Il y a des gamines qu’on dévisage dans la rue,
Sans même savoir pourquoi elle essaie de se cacher de nos regards dénues.
Mais peu importe l’âge de cette femme,
Peu importe son passé, l’important c’est le sublime de son âme,
Des jours passent, puis des mois,
Et c’est pour cela qu’elle est partie loin de tout ça.
Son ventre s’est arrondi,
Et tout près de son cœur, un autre vit.
On en conclu qu’elle a un cœur d’or,
Même si elle a fané après que ce garçon ait conquis son corps,
Et malgré les douleurs,
Elle lutte, brisant les chaînes de ses peurs,
Peu importe le moment,
Elle ressent déjà un grain de sentiment,
Le petit bambin niché au creux de ses reins,
Se battra jusqu’au bout du chemin.
Dans la rue on dévisage ces adolescentes,
Mais personne ne songe à la passion incandescente,
Personne ne pense au courage de ces jeunes filles,
Qui avance de fil en aiguille,
Offrant une bonne leçon à ces nouveau-nés,
Les modèles des femmes qui se sentent exister,
Et malgré tout ce que l’on peut dire, elles sont bien là,
Essayant de rester fière et droite sans regarder en bas,
Personne ne choisit d’être enceinte, mais pourtant,
On continue de les trainer dans la boue,
De poser un regard hautain et dégoûtant,
Sur ces fières battantes qui tiennent debout,
Elles qui se sont faites bernées par ces hommes qui leur promette Monts et Merveilles,
Continuent de jouer au magnifique Soleil,
Pour elles rien ne sera plus jamais pareil,
Car sur eux, elles veilleront avec ce doux regard de miel.
Sans même savoir pourquoi elle essaie de se cacher de nos regards dénues.
Mais peu importe l’âge de cette femme,
Peu importe son passé, l’important c’est le sublime de son âme,
Des jours passent, puis des mois,
Et c’est pour cela qu’elle est partie loin de tout ça.
Son ventre s’est arrondi,
Et tout près de son cœur, un autre vit.
On en conclu qu’elle a un cœur d’or,
Même si elle a fané après que ce garçon ait conquis son corps,
Et malgré les douleurs,
Elle lutte, brisant les chaînes de ses peurs,
Peu importe le moment,
Elle ressent déjà un grain de sentiment,
Le petit bambin niché au creux de ses reins,
Se battra jusqu’au bout du chemin.
Dans la rue on dévisage ces adolescentes,
Mais personne ne songe à la passion incandescente,
Personne ne pense au courage de ces jeunes filles,
Qui avance de fil en aiguille,
Offrant une bonne leçon à ces nouveau-nés,
Les modèles des femmes qui se sentent exister,
Et malgré tout ce que l’on peut dire, elles sont bien là,
Essayant de rester fière et droite sans regarder en bas,
Personne ne choisit d’être enceinte, mais pourtant,
On continue de les trainer dans la boue,
De poser un regard hautain et dégoûtant,
Sur ces fières battantes qui tiennent debout,
Elles qui se sont faites bernées par ces hommes qui leur promette Monts et Merveilles,
Continuent de jouer au magnifique Soleil,
Pour elles rien ne sera plus jamais pareil,
Car sur eux, elles veilleront avec ce doux regard de miel.
Il y a de celles qui renoncent, et de celles qui essaient. Un choix pourtant difficil que peu de gens comprennent.