Brouillard d'automne.
Afin d'apaiser l'âme écrire ce bienfait
Pour autant que le vers te soit un paysage
Au clair aérien de sa ligne sauvage
Qui ne ressemble pas, de près à ce qu'on fait,
Nulle banalité pour l'esprit ne saurait,
Et je le sais bel ange animer ton visage
Illuminé de l'or de ma ligne aussi sage
Qu'irréelle, pourtant, si fidèle à son trait ;
Bien ! Passons sérieux, à ce moment d'automne
Enfin là ce matin en cette aube qu'étonne
Mon regard enchanté de ce joli brouillard,
Vois-tu, d'attendre hélas, je n'y voyais ce rêve
De l'aiguille de pin rougir un peu le soir
Pour amidonner l'air, où sa robe se lève...
Daniel beau le poète rêveur
12 novembre 2022
Inknotpad
Google Chrome
08:31
Afin d'apaiser l'âme écrire ce bienfait
Pour autant que le vers te soit un paysage
Au clair aérien de sa ligne sauvage
Qui ne ressemble pas, de près à ce qu'on fait,
Nulle banalité pour l'esprit ne saurait,
Et je le sais bel ange animer ton visage
Illuminé de l'or de ma ligne aussi sage
Qu'irréelle, pourtant, si fidèle à son trait ;
Bien ! Passons sérieux, à ce moment d'automne
Enfin là ce matin en cette aube qu'étonne
Mon regard enchanté de ce joli brouillard,
Vois-tu, d'attendre hélas, je n'y voyais ce rêve
De l'aiguille de pin rougir un peu le soir
Pour amidonner l'air, où sa robe se lève...
Daniel beau le poète rêveur
12 novembre 2022
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