Je ne dors plus de mes nuits,
Tellement je pense à toi.
Si je vais des heures sous la pluie,
Je ne sens même plus le froid
L'eau peut ruisseler sur mes cheveux,
Me heurter de plein fouet,
Glisser dans mon dos,brouiller mes yeux,
Je me protège à ta pensée.
Glissée sous une carapace d'amour,
Je me protège un peu plus de la vie,
Mais je t'imagines et te rêves tous les jours,
Même si la réalité,je l'ai compris.
Comme on peut manquer d'air,
Tu me manques chaque instant,
Tu ne m'aimeras jamais,c'est clair,
Et j'ai si mal en y pensant.
Tu es si gentil,si parfait,
Tu m'as considérée avec respect,
Presque trop beau pour être vrai,
Mais ai-je vraiment le droit de t'aimer?
Une autre personne t'a conquis,
Comme toujours je suis venue trop tard,
Mais si ton coeur est déjà pris,
Peut-on m'interdire l'espoir?
Et si un jour les choses changeaient,
Suis-je obligée de ne plus y croire?
Et si demain tu m'appelais,
Est-ce un crime de garder cet espoir?
Je sais que ça n'arrivera pas,
J'ai l'habitude de la douleur,
Pourtant j'ai tout au fond de moi,
Encore une infime petite lueur.
J'aimerais tant que tu sois là,
Que l'on discute,qu'on rie aussi,
Toucher ta main du bout des doigts,
Tandis que ton visage m'éblouis.
J'aimerais vraiment avoir tes bras,
Pour éponger mes larmes,mon chagrin,
J'aimerais tellement être pour toi,
Simplement juste quelqun de bien.
Si tu pouvais seulement m'aimer,
Rien qu'un millième de ce que je t'aime,
Si tu pouvais seulement imaginer,
Cette passion,cet orage que tu sèmes
Dans mon coeur tourmenté,
Et mon âme asservie,
Ma tête obstinée,
Mon esprit insoumis.
Je ne peux pas me résigner
A t'oublier ainsi.
Pardonnes-moi de t'aimer,
Mais je n'ai pas choisi.
Tellement je pense à toi.
Si je vais des heures sous la pluie,
Je ne sens même plus le froid
L'eau peut ruisseler sur mes cheveux,
Me heurter de plein fouet,
Glisser dans mon dos,brouiller mes yeux,
Je me protège à ta pensée.
Glissée sous une carapace d'amour,
Je me protège un peu plus de la vie,
Mais je t'imagines et te rêves tous les jours,
Même si la réalité,je l'ai compris.
Comme on peut manquer d'air,
Tu me manques chaque instant,
Tu ne m'aimeras jamais,c'est clair,
Et j'ai si mal en y pensant.
Tu es si gentil,si parfait,
Tu m'as considérée avec respect,
Presque trop beau pour être vrai,
Mais ai-je vraiment le droit de t'aimer?
Une autre personne t'a conquis,
Comme toujours je suis venue trop tard,
Mais si ton coeur est déjà pris,
Peut-on m'interdire l'espoir?
Et si un jour les choses changeaient,
Suis-je obligée de ne plus y croire?
Et si demain tu m'appelais,
Est-ce un crime de garder cet espoir?
Je sais que ça n'arrivera pas,
J'ai l'habitude de la douleur,
Pourtant j'ai tout au fond de moi,
Encore une infime petite lueur.
J'aimerais tant que tu sois là,
Que l'on discute,qu'on rie aussi,
Toucher ta main du bout des doigts,
Tandis que ton visage m'éblouis.
J'aimerais vraiment avoir tes bras,
Pour éponger mes larmes,mon chagrin,
J'aimerais tellement être pour toi,
Simplement juste quelqun de bien.
Si tu pouvais seulement m'aimer,
Rien qu'un millième de ce que je t'aime,
Si tu pouvais seulement imaginer,
Cette passion,cet orage que tu sèmes
Dans mon coeur tourmenté,
Et mon âme asservie,
Ma tête obstinée,
Mon esprit insoumis.
Je ne peux pas me résigner
A t'oublier ainsi.
Pardonnes-moi de t'aimer,
Mais je n'ai pas choisi.
