CALINS MUTINS
Comme une vague qui s’écrase sur le rocher,
Je voudrais me briser contre ton cou,
Et me perdre dans son duvet.
Prise au piège de tes sous-entendus,
Comme il est doux, le moment où,
Je me niche dans ta poitrine velue.
Nos lèvres se cherchent, se croisent fiévreusement.
Je m’engloutis au creux de tes reins,
Quel délice, quand tu te laisses aller à des câlins.
Mes seins ronds offerts ne demandent que caresses,
Par tes mains coquines, qui flottent passionnément,
Perdant la raison, je sens des signes de faiblesse.
Tes cheveux ondulent sur la peau de mes cuisses,
Qui s’ouvrent tel un coquillage,
Se font dévorer par une bouche gourmande.
Te faufilant sur d’autres rivages,
Dans de subtils prémices,
Tes baisers me mordillent le creux de mon dos,
Et s’enivrent dans mon sexes rose,
Qui se déploie tel un coquelicot.
Cajolée, tu me consommes à petites doses.
Mon corps tout entier se fond,
Ne devient que turbulence,
Demandant qu’à mourir de jouissance.
Dans mon esprit troublé, tout se confond.
Sans plus attendre, dans ton petit val de mousse,
Baignant dans l’insouciance,
Passionnée, je me glisse en douce,
J’entends tes petits cris qui n’osent plus,
Je te respire et ne t’écoute plus.
Le temps s’évapore et l’on s’égare,
Je te supplie d’arrêter, mais je mens,
Mon esprit n’est plus qu’un épais brouillard,
Lorsque tu m’effeuilles, un peu, passionnément.
Fais-moi des nuits blanches,
Et des siestes à ne plus finir,
Des matins bleus et des beaux dimanches,
Avec comme seul horizon, tes yeux coquins,
Qui s’attardent pour me séduire,
Comme les vagues à l’océan, je suis à toi,
Nos corps repus sentent bon la rosée du matin,
Dans le creux des volets, le soleil se lève déjà.
Tes yeux pétillent comme une flamme,
Petit à petit, s’éveille une autre femme,
Epanouie, libérée de tous ses complexes,
Je ne te quitterai sous aucun prétexte.
Comme une vague qui s’écrase sur le rocher,
Je voudrais me briser contre ton cou,
Et me perdre dans son duvet.
Prise au piège de tes sous-entendus,
Comme il est doux, le moment où,
Je me niche dans ta poitrine velue.
Nos lèvres se cherchent, se croisent fiévreusement.
Je m’engloutis au creux de tes reins,
Quel délice, quand tu te laisses aller à des câlins.
Mes seins ronds offerts ne demandent que caresses,
Par tes mains coquines, qui flottent passionnément,
Perdant la raison, je sens des signes de faiblesse.
Tes cheveux ondulent sur la peau de mes cuisses,
Qui s’ouvrent tel un coquillage,
Se font dévorer par une bouche gourmande.
Te faufilant sur d’autres rivages,
Dans de subtils prémices,
Tes baisers me mordillent le creux de mon dos,
Et s’enivrent dans mon sexes rose,
Qui se déploie tel un coquelicot.
Cajolée, tu me consommes à petites doses.
Mon corps tout entier se fond,
Ne devient que turbulence,
Demandant qu’à mourir de jouissance.
Dans mon esprit troublé, tout se confond.
Sans plus attendre, dans ton petit val de mousse,
Baignant dans l’insouciance,
Passionnée, je me glisse en douce,
J’entends tes petits cris qui n’osent plus,
Je te respire et ne t’écoute plus.
Le temps s’évapore et l’on s’égare,
Je te supplie d’arrêter, mais je mens,
Mon esprit n’est plus qu’un épais brouillard,
Lorsque tu m’effeuilles, un peu, passionnément.
Fais-moi des nuits blanches,
Et des siestes à ne plus finir,
Des matins bleus et des beaux dimanches,
Avec comme seul horizon, tes yeux coquins,
Qui s’attardent pour me séduire,
Comme les vagues à l’océan, je suis à toi,
Nos corps repus sentent bon la rosée du matin,
Dans le creux des volets, le soleil se lève déjà.
Tes yeux pétillent comme une flamme,
Petit à petit, s’éveille une autre femme,
Epanouie, libérée de tous ses complexes,
Je ne te quitterai sous aucun prétexte.