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Blanche et pure étreinte………. (Acrostiche)

#1
L’histoire que je vais vous raconter, est le fruit de mon imagination, un rêve éveillé
Ecrire, toujours et encore est ma façon de fuir ce monde, essayer de m’en évader
Simplement laisser mon âme vagabonder, errer, la plume glissant, se laissant guider

Ces instants de solitude, dans ce train, vers d’autres horizons me font ainsi voyager
Oui, vers des lieux magnifiques, si réels dans ma tête ils sont, que je peux les palper
Un monde, qui est le mien, ceux qui le veulent peuvent le partager, m’accompagner
Rien d’autre il vous faut, simplement ouvrir votre cœur, et vous laisser emporter
Beau et magnifique voyage, aller venez, etrangemessager vous invite si vous voulez
Et ses paysages imaginaires, irréels, romantiques, vous les faire partager, visiter
Sans aucunes craintes, votre cœur en osmose avec le mien, laisser vous aller à rêver

Dans un majestueux paysage de montagnes d’hiver on est, est ce que vous le voyez ?
En cette petite vallée encaissée, encerclée de hauts massifs entièrement enneiges

Tout semble figé, momifié, pétrifié, dans cet épais manteau de neige ainsi tombée
Oui, d’une telle beauté que seul les montagnards connaissent, et savent la raconter
Négative est la température, bien en dessous de zéro degrés, en ce mois de janvier

Coin si reculé, qu’aucune route n’y parvient, juste un petit sentier pour y accéder
Oui, un merveilleux petit paradis blanc, si éloigné, isolé, qu’il en est presque oublié
Recouvertes de neige lourde, les forets de résineux, d’immenses sapins dressés
Ployant sous cette charge, immobiles, vêtus, de blanc tels de vaillants chevaliers
Sérénité des lieux, pureté des cieux, qu’un soleil radieux vient éclairer, illuminer

Dans ce froid sec et cinglant, chaudement vêtus, main dans la main se promener
Ecouter cet étrange silence, aucun bruit, seuls nos pas dans ce tapis blanc crisser
Chaque respiration, fait devant nous une petit nuage se former, comme de la buée
Offert a nous, cette nature, a perte de vue, seuls tous deux dans cette immensité
Un tapis neigeux, dans lequel, tels des enfants on a envie de s’amuser, chahuter
Vie d’enfant trop vite passée, retrouvée, tous deux enlacés, en riant de se rouler
Rayonnante, ton rire, comme un écho résonne, dieu que j’ai envie de t’embrasser
Il est merveilleux de voir que ton âme d’enfant, tu as su garder, et la préserver
Retrouver l’insouciance des premiers amours, premiers flirts, premiers baisers

Et le froid de nous envelopper, quand le soleil très bas, commence à se cacher
Nicher pas loin, presque invisible, un petit chalet dans la montagne y est perché

Tout ici, ressemble à une carte postale, figée, tel qu’il était le siècle dernier
Offrant mon épaule, ta tête tu as posé, pour vers cet abri se diriger, cheminer
Il parait si isolé, qui peut venir ici ? Un artiste, un poète pour l’inspiration trouver ?

Monter le petit perron, et la porte de l’ouvrir, elle n’est même pas fermé a clef
Et découvrir un merveilleux et tendre petit nid, bien rangé, comme si il était habité

Notre petit havre de paix, ou trône une banquette en rondins devant une cheminée
Ou l’on a jeté des peaux de moutons épaisses, pour s’y reposer, et s’y réchauffer
Y règne une douce odeur de feu, dans les fourrures, tu es, tu t’es déjà pelotonnée
Emmitouflée ainsi, tu me regardes m’affairer, des bougies trouvées, j’ai allumées
Rangées soigneusement dans un coin, des bûches, un petit fagot ainsi que du papier

Par la fenêtre, je vois dans la nuit noire, de petits flocons de neige voler, virevolter
Ouate d’un blanc pur, sur fond de nuit noire, simplement par les bougies éclairer
Un petit peu de journal, quelques petites branchettes, et une allumette j’ai craqué
Rapidement les flammes dans l’âtre ont montées, et de rouge nous ont illuminées

Les plus petites bûches par-dessus j’ai posé, par les flammes délicatement léchées

Et une douche chaleur, a commencé à se diffuser, le feu crépitant dans le foyer
Très vite, notre petit nid a chauffé, de te rejoindre, de ton regard tu m’as supplié
Et de me glisser tout contre toi, dans ce lit douillet, sur ma poitrine tu t’es lovée
Regardant tes yeux, brillants, les flammes se reflétant, avec amour je t’ai embrassé
Nos corps brûlants de désirs, nos mains ont commencé à mutuellement se déshabiller
Intenses envies de l’un et de l’autre, la peau de l’autre elles ont cherchées, caressées
Tes lèvres avides de ma peau tes seins gonflés d’amour, ton ventre offert me réclamer
Et dans une étreinte, ton corps se cambrer, un petit cri, quand en toi je suis entré….

Veuillez me pardonner, si certaines scènes vous ont choqué, ou peut être outré
J’aurais pu, avec plus de détails cette étreinte vous narrer, et encore continuer
Mais il faut parfois savoir s’arrêter, et vous laisser imaginer la douce finalité….

etrangemessager