Aux armes, Marie et moi
Elle est gentille, elle est jalouse,
Elle danse bien, mais est jalouse,
Je l'aime assez, pour la jalouser,
Elle est jalouse pour m'aimer.
Monsieur recherche le fantasme,
Il use de paroles fantasques,
Auprès de sa bande de pies,
À la carrosserie emboutie.
Mademoiselle fait l'ouragan,
Chaude et mouillée en arrivant,
Le mobilier, maison en partant,
Si ça se passe mal elle le prend.
Il fait tout pour me rendre jalouse,
Il pousse le bouchon, c'est la Loose,
Il sait charmer, il le fait exprès,
Il me gonfle, je vais le plaquer.
Et elle se tire, me donne le blues,
Je voudrais pas qu'on se jalouse,
Bien assez jaloux pour l'aimer,
Sur mes genoux, reste, beauté.
Il m'énerve, c'est une vraie plaie,
Je n'aime pas lorsqu'il s'y met,
Je l'aime pourtant sans compter,
Je ne veux pas m'en séparer.
Je compte les brins d'herbe,
Avec mon chien dans le jardin,
Car t'attendre c'est plus un verbe,
Dans la vie je te tiens la main.
Et je me saoule aux embruns,
Pensant au moment opportun,
De pouvoir caresser ta main,
Marchant sur le même chemin.
Phoeube, Matthale ©(28/09/2018)
Elle est gentille, elle est jalouse,
Elle danse bien, mais est jalouse,
Je l'aime assez, pour la jalouser,
Elle est jalouse pour m'aimer.
Monsieur recherche le fantasme,
Il use de paroles fantasques,
Auprès de sa bande de pies,
À la carrosserie emboutie.
Mademoiselle fait l'ouragan,
Chaude et mouillée en arrivant,
Le mobilier, maison en partant,
Si ça se passe mal elle le prend.
Il fait tout pour me rendre jalouse,
Il pousse le bouchon, c'est la Loose,
Il sait charmer, il le fait exprès,
Il me gonfle, je vais le plaquer.
Et elle se tire, me donne le blues,
Je voudrais pas qu'on se jalouse,
Bien assez jaloux pour l'aimer,
Sur mes genoux, reste, beauté.
Il m'énerve, c'est une vraie plaie,
Je n'aime pas lorsqu'il s'y met,
Je l'aime pourtant sans compter,
Je ne veux pas m'en séparer.
Je compte les brins d'herbe,
Avec mon chien dans le jardin,
Car t'attendre c'est plus un verbe,
Dans la vie je te tiens la main.
Et je me saoule aux embruns,
Pensant au moment opportun,
De pouvoir caresser ta main,
Marchant sur le même chemin.
Phoeube, Matthale ©(28/09/2018)
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