Comme un pastis,
(sans opinion entre un Ricard et 51)
Jaune comme un pastis,
C'est un gilet de laine,
Et qui par Toutatis,
Couvre mauvaise haleine,
Aux odeurs de MacDo,
Qui sent l'acre friture,
Jouant la-mi-ré-do,
Veux de la confiture,
Qui attire la mouche,
Comme le fruit pourrit,
Qui du bout des doigts touche,
Le rêve qui nourrit,
Au flambeau la victoire,
Du fléau dangereux,
Du mensonge notoire,
Qui freine les peureux,
Alors qu'il veut crier,
Le bon peuple s'étouffe,
Au fond de l'encrier,
Par la botte et la touffe,
D'un journaleux chagrin,
Qui pleure la violence,
Et donne le bon grain,
D'un poids sur la balance,
Pour le juste a propos,
Quand trop de voix inondent,
En hurlant aux complots,
Des vérités infondent,
Et sous un ciel profond
Du jaune sur du jaune,
l'étoile se confond,
L'espoir devient aphone,
Alors comme un pastis,
C'est un gilet de laine,
qu'assemble au jeu tétris,
Recouvert d'une haleine,
Nauséabonde hélas,
De ce propos raciste,
Qui cramera les as,
Restant le pessimiste,
Le mouvement se meurt,
Dans sa tête encore ivre,
En son sein la tumeur,
La liberté veut vivre.
(sans opinion entre un Ricard et 51)
Jaune comme un pastis,
C'est un gilet de laine,
Et qui par Toutatis,
Couvre mauvaise haleine,
Aux odeurs de MacDo,
Qui sent l'acre friture,
Jouant la-mi-ré-do,
Veux de la confiture,
Qui attire la mouche,
Comme le fruit pourrit,
Qui du bout des doigts touche,
Le rêve qui nourrit,
Au flambeau la victoire,
Du fléau dangereux,
Du mensonge notoire,
Qui freine les peureux,
Alors qu'il veut crier,
Le bon peuple s'étouffe,
Au fond de l'encrier,
Par la botte et la touffe,
D'un journaleux chagrin,
Qui pleure la violence,
Et donne le bon grain,
D'un poids sur la balance,
Pour le juste a propos,
Quand trop de voix inondent,
En hurlant aux complots,
Des vérités infondent,
Et sous un ciel profond
Du jaune sur du jaune,
l'étoile se confond,
L'espoir devient aphone,
Alors comme un pastis,
C'est un gilet de laine,
qu'assemble au jeu tétris,
Recouvert d'une haleine,
Nauséabonde hélas,
De ce propos raciste,
Qui cramera les as,
Restant le pessimiste,
Le mouvement se meurt,
Dans sa tête encore ivre,
En son sein la tumeur,
La liberté veut vivre.
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