Avec charge, un peu licencieux.
(Pastiche)
Fille de joie, léchez moi,
Mortelle, tu es, ne me regarde pas,
Non, n'enlève pas toutes tes guenilles,
Tu n'arrives surtout pas de cette grande ville,
Rurale, tu es née,
Jouissant d'une origine parfumée,
Mais ici, pas de tortures,
Ton mari te veux encore pure,
J'aime ici te prendre par la taille,
Essayant encore, même si je déraille,
Tu sors de cette avenue, Sur De Faire,
Ce S.D.F Sans Déshonneur Fuyant cette aire,
Cette aire de supplice mettant tes genoux à terre,
Obligeant ce petit camping-car pour repaire,
Ce petit lieu tiède, des choses me faire,
Aussitôt, tu pourras avec moi jouer des fers,
Sans déséquilibre, hautaine, ainsi tu t'élèves,
Avec un beau désir sans frime,
Mais dupé et abusé pour la dime,
Sans jugement, tu es sans le sou,
Te nourrissant de ma petite nouille,
Sans cracher sur le chant de tes mots, érotiquement,
Seulement pour changer la haine des cons en un immense humour.
(Pastiche)
Fille de joie, léchez moi,
Mortelle, tu es, ne me regarde pas,
Non, n'enlève pas toutes tes guenilles,
Tu n'arrives surtout pas de cette grande ville,
Rurale, tu es née,
Jouissant d'une origine parfumée,
Mais ici, pas de tortures,
Ton mari te veux encore pure,
J'aime ici te prendre par la taille,
Essayant encore, même si je déraille,
Tu sors de cette avenue, Sur De Faire,
Ce S.D.F Sans Déshonneur Fuyant cette aire,
Cette aire de supplice mettant tes genoux à terre,
Obligeant ce petit camping-car pour repaire,
Ce petit lieu tiède, des choses me faire,
Aussitôt, tu pourras avec moi jouer des fers,
Sans déséquilibre, hautaine, ainsi tu t'élèves,
Avec un beau désir sans frime,
Mais dupé et abusé pour la dime,
Sans jugement, tu es sans le sou,
Te nourrissant de ma petite nouille,
Sans cracher sur le chant de tes mots, érotiquement,
Seulement pour changer la haine des cons en un immense humour.
Luron1er