C’est une matinée de samedi qui baigne sous les rayons du soleil d’un été prometteur. Le vent froid de l’hiver, déjà lointain, fait ses ultimes adieux.
J’ai besoin de ton poison mon cher scorpion.
Ce matin, les gens crient des adieux à leurs enfants des bienvenues aux corbeaux!
Je pense à toi, femme, avec tes défauts, tes qualités, à toi guerrière de Dieu, mon cher scorpion.
Oui, ce matin, le peuple crie que ce sera la fin des inégalités! Cette aube se révèle être cruciale pour tous : riches ou pauvres…
Ton caractère, ton égoïsme, ton instinct de survie, ta sincérité et ton grand amour, mon cher scorpion, ont fait de toi la guerrière de Dieu.
Les mauvaises langues te jugent ! Les incrédules te font pleurer, mais la force de ton grand amour affirme et confirme chaque fois ton rang royal.
Il y a un siècle que je t’ai vue pour la première fois, grâce à Dieu, à travers les venelles de mes rêves accomplis : une jeune fille qui reflétait le ciel sur ses yeux et portait l’enfer sur ses lèvres.
A tes dix-huit ans, un nouveau réveil s’est produit ; la porte des rues s’est ouverte devant toi. L’égoïsme et la confusion des gens en avaient été la cause. Cependant, aux yeux des autres, tu as montré que ce changement n’a fait que nourrir ta force.
Tu faisais toujours respecter ton territoire. Les passants t’écoutaient quand tu criais les injustices à tous vents.
Et ce matin, tu es déjà partie depuis très long temps, mais tes idées révolutionnaires et tes leçons de vie resteront toujours présentes, mon cher petit scorpion, guerrière de Dieu.
Dédié à Marinne.
J’ai besoin de ton poison mon cher scorpion.
Ce matin, les gens crient des adieux à leurs enfants des bienvenues aux corbeaux!
Je pense à toi, femme, avec tes défauts, tes qualités, à toi guerrière de Dieu, mon cher scorpion.
Oui, ce matin, le peuple crie que ce sera la fin des inégalités! Cette aube se révèle être cruciale pour tous : riches ou pauvres…
Ton caractère, ton égoïsme, ton instinct de survie, ta sincérité et ton grand amour, mon cher scorpion, ont fait de toi la guerrière de Dieu.
Les mauvaises langues te jugent ! Les incrédules te font pleurer, mais la force de ton grand amour affirme et confirme chaque fois ton rang royal.
Il y a un siècle que je t’ai vue pour la première fois, grâce à Dieu, à travers les venelles de mes rêves accomplis : une jeune fille qui reflétait le ciel sur ses yeux et portait l’enfer sur ses lèvres.
A tes dix-huit ans, un nouveau réveil s’est produit ; la porte des rues s’est ouverte devant toi. L’égoïsme et la confusion des gens en avaient été la cause. Cependant, aux yeux des autres, tu as montré que ce changement n’a fait que nourrir ta force.
Tu faisais toujours respecter ton territoire. Les passants t’écoutaient quand tu criais les injustices à tous vents.
Et ce matin, tu es déjà partie depuis très long temps, mais tes idées révolutionnaires et tes leçons de vie resteront toujours présentes, mon cher petit scorpion, guerrière de Dieu.
Dédié à Marinne.