès le matin je me goinfres de tranches de rigolade et j'en sors de bien bonnes
Chers lecteurs, juges et amis simplement pour m' avoir lus, je vous dis choukroun
Et n'ayant point peur, je suis accro a ce site en espérant rester le plus longtemps le roi de la déconne


***************


23 ROMEO ET JULIETTE LILASYS 7.53

Oh ! le sale égoïste . Poème extra. Vos rimes sont en majeure partie AABB ( 4ème strophe AAAA ) Quel dommage ! il eut été préférable de dire ; " oui, avant je vais sortir les poubelles " . pourri au lieu de pourrir ( avant-dernière strophe )
Dommage rimes en AABB et non en ABAB mais humour bien au rendez-vous
Roméo en goguette…pov Juliette !



Ô mon Roméo! Je suis pour toujours ta Juliette
Celle qui fait la popote et lave tes chaussettes
Mon tendre amour, je suis à jamais à tes pieds
Oui Roméo,je vais chercher du bois pour la cheminée


Ô ma Juliette! Mon délicieux sucre d'orge
Va chercher chez l'apothicaire un sirop pour la gorge
A ton retour, n'oublie pas de repasser ma chemise
Dépêche toi, j'ai faim, vite que la table soit mise


Ô mon Roméo! Je suis heureuse à tes cotés
Même si la nuit ta mélodie sont tes pets
Tu ronronnes d'amour faisant vibrer notre demeure
Dans tes bras je m'enfuis chaque jour, chaque heure


Ô ma Juliette! Reprise le trou de mon pantalon
Va bêcher le jardin que nos légumes soient bons
Frotte, range, nettoie la maison du sol au plafond
Mais surtout ma princesse ne me prends pas pour un con


Ô mon Roméo! Je serais ta plus humble servante
Mon amour pour toi est fort, toujours remonte la pente
Tes paroles sont un baume, je t'aime à mourir
Même si ton haleine sent de plus en plus le pourrir


Ô ma Juliette! Va fermer les volets de ma fenêtre
As-tu fait les courses pour ma petite fête
Ce soir, mes amis pourront lire ce bonheur
Qui emplit depuis toujours nos deux cœurs


Ô mon Roméo! Quelle joie de servir tes amis
Il y du bon vin et je prépare un énorme rôti
Ce soir, je serais à tes cotés la plus belle
Mon amour, oui je vais sortir avant les poubelles


Ô ma Juliette! Ce soir tu te feras discrète
Dans la cuisine tu t'ennuieras pas certes
A présent, laisse moi me poser, je suis épuisé
Une bonne sieste et le tour est joué..



*****************



24 Démentiel CRISTOU 6.57


Un mieux par rapport au premier poème (le n°19), une histoire intéressante écrite avec dynamisme, mais encore beaucoup de fautes, ( chœur, pointues, je me suis enfui, dents pointues, une ombre apparut...) soignez votre ponctuation, elle aide à la compréhension de l'écriture, efforts au niveau des rimes ( au début )
Plutôt sur la route d’Halloween que celle de l’humour
Reste assez confus


Ce poème a été revu par l'auteur (voir n°19)

Contes, village abritant près de 7200 habitants aujourd'hui,
commune paisible, se préparant à fêter comme tous les ans enfin,
au 31 octobre, Halloween. Ici tout le monde se reconnaît et depuis,
nul ignore personne de faits et gestes sans fin, jusqu'au lendemain.


C'est ici que je suis né, dans cette bourgade emplie d'oliviers et mimosa,
un 31 octobre. Mais cette année si exceptionnelle accueillant mon anniversaire,
celle de mes 18 ans. Jamais je n'oublierai, encore aujourd'hui à cause de cela.
Chaque villageois m'avait préparé un coup bas ce soir, un beau coup de travers…


Ce jour là, je me suis dénoncé pour accompagner au porte à porte les petits bambins.
Deux joints d'herbes et de mignonnettes de Whisky me suffisaient à m'inspirer
pour nous rendre jusque chez la vieille, que tous fuyaient là-bas au bout du chemin.
Plus on avançait. Plus la nuit tombait. Les paniers se garnissaient. La joie les guidait…


La fatigue les gagnait et moi aussi, j'avoue être bourré, je commençais à piquer du nez…
Arrivés devant le domaine de chez la vieille, endroit lugubre et dénué de lumière.
La sonnette résonnait à travers toute la vallée bercée par les grillons sans cesse illuminés.
Porte grinçante entrouverte, fumée s'échappant épaisse accueillante douce princière.


Une ombre apparu face à nous, tenu sombre et chapeau pointu, elle était bien là, face à nous.
Soudainement, les enfants crièrent en cœur de peur, terrorisés ils ne pouvaient plus bouger…
La vieille tendit la main et offrit à chacun, un assortiment surprenant de bonbons à nous rendre fou.
Puis regarda vers moi, yeux rouge vifs et sourire aux dents pointus, dans les pommes je suis tombé.


Que m'est-il arrivé?
Perdu sous les pins…
Où me suis-je embarqué?
Je me suis enfuit enfin…


Que s'est-il passé?
Éperdu jusque sans fin…
Où me suis-je évadé?
Jusqu'au lendemain…
Traqué par une horde de revenants et ne sais quoi, je ne sais distinguer le vrai du semblant autant…
J'ai du mal à me relever, le pied droit me fait mal et mon téléphone ne répond à mes appels de détresses.
Ce soir du 31 octobre, mes amis m'ont délaissé, et ne sais, ils m'ont abandonné, répondaient absent.
Seul livré à moi-même, me démerde, survivre avec un dernier joint allumé, livré avec sueur et stresse…


Perdu et délaissé, l'armée hors du commun me poursuivait sans relâche s'écriant a tue-tête ''Tête Seiche!
Où fuis-tu?'' J'avoue que c'est infernal, car démuni, je ne savais où aller, mais ne succombais…
Me traînais, me trimbalais pour survivre, j'étais démuni, tiédeur et forme d'épice toute fraîche.
Je ne savais où aller, j'étais traqué. Je criais ''A l'aide !'' j'étais perdu! Qu'allait il m'arriver?


Ils m'ont retrouvé et encerclé! La ''Tête Seiche'' ne pouvais qu'abdiquer et s'abandonner…
Autant bourré que drogué par excès, que s'est il passé? Je ne distinguais plus la réalité de la fiction.
Allongé à même sur l'herbe humide, Zombies, vampires et fantômes en tout genre m'observaient.
Lentement s'avançaient, bras tendu vers l'avant dans ma direction ébruitant d'incohérence, des sons…


J'ai crié la peur à me tordre les boyaux, pleuré tant que même Noé et son arche auraient coulé.
Me débattait tel une pieuvre prise dans un filet, épuisé de tous ces gestes affinais et conjugaison,
doucement, je me suis laissé aller à leurs souhaits. Humilié, je ne pouvais qu'abdiquer tant j'étais dépassé.
Soudainement une gifle réveilla mon visage de tout mon long, me ramena brusquement à la raison…


Une main tendue vers moi, me releva et s'exclama, tout comme les autres autour s'instruisent dans le fou rire.
Se moquèrent comme un pari gagné pour eux, ils s'exclamèrent sans fin, me voyant démuni et ne se suffises.
Ils se pissent dessus de rire, comme je me suis pissé dans mon jeans de peur démuni et ça suffit cette nuit.
Cette nuit du 31 octobre, je m'en souviendrai et encore aujourd'hui car ils sont tous impliqués dans leurs délires.


************


25 Ah non! Ce n'est pas drôle MYSTERRE 7.75

Bravo ! un excellent poème respectant les consignes ( et sur un "air " de ; " Oh ! rage, Oh ! désespoir, Oh ! vieillesse ennemie..." Le Cid de Corneille )
Un peu loin du thème….mais après coup les pannes d’ordi prêtent à rire
Plus mélancolique qu’humoristique


Oh, my God! Voilà que mon ordi me trahit
Pourtant ce crétin n'est pas encore assez vieux
Il aurait pu attendre un jour, cet abruti
Mais il a décidé d'être avec moi, vicieux.


Orage, je vois tout noir, Ô neurones démunis
Que n'ai-je protégé mes textes si précieux
Mon pauvre cerveau n'est certainement pas fini
Où avais-je la tête, sur terre ou dans les cieux?


Dans mon crâne c'est le désordre, la zizanie
Quand je pense que mon PC devient victorieux
Il se moque de mes poèmes et je le maudis
Il sont perdus à jamais, j'enrage...Adieu


Je marche de travers comme un cadavre, un zombie
Qui déambule, un squelette sur son drôle d'essieu
Je me demande si je suis toujours bien en vie
Dans ma caboche le temps est vraiment trop pluvieux.


Ce soir, j'irai donc chialer au fond de mon lit
Me cognant la tronche contre les barreaux de mon pieu
Je suis trop conne, écervelée, voilà ma vie
Mes poèmes... Sur clé USB, comme mes aïeux.

*************

26 Les animals et leurs amis mots REIUQRAPELCRAM 8.74 médaille d'argent


Un monde animal qui ne manque pas de piquant !
Plein d'humour, très imagé, une grande aisance dans l'écriture, bien rythmé...J'ai adoré. bravo !
Faut rigoler






Un dalmatien aboyant l’arithmétique
Une coccinelle se prenant pour un domino
Un coq passionné de chant lyrique
Et une vache dans un grand kimono

Un corbeau se prenant pour une corbeille
Une taupe chez l'ophtalmo
Un ours qu'en pince pour une abeille
Et un renard chantant Renaud

Une gazelle s'arrêtant pour du gas-oil
Un loup blanc jouant à saute mouton
Un grizzly qui s'épile, un furet qui se poile
Et une puce qui se prend pour Zébulon

Une escalope de dinde qui bluff
Un canard prit pour un pigeon
Par un crapaud qui se cru bœuf
Plus tard plumé par le dindon.

Une cigogne à la tête d'un trafic d'enfants
Une araignée déchue de son trône en toile
Mais le castor raconte encore des contes amusants.
Ainsi est le monde indien au calumet des étoiles.
 
Dernière édition par un modérateur:

kokoa

Maître Poète
#7
Ouh la...
Ce n'est pas du tout un thème pour moi.
En tous cas, j'ai hâte de voir ça! Une bonne dose d'air frai et de rire, voilà qui promet!

Bon courage ~
 

kinkin

Maître Poète
#8
Ah ah ah laissez moi rire vous me prenez pour un ABAB du rire un nabab elle est bien bonne celle la je n'ai pas de pétrole mes j'ai des idées ce n'est pas de moi pas drôle celle la allez je vais allé creuser pas le sol mais ma tête voir si j'ai des idées bonne journée bandes de comique aux mimiques amicalement du drôle de comique Coconat
 

prose16

Maître Poète
#12
Ce n'est pas ma période créatrice d'humour, ce n'est pas ma faute, il faut que mon humeur chagrine se dépiaute, alors tant pis je ne participerai pas... mais irai vous lire avec attention pour booster l'endorphine dont j'ai besoin rapidement, m'étirer les zygomatiques, c'est super bon contre l'affaissement du visage!!!
Bonne soirée à tous et que vos écrits nous "éclatent", pas trop quand même!!!;):D
images (4).jpg
 
S

Sophie0206

Guest
#15
J'OFFRE L’APÉRITIF.....



ROMEO ET JULIETTE

DUO AVEC MOI MEME
OUI C'EST POSSIBLE



O mon roméo je suis pour toujours ta juliette
celle qui fait la popote et lave tes chaussettes
mon tendre amour je suis à jamais à tes pieds
oui roméo ,je vais chercher du bois pour la cheminée


O ma juliette ,mon délicieux sucre d'orge
va chercher chez l'apothicaire un sirop pour la gorge
à ton retour ,n'oublie pas de repasser ma chemise
dépèche toi j'ai faim ,vite que la table soit mise


O mon roméo ,je suis heureuse à tes cotés
même si la nuit ta mélodie sont tes pets
tu ronronnes d'amour ,faisant vibrer ,notre demeure
dans tes bras je m'enfuis ,chaque jour ,chaque heure


O ma juliette ,reprise le trou de mon pantalon
va bêcher le jardin ,que nos légumes soient bon
frotte ,range ,nettoie ,la maison du sol au plafond ,
mais surtour ,ma princesse ,ne me prends pas pour un con


O mon roméo ,,je serais ,ta plus humble servante
mon amour pour toi est fort ,toujours monte la pente
tes paroles sont un baume ,je t'aime à mourir
même si ton haleine ,sent de plus en plus le pourrir


O ma juliette ,va fermer les volets de ma fenêtre
as tu fait les courses pour ma petite fête
ce soir ,mes amis ,pourront lire ce bonheur
qui emplit depuis toujours nos deux coeurs



O mon roméo ,,quelle joie ,de servir tes amis
il y du bon vin, et je prépare un énorme rôti
ce soir ,je serais à tes cotés la plus belle
mon amour oui je vais sortir avant les poubelles


O ma juliette ,ce soir ,tu te feras discrète
dans la cuisine ,tu t'ennuieras pas certe
à présent laisse moi me poser,je suis épuisé
une bonne sieste ,et le tour est joué ,
ETC ETC ETC oui ceci n'a pas de fin MDR
LOLA
SUPER, j'aime beaucoup ton duo toute seule, beau travail ma Lili.

Gros bisous
bravo 6.gif
 

lyseron

Je reviens de loin, mais je ne vous oublie pas....
Membre du personnel
#20
J'adore Elie Kakou, il était d'une finesse, et toujours ce rapport avec sa grand-mère ( Madame Sarfati , attendrissant ) Merci pour ce rappel...Bisous...lys
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.