Chérie si je t’ai offensée, je m’en excuse
Moi avec les mots je m’amuse
Loin d’avoir la science infuse
Je pourrais écrire sur les Abruzzes
Notre prochaine destination Vaduz
Sur les inondations du Vaucluse
Sur ma voisine, la vieille buse
Qui toute la journée, écluse
De la bière et de la Suze
Affublée de sa tête de méduse
Que j’aimerai voir tant Syracuse
Ou sur ma fille qui est blanche céruse
En ne quittant pas sa cambuse
Ou sur les métiers d’antan de canuse
Non moi j’aime écrire sur ma muse
Même si parfois elle est confuse
L’autre jour, la finaude avec ruse
Et allez voir sur Créa ce que je diffuse
Dans mon petit monde elle s’est faite intruse
Après m’avoir lu elle m’a dit < Tu abuses >
Elle a failli me jouer un air de cornemuse
Je me suis fait passer pour le Docteur Mabuse
Mes lignes écrites elle les récuse
Si je l’ai offensée, je m’en excuse
Je reconnais que ma poésie fut obtuse
Moi avec les mots je m’amuse
Loin d’avoir la science infuse
Je pourrais écrire sur les Abruzzes
Notre prochaine destination Vaduz
Sur les inondations du Vaucluse
Sur ma voisine, la vieille buse
Qui toute la journée, écluse
De la bière et de la Suze
Affublée de sa tête de méduse
Que j’aimerai voir tant Syracuse
Ou sur ma fille qui est blanche céruse
En ne quittant pas sa cambuse
Ou sur les métiers d’antan de canuse
Non moi j’aime écrire sur ma muse
Même si parfois elle est confuse
L’autre jour, la finaude avec ruse
Et allez voir sur Créa ce que je diffuse
Dans mon petit monde elle s’est faite intruse
Après m’avoir lu elle m’a dit < Tu abuses >
Elle a failli me jouer un air de cornemuse
Je me suis fait passer pour le Docteur Mabuse
Mes lignes écrites elle les récuse
Si je l’ai offensée, je m’en excuse
Je reconnais que ma poésie fut obtuse