Voici,donc un chef venant me parler,
Il me dit que nous devrions éviter de raler,
L'entreprise apporte à tous la prospérité.
Elle nous évite à tous de travailler,
La nature. Pelles et pioches sont dures à utiliser,
Ainsi, grâce à eux, notre vie est améliorée ?
Qu'il en dit... Cet homme avisé, c'est sur !
La D.R.H. est connue pour être pure,
Selon lui, le comptable évite les coupures,
Vous savez, ces manques à gagner... Biensur !
J'en rigole ! C'est donc ça le bonheur ?
C'est connu !Le manouvrier est heureux.
Pouvoir d'achat, qu'il a, ou bien si peu,
C'est un argument, selon le P.D.G., trop vieux.
Priorité aux actionnaires ! Oui ! A l'investissement !
Mais de la population ouvrière ? Eh ben, on leur ment !
Pas grave qu'elle soit moins riche... Vraiment ?
Qui achetera donc ? Avec notre peu continuellement,
Il nous faut pourtant donner pour recevoir. Assurément !
Le temps peut être compris de toute sorte,
Il coule, pour le patron, avec une escorte,
De chiffres et d'arguments, que l'ouvrier supporte,
Car il est qu'une vision comme une porte,
La quelle, on l'ouvre à l'instant où l'on porte,
Les nouvelles du jour. Je dis c'est short !
Car le temps passe pour la population,
D'années, de décennies, qui sont en relation,
Avec les entreprises et les évolutions,
Car ces deux mondes vivent en communion,
L'une et l'autre reliées à la consomation,
Ainsi ! Absurde § Tu possédes une différente vision,
Actionnaires et salariés en réels adéquation ?
Tien ? Et le patron ? Et sa théorie ?
Oh ! Il use donc de la tromperie ?
Moins donner pour plus recevoir ? J'en ris !
Ou bien, pleure, toi l'ouvrier... Celui qui lit,
Car si l'oxmose salariés-actionnaires est anéanti,
Assurément ! Je te le jure ! C'est toi qui en pâti !
Christophe.
Il me dit que nous devrions éviter de raler,
L'entreprise apporte à tous la prospérité.
Elle nous évite à tous de travailler,
La nature. Pelles et pioches sont dures à utiliser,
Ainsi, grâce à eux, notre vie est améliorée ?
Qu'il en dit... Cet homme avisé, c'est sur !
La D.R.H. est connue pour être pure,
Selon lui, le comptable évite les coupures,
Vous savez, ces manques à gagner... Biensur !
J'en rigole ! C'est donc ça le bonheur ?
C'est connu !Le manouvrier est heureux.
Pouvoir d'achat, qu'il a, ou bien si peu,
C'est un argument, selon le P.D.G., trop vieux.
Priorité aux actionnaires ! Oui ! A l'investissement !
Mais de la population ouvrière ? Eh ben, on leur ment !
Pas grave qu'elle soit moins riche... Vraiment ?
Qui achetera donc ? Avec notre peu continuellement,
Il nous faut pourtant donner pour recevoir. Assurément !
Le temps peut être compris de toute sorte,
Il coule, pour le patron, avec une escorte,
De chiffres et d'arguments, que l'ouvrier supporte,
Car il est qu'une vision comme une porte,
La quelle, on l'ouvre à l'instant où l'on porte,
Les nouvelles du jour. Je dis c'est short !
Car le temps passe pour la population,
D'années, de décennies, qui sont en relation,
Avec les entreprises et les évolutions,
Car ces deux mondes vivent en communion,
L'une et l'autre reliées à la consomation,
Ainsi ! Absurde § Tu possédes une différente vision,
Actionnaires et salariés en réels adéquation ?
Tien ? Et le patron ? Et sa théorie ?
Oh ! Il use donc de la tromperie ?
Moins donner pour plus recevoir ? J'en ris !
Ou bien, pleure, toi l'ouvrier... Celui qui lit,
Car si l'oxmose salariés-actionnaires est anéanti,
Assurément ! Je te le jure ! C'est toi qui en pâti !
Christophe.