Ici j’irai goûter, quelques gouttes de six goûts
Où tu y as versé des souvenirs, jetés comme, je ne sais
Entre tes doigts baignés dans le paraquat
Mon cœur tué pisse la racine
On dirait qu’ils soufflent, soufflent tous, sur ma braise
C’est alors, qu’il faut que je sois encore plus fort
Le cri était presque parfait et l’ange se marrait
Ah, le duo de salops
On dirait que l’amour ne voulait pas être là
Lassé de l’égo, avide de donner des leçons sur l’abstrait, l’infini et l’insaisissable
Et jetant sur les yeux de l’aveugle, le dédain, la haine, camion poubelle
C'est bien commode quand on s’appelle Belladone
Où tu y as versé des souvenirs, jetés comme, je ne sais
Entre tes doigts baignés dans le paraquat
Mon cœur tué pisse la racine
On dirait qu’ils soufflent, soufflent tous, sur ma braise
C’est alors, qu’il faut que je sois encore plus fort
Le cri était presque parfait et l’ange se marrait
Ah, le duo de salops
On dirait que l’amour ne voulait pas être là
Lassé de l’égo, avide de donner des leçons sur l’abstrait, l’infini et l’insaisissable
Et jetant sur les yeux de l’aveugle, le dédain, la haine, camion poubelle
C'est bien commode quand on s’appelle Belladone