Il se gondole, rit, réjouit la cabriole ;
Ah ! Comme il est rigolo
Aussi désaxé et plus qu’une antique carriole
Qui secoue ce gigolo
Mais il a dans sa tête un gentil cabriolet
L’emmenant chez une dame
Qui prendra dans ses bras ce jeune cabri au lait
Tressautant de corps et d’âme ;
Sont des jours comme ça où le haut-le-cœur rigole
Même avec un travelo
Dont les attributs vus enjambent une rigole
Où pisse le populo
Qui, une fois mangé un gros pain pétri au lait
Et bu un jus noir de vigne
Vomit en caniveau en chantant un triolet
L’œil glauque et plissé qui cligne.
Ah ! Comme il est rigolo
Aussi désaxé et plus qu’une antique carriole
Qui secoue ce gigolo
Mais il a dans sa tête un gentil cabriolet
L’emmenant chez une dame
Qui prendra dans ses bras ce jeune cabri au lait
Tressautant de corps et d’âme ;
Sont des jours comme ça où le haut-le-cœur rigole
Même avec un travelo
Dont les attributs vus enjambent une rigole
Où pisse le populo
Qui, une fois mangé un gros pain pétri au lait
Et bu un jus noir de vigne
Vomit en caniveau en chantant un triolet
L’œil glauque et plissé qui cligne.