Allongé sur le tarmac des heures durant soleil pétant
Les tripes en vrac le paroxysme de mes torments
Guette le vautour qui viendra me déchiqueter
assoiffé dans ce désert je me sens si dévoré
Mais ce désert est celui de ma vie de mes peines
De mon coeur et de mon bras à chaque fois que je les saigne
Pas de croyance en ce bas monde déjà détruit
Par la haine qui en mon être un jour s'est établi
Je crache sur le sol en regardant autour de moi
Ferait chavirer cette gondole pour être un peu plus près de toi
Mais le navire a coulé jadis trainant son ancre dans les abymes
Je suis cet orphelin victime de tous vos crimes
Seul dans ce désert j'attend que vienne cette averse
Aussi rare qu'on peut la voir je la réclame comme une caresse
Le vautour m'a déjà dérobé mes entrailles
Mais je me releverais de mes cendre pour continuer bataille
Les tripes en vrac le paroxysme de mes torments
Guette le vautour qui viendra me déchiqueter
assoiffé dans ce désert je me sens si dévoré
Mais ce désert est celui de ma vie de mes peines
De mon coeur et de mon bras à chaque fois que je les saigne
Pas de croyance en ce bas monde déjà détruit
Par la haine qui en mon être un jour s'est établi
Je crache sur le sol en regardant autour de moi
Ferait chavirer cette gondole pour être un peu plus près de toi
Mais le navire a coulé jadis trainant son ancre dans les abymes
Je suis cet orphelin victime de tous vos crimes
Seul dans ce désert j'attend que vienne cette averse
Aussi rare qu'on peut la voir je la réclame comme une caresse
Le vautour m'a déjà dérobé mes entrailles
Mais je me releverais de mes cendre pour continuer bataille