Cadette .....
A l'aube et du haut de tes dix huit ans
Ma grande lycéenne au cœur trop endurci
Tant de souffrances où tu mêles ce sang
Petite carapace forgée, faites, dernier cris
Durant tant d'années de garde alternée
Que le juge d'enfants ne faisaient que maudire
Mais le juge des affaires familiales ayant trancher
N'écoutant pas tes larmes ce satyre
Quand tes treize ans ont sonné comme un clairon
Tous les soldats se sont rangés au garde à vous
Tu t'aies posté de ton poids plume sur le perron
En criant !! Je reste à jamais chez nous
Puis-je comprendre la réaction de ton père?
Quand tous ses coups bas ont brisé ma vie
Te mettant entre nous comme une portière
Qu'il claque à sa guise ce cruel insoumis
Tu as après maintes discutions accepter de le voir
Partager avec lui des dimanches et jours de fêtes
Jusqu'à ce jour où sans un seul au revoir
Tu as coupé les ponts, je croyais à un coup de tête ?
Depuis ce moment là il est silencieux et ne te voit
Ta sœur étant l'intermédiaire assez discrète
Mais un autre coup de lune et venu en éclat
Tu as changé ton numéro de tél pour aucune prise de tête
Mais vois-tu ma fille ta mère est à présent sous les projecteurs
Suis-je coupable de cette histoire se disent-ils?
Je suis fatiguée de cette souffrance à tout heure
Surtout que je ne connaissais pas les raisons de tes ''ainsi soit-il"
A présent ta sœur ignore totalement ma présence
Je suis la pendue sans même une explication
Je savais que ma vie est un échafaud qui mène à la potence
Mais là c'est le sommet d'un cratère prêt à l'explosion
Il y a deux jours ta sœur est venue et j'étais transparente
C'est à toi seule qu'elle désirait converser
Je me suis isolée comme une brebis en errance
Dans ma chambre sans rien entendre ni écouter
J'ai entendu ta voix monter de plusieurs décibels
Et là ta sœur est venue vider le trop plein de venin
Elle a claqué la porte aussi droite qu'une sentinelle
Sans me donner l'occasion de lui prendre la main
Son coup de fil matinal le lendemain fut terrible
Ses cris et ses propos ont dépassé mon imagination
La soumise a essayé d'en placer une, assez d'être la cible
De tous ces remue-ménages dont je suis le seul pion
Sur ce jeu d'échec , je ne trouve pas ma place
Tu as coupé les ponts et te mure dans un silence cloué
Aujourd'hui il est temps que je mette de l'ordre et ça m'agace
De savoir à présent tous les mots méchants de ton aînée
Je n'ai à ce jour aucune preuve de tout ce que tu avances
Mais les coups de fils sans réponse en dise long sur cette infamie
Pour ne plus porter le poids de tous mes silences
Etant étrangère à ce méli_mélo que je n'ai pas besoin dans ma vie
Si ma carapace est brisée et mon solde précaire
Si mon cœur saigne de maux que je dissimule
Les fables ne terminent pas toute au poil près à l'équerre
Faut-il un joug pour vous entraîner toutes les deux sur la mule ?
Les mots dont tu apostrophes ta sœur sont très durs
Mais il est évident qu'à ce jour elle me le rend bien
Je ne suis plus à ces yeux la mondaine au ciel d'azur
Oui!! La vie offre parfois des surprises et on n'est plus rien
Ô Dieu tant de choses restent dans le noir des non-dits
Cette route parsemée de clous et de profondes ornières
Est un crève cœur qui à jamais sans famille, je maudis
L'au delà sera mon adieu et bien salutaire .....
Retrouver pour toujours mes parents et mes frères ......Je me sens si seule
Si certains veulent péter plus haut encore dans la soie
Je ne suis pas là pour essuyer leurs derrières
Christine tu as choisi de suivre à tous prix ma voie
La précarité plutôt qu'une vie de billets en bandoulière .......
Une simple vérité .....Mais manques-tu de quelque chose?
C'est pas le luxe mais à manger et à boire sans oublier les factures ....Que dire
Et bien Stéphanie a choisi l'autre côté ...Mais y a t'il une vraie cause ?
Il est où le bonheur il est où ? Chez le banquier ? Pour le meilleur ou le pire ?
Maman
A l'aube et du haut de tes dix huit ans
Ma grande lycéenne au cœur trop endurci
Tant de souffrances où tu mêles ce sang
Petite carapace forgée, faites, dernier cris
Durant tant d'années de garde alternée
Que le juge d'enfants ne faisaient que maudire
Mais le juge des affaires familiales ayant trancher
N'écoutant pas tes larmes ce satyre
Quand tes treize ans ont sonné comme un clairon
Tous les soldats se sont rangés au garde à vous
Tu t'aies posté de ton poids plume sur le perron
En criant !! Je reste à jamais chez nous
Puis-je comprendre la réaction de ton père?
Quand tous ses coups bas ont brisé ma vie
Te mettant entre nous comme une portière
Qu'il claque à sa guise ce cruel insoumis
Tu as après maintes discutions accepter de le voir
Partager avec lui des dimanches et jours de fêtes
Jusqu'à ce jour où sans un seul au revoir
Tu as coupé les ponts, je croyais à un coup de tête ?
Depuis ce moment là il est silencieux et ne te voit
Ta sœur étant l'intermédiaire assez discrète
Mais un autre coup de lune et venu en éclat
Tu as changé ton numéro de tél pour aucune prise de tête
Mais vois-tu ma fille ta mère est à présent sous les projecteurs
Suis-je coupable de cette histoire se disent-ils?
Je suis fatiguée de cette souffrance à tout heure
Surtout que je ne connaissais pas les raisons de tes ''ainsi soit-il"
A présent ta sœur ignore totalement ma présence
Je suis la pendue sans même une explication
Je savais que ma vie est un échafaud qui mène à la potence
Mais là c'est le sommet d'un cratère prêt à l'explosion
Il y a deux jours ta sœur est venue et j'étais transparente
C'est à toi seule qu'elle désirait converser
Je me suis isolée comme une brebis en errance
Dans ma chambre sans rien entendre ni écouter
J'ai entendu ta voix monter de plusieurs décibels
Et là ta sœur est venue vider le trop plein de venin
Elle a claqué la porte aussi droite qu'une sentinelle
Sans me donner l'occasion de lui prendre la main
Son coup de fil matinal le lendemain fut terrible
Ses cris et ses propos ont dépassé mon imagination
La soumise a essayé d'en placer une, assez d'être la cible
De tous ces remue-ménages dont je suis le seul pion
Sur ce jeu d'échec , je ne trouve pas ma place
Tu as coupé les ponts et te mure dans un silence cloué
Aujourd'hui il est temps que je mette de l'ordre et ça m'agace
De savoir à présent tous les mots méchants de ton aînée
Je n'ai à ce jour aucune preuve de tout ce que tu avances
Mais les coups de fils sans réponse en dise long sur cette infamie
Pour ne plus porter le poids de tous mes silences
Etant étrangère à ce méli_mélo que je n'ai pas besoin dans ma vie
Si ma carapace est brisée et mon solde précaire
Si mon cœur saigne de maux que je dissimule
Les fables ne terminent pas toute au poil près à l'équerre
Faut-il un joug pour vous entraîner toutes les deux sur la mule ?
Les mots dont tu apostrophes ta sœur sont très durs
Mais il est évident qu'à ce jour elle me le rend bien
Je ne suis plus à ces yeux la mondaine au ciel d'azur
Oui!! La vie offre parfois des surprises et on n'est plus rien
Ô Dieu tant de choses restent dans le noir des non-dits
Cette route parsemée de clous et de profondes ornières
Est un crève cœur qui à jamais sans famille, je maudis
L'au delà sera mon adieu et bien salutaire .....
Retrouver pour toujours mes parents et mes frères ......Je me sens si seule
Si certains veulent péter plus haut encore dans la soie
Je ne suis pas là pour essuyer leurs derrières
Christine tu as choisi de suivre à tous prix ma voie
La précarité plutôt qu'une vie de billets en bandoulière .......
Une simple vérité .....Mais manques-tu de quelque chose?
C'est pas le luxe mais à manger et à boire sans oublier les factures ....Que dire
Et bien Stéphanie a choisi l'autre côté ...Mais y a t'il une vraie cause ?
Il est où le bonheur il est où ? Chez le banquier ? Pour le meilleur ou le pire ?
Maman