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Comment le prophète mohammed

relita

Nouveau poète
#1
Comment le prophète mohammed (paix et bénédiction sur lui) traitait-il les enfants




  • Rapporté par Oumm Qais bint Mihsin:
    J’amenai mon jeune fils, qui n’avait pas encore commencé à manger de nourriture solide, au Messager d’Allah qui le prit sur ses genoux. Mon fils urina sur le vêtement du Prophète; alors il demanda qu’on lui apporte de l’eau, qu’il versa sur la partie de son vêtement qui était souillée ; il ne prit pas la peine de laver le vêtement en entier. (Sahih Boukhari, vol.1, livre 4, no. 223)
  • Rapporté par Abou Qatada al-Ansari :
    Le Messager d’Allah priait en tenant dans ses bras Oumama, fille de Zainab (sa propre fille à lui) et de ‘As bin Rabi’a bin ‘Abdoushams. Lorsqu’il se prosternait, il la déposait par terre et lorsqu’il se relevait, il la reprenait sur lui. (Sahih Boukhari, vol.1, livre 9, no.495)
  • Rapporté par Anas bin Malik:
    Le Prophète a dit : « Parfois, je commence une prière avec l’intention de la prolonger, mais lorsque j’entends les pleurs d’un enfant, je l’écourte car je sais que les pleurs de cet enfant troublent sa mère. » (Sahih Boukhari, vol.1, livre 11, no.677)
  • Rapporté par Anas bin Malik:
    Nous accompagnâmes le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) chez le forgeron Abou Saif, qui était le mari de la nourrice d’Ibrahim (le fils du Prophète). Le Messager d’Allah prit Ibrahim dans ses bras, l’embrassa et huma son odeur. Un peu plus tard, nous entrâmes dans la maison d’Abou Saif ; à ce moment, Ibrahim vivait ses dernières minutes. Les yeux du Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) s’emplirent de larmes. ‘Abdourrahman bin ‘Auf dit : « Ô Messager d’Allah ! Même toi tu pleures! » Ce dernier répondit : « Ô ibn ‘Auf! C’est par pitié! » Puis il pleura encore plus et dit : « Les yeux répandent des larmes et le cœur est rempli de chagrin. Mais nous ne dirons rien qui ne plaise à notre Seigneur. Ô Ibrahim! En vérité, nous sommes très chagrinés par ton départ! » (Sahih Boukhari, vol.2, livre 23, no.390)
  • Rapporté par Abou Hourayra ad-Daousi :
    Un jour, le Prophète sortit et je l’accompagnai. Il ne me parla guère et je ne lui parlai point non plus jusqu’à ce qu’il atteigne le marché de Bani Qainouqa; il s’assit alors dans la cour de la maison de Fatima et demanda des nouvelles de son petit-fils, al-Hassan. Fatima, cependant, garda l’enfant à l’intérieur pendant quelque temps. Je pensai que peut-être elle lui changeait ses vêtements ou lui donnait un bain. Enfin, l’enfant sortit de la maison en courant et le Prophète l’étreignit et l’embrassa, puis il dit : « Ô Allah! Aime-le et aime quiconque l’aimera. » (Sahih Boukhari, vol.3, livre 34, no.333)
  • Rapporté par Sahl bin Sad :
    Un verre (rempli d’eau ou de lait) fut apporté au Messager d’Allah qui en but, tandis qu’à sa droite était assis un garçon qui se trouvait être le plus jeune parmi tous ceux qui étaient présents. De l’autre côté, à sa gauche, se trouvaient des gens âgés. Le Prophète demanda à l’enfant : « Ô jeune homme! Me permets-tu de donner le restant du breuvage aux personnes âgées d’abord? » Le garçon répondit : « Ô Messager d’Allah! Je ne donnerai la priorité à personne sur moi pour ce qui est de boire le restant d’un breuvage que tu as entamé. » Alors le Prophète le lui donna. (Sahih Boukhari, vol.3, livre 40, no.541)
  • Rapporté par al-Bara :
    J’ai vu le Prophète porter al-Hassan sur son épaule en disant : « Ô Allah! Je l’aime, alors je Te prie de l’aimer aussi. » (Sahih Boukhari, vol.5, livre 57, no.92)
  • Rapporté par Asma:
    Elle rapporta qu’elle conçut ‘Abdoullah bin az-Zoubair. Elle ajouta : « J’émigrai à Médine alors que ma grossesse tirait à sa fin. En chemin, je m’arrêtai à Qouba, où je donnai naissance à mon fils. Puis je l’amenai au Prophète et je le mis sur ses genoux. Le Prophète demanda qu’on lui apporte une datte, la mâcha et mit un peu de son jus dans la bouche de l’enfant. Ainsi, la première chose qui entra dans l’estomac du nourrisson fut la salive du Messager d’Allah. Ensuite, ce dernier frotta le palais du bébé avec une datte et invoqua la bénédiction d’Allah sur lui. Il s’agissait du premier enfant né parmi les émigrants de Médine. (Sahih Boukhari, vol.5, livre 58, no.248)
  • Rapporté par ‘Omar bin Abi Salama :
    J’étais un enfant laissé à la garde du Messager d’Allah et ma main avait tendance à se promener dans les plats lorsque nous mangions. Alors le Prophète me dit : « Ô jeune homme! Mentionne le nom d’Allah, mange avec ta main droite et mange ce qui, du plat, se trouve le plus près de toi. » À partir de ce moment, j’appliquai sans faute ces règles chaque fois que je mangeai. (Sahih Boukhari, vol.7, livre 65, no.288)
  • Rapporté par Abou Moussa :
    Ma femme accoucha d’un garçon, que j’amenai au Prophète. Il le nomma Ibrahim, fit le Tahnik pour lui avec une datte, invoqua la bénédiction d’Allah sur lui et me le redonna. (Le narrateur ajoute : il s’agissait du fils aîné d’Abou Moussa.) (Sahih Boukhari, vol.7, livre 66, no.376)
  • Rapporté par Anas bin Malik :
    Abou Talha avait un enfant qui était malade. Un jour, tandis qu’il était sorti, l’enfant rendit l’âme. Lorsqu’il revint à la maison, il demanda : « Comment va mon fils? » Oumm Salaym (sa femme) lui répondit : « Il est plus calme qu’il ne l’a jamais été. » Puis elle lui servit à souper, il mangea et alla se coucher avec elle. Lorsqu’il eut terminé, elle lui dit : « Va enterrer l’enfant, car il est mort. » Le lendemain matin, Abou Talha alla voir le Messager et lui raconta ce qui s’était passé. Ce dernier lui demanda : « As-tu eu des rapports avec ta femme la nuit dernière? » Abou Talha lui répondit par l’affirmative. Alors le Prophète dit : « Ô Allah! Accorde-leur Ta bénédiction en ce qui a trait à cette nuit qu’ils ont passée ensemble! » Oumm Salaym devint enceinte et accoucha d’un autre garçon. Abou Talha me demanda de prendre soin du bébé jusqu’à ce qu’il soit amené au Prophète. Puis il l’amena voir ce dernier et Oumm Soulaym envoya quelques dattes avec l’enfant. Le Prophète prit l’enfant sur ses genoux et demanda s’ils avaient apporté quelque chose avec lui. On lui répondit : « Oui, quelques dattes. » Il en prit une, la mâcha, en sortit un tout petit morceau de sa bouche et le mit dans la bouche de l’enfant, fit le Tahnik avec et le nomma Abdoullah. (Sahih Boukhari, vol.7, livre 66, no.379)
  • Rapporté par Abou Hourayra :
    Le Messager d’Allah embrassa al-Hassan bin ‘Ali tandis que al-Aqra’ bin Habis at-Tamim était assis près de lui. Al-Aqra’ dit : « J’ai dix enfants et je n’ai jamais embrassé aucun d’eux. » Le Messager d’Allah lui jeta un coup d’œil et lui dit : « Quiconque n’est pas bienveillant envers les autres ne sera pas traité avec bienveillance. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.26)
  • Rapporté par ‘Aisha :
    Un bédouin vint voir le Prophète et lui dit : « Vous [i.e. votre peuple] embrassez les garçons ?! Nous ne les embrassons jamais ! » Le Prophète lui répondit : « Je ne peux remettre la miséricorde dans votre cœur après qu’Allah l’en ait retiré. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.27)
  • Rapporté par Anas :
    J’ai été au service du Prophète pendant dix ans et il ne m’a jamais dit « ouf » (i.e. un mot ou un soupir exprimant l’impatience), pas plus qu’il ne m’a fait de reproches en me disant : « Pourquoi as-tu fait cela? » ou « Pourquoi n’as-tu pas fait cela? ». (Sahih Boukhari, vol.8, livre73, no.64)
  • Rapporté par Sahl :
    Lorsque al-Moundhir bin Abou Ousayd naquit, il fut amené au Prophète, qui le mit sur ses genoux. Mais comme ce dernier avait les mains occupées à autre chose, Abou Ousayd demanda à quelqu’un de prendre son fils des genoux du Prophète. Lorsque ce dernier termina de faire ce à quoi il était occupé, il demanda : « Où est l’enfant? » Abou Ousayd répondit : « Nous l’avons ramené à la maison. » Le Prophète demanda : « Quel est son nom? » Abou Ousayd dit : « Son nom est (untel). » Le Prophète répondit : « Non : son nom est al-Moundhir. » Alors il fut nommé al-Moundhir à partir de ce jour. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.211)
  • Rapporté par Anas :
    Le Prophète était le meilleur des hommes en terme de caractère. J’avais un frère qui s’appelait Abou ‘Omar et qui, je crois, venait tout juste d’être sevré. Chaque fois qu’on l’amenait au Prophète, ce dernier disait : « Ô Abou ‘Omar ! Qu’a fait le Noughayr (rossignol) ? » Il s’agissait d’un rossignol avec lequel il avait l’habitude de jouer. Parfois, l’heure de la prière arrivait alors que le Prophète se trouvait chez nous. Il ordonnait alors que le tapis sous ses pieds soit balayé et aspergé d’eau, puis il se levait pour prier ; nous nous alignions derrière lui et il menait la prière. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.222)
  • Rapporté par Sahl bin Sad :
    Le nom qui était le plus cher à ‘Ali était Abou Tourab et il aimait qu’on l’appelle par ce nom, car le Prophète avait été le premier à le nommer ainsi. Un jour, ‘Ali se fâcha avec sa femme (Fatima); il sortit de sa maison et alla dormir près d’un mur dans la mosquée. Le Prophète vint le chercher et quelqu’un lui dit : « Il est là, près du mur. » Le Prophète s’approcha de lui et vit que son dos était recouvert de poussière. Il se pencha et, en époussetant son dos, lui dit : « Lève-toi, ô Abou Tourab! » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.223)
  • Rapporté par Anas bin Malik :
    Il rapporte qu’il passa près d’un groupe de garçons et les salua. Puis il dit : « Le Prophète avait l’habitude de le faire. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 74, no.264)
  • Rapporté par ‘Aisha :
    Les gens avaient l’habitude d’amener leurs garçons au Prophète et ce dernier invoquait la bénédiction d’Allah sur eux. Une fois, un nourrisson lui fut amené et il urina sur ses vêtements. Il demanda qu’on lui apporte de l’eau, en aspergea l’endroit qui était souillé, sans prendre la peine de laver son vêtement au complet. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 75, no.366)
  • Rapporté par ‘Abdoul ‘Aziz :
    Anas dit : « Lorsque le Messager d’Allah arriva à Médine, Abou Talha prit ma main et m’emmena voir ce dernier. Il lui dit : « Ô Messager d’Allah! Anas est un garçon intelligent; prends-le à ton service. » Anas ajouta : « Alors je demeurai au service du Prophète, lorsqu’il était chez lui comme lorsqu’il était en voyage. Par Allah, il ne m’a jamais dit, pour une chose que j’avais faite : « Pourquoi as-tu fait cela? » ou pour une chose que je n’avais pas faite : « Pourquoi ne l’as-tu pas faite? ». (Sahih Boukhari, vol.9, livre 83, no.46)



Auteur: Abdoulaziz S. Al-Shoumar icsfp.com

 

hanine

Nouveau poète
#3
chapeau petite soeur c trés beau à lire il y a quelques hitoires que je connais déjà mais il y a aussi ceux que je connais pas alors merciiiiiiiiiii .......... que dieux te protège et pretège notre religion .......... AMIIIIINE.
 

NoUnOuRsEtTe

Nouveau poète
#4
Je voulais simplement te dire une chose : Allah t'offre sa reconnaissance puisque ce sont des versets très importants du Coran que je n'ai pas forcément sû mais que je viens d'apprendre ! Merci infiniment et que Dieu te protège toi et toute ta famille !
 

mehedi

Nouveau poète
#5
cooooooooool relita c très jolie
merci pour tes magnifique poemes et ke allah protège toi et ta famille et bien sur tes amis
 

Kader

Nouveau poète
#6
on ne se lasse jamais de se faire rappeler les bonnes manieres de notre prophete (que le salut soit sur lui) bien aimé. Merci pour ça.
 

creafan

Nouveau poète
#7
tres belle perspective tu voit t'as l'inteligence de mettre ces verste de coran a tous le monde que allah t'offre sa misericorde et que les tiens et ous ceux qui lisent ou entende ces douces paroles soient apaiser par ces versets de coran