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Chapitre 8

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CHAPITRE 8​

Les jours passaient, j’allais à l’école et toujours lui ; qui bien d’autre que lui Monsieur le directeur qui essaie à chaque instant de me pourrir la vie. Maman est tout le temps avec lui. A cause de lui je ne mène plus une vie de paix avec ma mère ; je n’arrivais même pas à lui parler ; elle est très occupée ces temps-ci. Elle me gronde parfois à cause de lui, parce que je refusais d’aller avec lui en voiture au lycée et en plus elle est influencée par ces idées en ce qui concerne mon éducation. Que dire de plus ; ma vie est devenue un horrible enfer.
Near et moi comme d’habitude censés de rester ensemble.
- Lucie ; dis ça te dit de conclure un marché ? dit Near
- Oui ; de quel marché tu parles en tout cas ? dis-je
- Bah au lieu de rester comme ça, à nous lamenter sur notre sort, et à gaspiller du temps comme on a fait de toute notre enfance ; pourquoi ne pas faire semblant d’être des amis devant les autres ; on se dit des mots polis, on se sourit, on fait semblant de rigoler ensemble, on fait semblant de s’entre-aider …. Dit-il
- Oui pourquoi pas ! je suis tout à fait d’accords avec toi ! dis-je
Et c’était pour la première fois que je lui ai dit que j’étais tout à fait d’accords avec lui ; quel changement ; le directeur ne me laisse pas le choix, j’ai peur de céder. Near regarda avec amour Caroline qui marchait devant nous.
- Ahah ! ne me dis pas que t’es infecté par la grippe des poissons ? dis-je
Il me regarda avec une grand étonnement et bizarreté et me dit :
- Ah bon ! on a trouvé un autre groupe de grippe ? y’en a la grippe porcine, grippe aviaire … et qu’est ce que cette grippe de poisson fait ?
- Bah idiot ; dis-je en m’éclatant de rire ; non c’est une grippe imaginée par moi-même ; je l’a donne aux gens qui sont atteint par la maladie d’amour ; et malheureusement t’es infecté aussi mon cher.
- Oui, Caroline me fait craquer, une princesse qui marchait sur nos terres. Mais je ne sais pas comment lui dire je t’aime L. Dit Near tristement
- Near en personne a donné tous ses cartes quand il s’agit de l’amour ! c’est vraiment bizarre … et si je te dis que je peux t’aider à gagner l’amour de Caroline ? dis-je
- Ah bon ? et que ferai-je en échange. Dit-il
- Parle moi de ton oncle et donnes moi une liste de tous les trucs qu’il déteste au monde. Dis-je
- Ah non, tout sauf faire de la peine à mon oncle, il n’est pas une mauvaise personne. Dit-il
- Il l’est avec moi ; il m’a dit la chose que je déteste le plus au monde ! dis-je
- Mais … dit il
- Ok ! ok j’ai une idée pourquoi ne me parles tu que de lui , de sa vie privé … il n’est pas marié ? dis-je
- Euh … non, il refuse le mariage, parce qu’il n’a aimé qu’une seule femme dans sa vie toute entière. Dit-il
- Maintenant j’ai toute saisie, dis quand je peux parler à ton oncle non en tant que directeur mais … dis-je
- Quand est ce que tu veux ; demande-le-lui …ou attends-le après l’école près de sa voiture. dit-il
- Et s’il te plaît ne lui dis rien de tout ça ; ok ? dis-je
- D’accord ! dit-il