Au pays de mes insomnies,
Les fantômes de l’ennui,
Viennent frileusement hanter mes nuits,
Je songe à tous nos instants frivoles,
Où dans le ciel de ton lit,
Quelquefois, je convole.
Depuis que tu es parti,
Sur un coup de tête,
Ou celui de la folie,
Pour quelques temps,
Tu m’as délaissée,
Pour goûter aux plaisirs d’une liberté retrouvée,
Et pourtant,
Tes pensées ne sont que regrets.
Pardon mon cœur,
Si je pleure,
Car le temps passé sans toi,
M’accable de trop de soucis.
Pardon mon cœur,
Si je me meurs,
Il semblerait, que tu n’as plus foi en moi,
Mais la nuit seule, au creux de mon lit,
J’ai mal à la vie.
Les fantômes de l’ennui,
Viennent frileusement hanter mes nuits,
Je songe à tous nos instants frivoles,
Où dans le ciel de ton lit,
Quelquefois, je convole.
Depuis que tu es parti,
Sur un coup de tête,
Ou celui de la folie,
Pour quelques temps,
Tu m’as délaissée,
Pour goûter aux plaisirs d’une liberté retrouvée,
Et pourtant,
Tes pensées ne sont que regrets.
Pardon mon cœur,
Si je pleure,
Car le temps passé sans toi,
M’accable de trop de soucis.
Pardon mon cœur,
Si je me meurs,
Il semblerait, que tu n’as plus foi en moi,
Mais la nuit seule, au creux de mon lit,
J’ai mal à la vie.