Comment faire pour l'assumer, le vivre, le laisser s'exprimer et prendre possession de ce qui est à lui ?
Fermez les yeux et donnez moi vos mains. Sentez le visage de cette femme, ses lèvres qui jouent avec vos doigts, son cou mince et sensuel.
Ses mains guident les vôtres le long de son buste, remontent vers ses épaules, dans ses cheveux puis, de nouveau entre ses lèvres où vos doigts vont et viennent -doucement- inlassablement- au rythme de sa respiration.
Sa robe glisse le long de ses courbes jusqu'à atteindre le sol.
Vos mains, toujours sous l'emprise des siennes viennent effleurer ses seins, en dessinent lentement le contour dans un tourbillon toujours plus étroit, se dirigeant en leur centre, telle une fatalité, un passage incontournable, une attirance magnétique.
Ses seins, effrontement féminins, émus par les frissons qui les parcourent, n'ayant pour moyen d'expression que le durcissement envoûtant, enivrant et terriblement excitant de leur téton.
Ils sont là, ils s'exhibent sous vos mains, droits, durs, au garde à vous et pourtant si féminins.
Elle guide vos mains le long de cette peau si chaude et si douce pour les nicher entre ses cuisses, sanctuaire chaud et humide du plaisir extrême.
Sa rèspiration s'accelère, elle gémit, elle est au bord de l'évanouissement.
Vos yeux jusqu'alors fermés s'ouvrent pour la voir, l'admirer, la dévorer, la boire et lire sur son visage, dans ses yeux, l'abandon total, terrible, irreversible au plaisir qui, dans une décharge élèctrique la traversant de part en part, fait arquer son corps, ce corps qui brûlait de désir à présent se consume de plaisir.
Une jouissance irréelle, venue d'un autre monde, comme elle n'en connaissait pas jusqu'alors -des sensations par milliers -une explosion chatoyante.
La jouissance à l'état Pur.
Fermez les yeux et donnez moi vos mains. Sentez le visage de cette femme, ses lèvres qui jouent avec vos doigts, son cou mince et sensuel.
Ses mains guident les vôtres le long de son buste, remontent vers ses épaules, dans ses cheveux puis, de nouveau entre ses lèvres où vos doigts vont et viennent -doucement- inlassablement- au rythme de sa respiration.
Sa robe glisse le long de ses courbes jusqu'à atteindre le sol.
Vos mains, toujours sous l'emprise des siennes viennent effleurer ses seins, en dessinent lentement le contour dans un tourbillon toujours plus étroit, se dirigeant en leur centre, telle une fatalité, un passage incontournable, une attirance magnétique.
Ses seins, effrontement féminins, émus par les frissons qui les parcourent, n'ayant pour moyen d'expression que le durcissement envoûtant, enivrant et terriblement excitant de leur téton.
Ils sont là, ils s'exhibent sous vos mains, droits, durs, au garde à vous et pourtant si féminins.
Elle guide vos mains le long de cette peau si chaude et si douce pour les nicher entre ses cuisses, sanctuaire chaud et humide du plaisir extrême.
Sa rèspiration s'accelère, elle gémit, elle est au bord de l'évanouissement.
Vos yeux jusqu'alors fermés s'ouvrent pour la voir, l'admirer, la dévorer, la boire et lire sur son visage, dans ses yeux, l'abandon total, terrible, irreversible au plaisir qui, dans une décharge élèctrique la traversant de part en part, fait arquer son corps, ce corps qui brûlait de désir à présent se consume de plaisir.
Une jouissance irréelle, venue d'un autre monde, comme elle n'en connaissait pas jusqu'alors -des sensations par milliers -une explosion chatoyante.
La jouissance à l'état Pur.