Le blabla et le babil du blond bambin blême d'un barbon blanc belge barbu, obèse, imbu et imbibé de bibine, qui boit la bière au bar en broc, dans ce boui-boui, me barbe. Sans débat, je bouge et je barbote la bonbonne à la bonne, et bourre en bouche un bonbon à ce baby bouboule à la bouille bien bête. Bobonne, barbie à bijoux, bimbo à la base, bombe bigote à bas, bise la bobine de son bébé Bibi, bilobé qui baille, boite et bloque la baie. Le bel abbé bègue, beur en bure beige, butte sur le bord du banc et le bac à bambou et déboule, ébaubi, baba, debout dans le buis puis en boule dans la boue du bois comme un babouin bourré d'un baobab. Pas de bol, son bide blackboule sa bible sur la bielle du bus bleu, blesse un bon bonze black en bob et en bottes qui bosse au bout du box en bric-à-brac. Le beau boy ibère du bey boude, obéi et boxe, bat et baffe boa, biche, bique et bouc, boeuf bai, en bloc. La buse ! Sa bague bine le beurre bio en bribes. Bof, bobards ! Blasé, sans bobo ni bubon, mon bic dans le bec, je bois mon bock comme un barbeau au bal qui a du blé. Mon but, pas de bile. De bulles, je n'abuse. Sans blague, sans beigne, ça baigne.