Nymphe homérique, venue hanter ma vie,
La paréidolie de ton image voilée,
S'esquisse sans fin, dans ce ciel étoilé
Où mon regard figé, se perd, se réfugie.
L'aria de mon coeur, murmure ton prénom,
Quand les émeraudes de tes yeux scintillent,
Dans le sanctuaire d'une âme fille,
Des louanges teintées, par un amour profond.
Sur nos flots d'océan, sous la force du vent,
Des vagues alanguies, affluent mes sentiments,
Ivres de ta chaleur, enchaînés à ton corps.
Cendres ou poussières, qu'importe la forme,
Fidèle rebelle, je serais cet homme,
Qui par delà la mort, t'aimera encore.