Que tu es doux à regarder, doux à gouter
Tu nous coule entre les doigts
Ton noir n'a d'égal que ton blanc
Ton goût succulent nous fait tomber à la renverse
Tu es aphrodisiaque parait-il et c'est vrai
Tu peut être parfois tout ferme et tout tendre sous la dent
Comment se passer de toi, tu coûte cher mais tu en vaut la peine
La fleur de ton parfum nous allume les sens jusque là sans vie
On commencre par un premier morceau de toi et on doit finir par le dernier
Comment te résister, tu nous donnes de l'énergie et nous rend calme ensuite
Ta saveur est intense et on obtient ce qu'on attent de toi
Je te mange quand je suis joyeux et quand je suis triste
Je suis obsédé par toi à en avoir mal au coeur parfois
Comment ne pas t'aimer, tant de choix, tant de beaux emballages tu as
Quelle merveilleuse goumandise tu es, tu es d'une beauté à croquer
Quand on l'aime, on ne l'aime pas, on l'adore
Comment se passer de cette exquise gourmandise, un péché bien mérité
Tu sais être pur, fourré d'une cerise, d'un caressant fondant, d'une noix parfois si dur en ton coeur
On te laisse fondre dans la bouche ou on te dévore sans retenu à pleine main.
Par ces quelques paraphrases, de quoi je parle : de chocolat ou de vous, belles femmes ? À vous de choisir. C'est selon votre bon goût !
Tu nous coule entre les doigts
Ton noir n'a d'égal que ton blanc
Ton goût succulent nous fait tomber à la renverse
Tu es aphrodisiaque parait-il et c'est vrai
Tu peut être parfois tout ferme et tout tendre sous la dent
Comment se passer de toi, tu coûte cher mais tu en vaut la peine
La fleur de ton parfum nous allume les sens jusque là sans vie
On commencre par un premier morceau de toi et on doit finir par le dernier
Comment te résister, tu nous donnes de l'énergie et nous rend calme ensuite
Ta saveur est intense et on obtient ce qu'on attent de toi
Je te mange quand je suis joyeux et quand je suis triste
Je suis obsédé par toi à en avoir mal au coeur parfois
Comment ne pas t'aimer, tant de choix, tant de beaux emballages tu as
Quelle merveilleuse goumandise tu es, tu es d'une beauté à croquer
Quand on l'aime, on ne l'aime pas, on l'adore
Comment se passer de cette exquise gourmandise, un péché bien mérité
Tu sais être pur, fourré d'une cerise, d'un caressant fondant, d'une noix parfois si dur en ton coeur
On te laisse fondre dans la bouche ou on te dévore sans retenu à pleine main.
Par ces quelques paraphrases, de quoi je parle : de chocolat ou de vous, belles femmes ? À vous de choisir. C'est selon votre bon goût !
