Ce Cher Crépuscule
Prose
L’Aube, et ce cher Crépuscule
Dès l’œil ouvert, je bois une beauté commune
Parole d’évangile qui se perd en Nature
Mais que ma bouche retient avalant par les yeux
Ce qui dirige ma lèvre ! Un tableau merveilleux!
N’est-ce pas en premier le repas « nouveau-né »
Qui reconduit nos pas sur berceau animé!
S’offre l’Amour, s’octroie en partage, si proche
Qu’il ne compte pas ! Il donne, un cœur pioche* !
C’est à l’aube qu’un ciel surprend ma révérence
Qui renaît chaque soir ! Double contemplation
Sitôt le crépuscule en image, à l’essence
D’une aurore en réveil, quand l’oiseau en passion
Joue de ses ailes en rêve, alerte tous ses frères !
A l’horizon lointain, un clan s’élève fier
Fait une sure-enchère niché sur conifère
Parmi la vie, la sève fait remonter la fièvre!
Le soleil rougissant la Nature frêle Dame!
Accuse un beau décor, levant le soir l’étoile
Et ses fidèles en fête envahissent, se pâment!
Dès que le jour se meurt, que le sombre dévoile
En tenue de paupière, jette un flash sur la scène,
Et l'éclair bienveillant aiguise l’étincelle
Sur dentelle animée en pieux feux enjoués!
Alors, mon regard sourd ne peut se détacher!
Il suit jusqu’aux frissons splendeur et son revers!
Je reste tout entier suspendu dans l’éther
Qui s’entoure de silence émouvant ! Ô funeste*
C’est là que l’âme suit un fin cortège oral
L’insaisissable voix !’Firmament Abyssal!
Polymnie2, le 3 septembre 2015
*Pioche pris dans le sens de prendre
Je n’apprécie pas ce terme, mais à défaut…
*Funeste pris dans le sens saignant
Pourquoi prose ?
Du fait des rimes imparfaites, et de quelques imperfections de prosodie!
Prose
L’Aube, et ce cher Crépuscule
Dès l’œil ouvert, je bois une beauté commune
Parole d’évangile qui se perd en Nature
Mais que ma bouche retient avalant par les yeux
Ce qui dirige ma lèvre ! Un tableau merveilleux!
N’est-ce pas en premier le repas « nouveau-né »
Qui reconduit nos pas sur berceau animé!
S’offre l’Amour, s’octroie en partage, si proche
Qu’il ne compte pas ! Il donne, un cœur pioche* !
C’est à l’aube qu’un ciel surprend ma révérence
Qui renaît chaque soir ! Double contemplation
Sitôt le crépuscule en image, à l’essence
D’une aurore en réveil, quand l’oiseau en passion
Joue de ses ailes en rêve, alerte tous ses frères !
A l’horizon lointain, un clan s’élève fier
Fait une sure-enchère niché sur conifère
Parmi la vie, la sève fait remonter la fièvre!
Le soleil rougissant la Nature frêle Dame!
Accuse un beau décor, levant le soir l’étoile
Et ses fidèles en fête envahissent, se pâment!
Dès que le jour se meurt, que le sombre dévoile
En tenue de paupière, jette un flash sur la scène,
Et l'éclair bienveillant aiguise l’étincelle
Sur dentelle animée en pieux feux enjoués!
Alors, mon regard sourd ne peut se détacher!
Il suit jusqu’aux frissons splendeur et son revers!
Je reste tout entier suspendu dans l’éther
Qui s’entoure de silence émouvant ! Ô funeste*
C’est là que l’âme suit un fin cortège oral
L’insaisissable voix !’Firmament Abyssal!
Polymnie2, le 3 septembre 2015
*Pioche pris dans le sens de prendre
Je n’apprécie pas ce terme, mais à défaut…
*Funeste pris dans le sens saignant
Pourquoi prose ?
Du fait des rimes imparfaites, et de quelques imperfections de prosodie!
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