Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Avec charge, un peu licencieux.

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Avec charge, un peu licencieux.
(Pastiche)

Fille de joie, léchez moi,
Mortelle, tu es, ne me regarde pas,
Non, n'enlève pas toutes tes guenilles,
Tu n'arrives surtout pas de cette grande ville,
Rurale, tu es née,
Jouissant d'une origine parfumée,
Mais ici, pas de tortures,
Ton mari te veux encore pure,
J'aime ici te prendre par la taille,
Essayant encore, même si je déraille,
Tu sors de cette avenue, Sur De Faire,
Ce S.D.F Sans Déshonneur Fuyant cette aire,
Cette aire de supplice mettant tes genoux à terre,
Obligeant ce petit camping-car pour repaire,
Ce petit lieu tiède, des choses me faire,
Aussitôt, tu pourras avec moi jouer des fers,
Sans déséquilibre, hautaine, ainsi tu t'élèves,

Avec un beau désir sans frime,
Mais dupé et abusé pour la dime,
Sans jugement, tu es sans le sou,
Te nourrissant de ma petite nouille,
Sans cracher sur le chant de tes mots, érotiquement,

Seulement pour changer la haine des cons en un immense humour.

Luron1er​
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#4
L'original :

Sans titre sinon il serait trop injurieux

Putain lâcher moi

Humaine je le suis, ne le voyez vous pas ?
Oui je ne vous arrive pas à la cheville
Je ne viens pas non plus d'un bidonville
De la campagne je suis née
Avec une enfance perturbée
J'ai aussi connue le martyre
D'un époux qui ma fait subir le pire
Je ne rentre pas dans les détailles
Depuis encore je mène une bataille
J'ai fini à la rue Une sans domicile fixe
La honte je l'ai vécu avec des regards méprisants
Un an de calvaire, avant d'avoir un pied a terre
Une BX pour moi et mon petit chien pour repaire
Un endroit chaud pour cacher ma misère
Désormais vous pouvez me juger et jouer les fiers
Oui j'ai connu la précarité mais humaine je me relève
Même plus envie de faire des rimes
Joué les poètes pour la frime
Vos critiques vous les gardez pour vous
Ecœurée de n'avoir pas de couilles
Et me cacher derrière un écran de maux, noir sur blanc

Juste pouvoir vivre ma passion sans cette putain de critique a la con