Aujourd’hui
L’aube fanée peu ordinaire
Chez nous vint timidement
En cette séquence de froid et d’immense brume.
Au ciel, pas une lumière qui s’émancipe,
Vient chez nous pour quelque temps rester.
Et les oiseaux comme de coutume
Sur les arbres perchés chantent.
Chèvres et moutons toute la nuit calmes
A présent appellent leurs maîtres
Qui toujours les conduisent dans espaces verts.
Dans ma véranda je me suis assis
Au moment où ce vent impétueux
Hostile aux plantes derrière cette case,
Aux feuilles jaunes des fleurs
Entama sa marche vers ce village.
Village paisible !O village natal !
Matin crépusculaire ou journée morte
Diraient certains qui n’osent de leur repos
Sortir.Dans cette cour peu étouffée
Ma mère passa sa houe et laissa
L’unique image que tous observent,
Car dans son enfance elle grandit
Sans laisser propreté derrière elle
Négliger le domicile qui est l'homme ;
Un prunier tout à fait favorable
Que le vent maintenant menace,
Bien que résistant aux assauts répétés
Perd ses feuilles qui s’écroulent
Et m'encerclent.Et les gouttes d'eau
Qui du ciel peu à peu proviennent
Sur ma tête tombent et tombent.
La grand-mère d’en face, meurtrie par l’âge,
De sa cuisine en terre battue seauts à la main
Sort; et tranquillement vers sa véranda se dirige.
October 18, 2008
L’aube fanée peu ordinaire
Chez nous vint timidement
En cette séquence de froid et d’immense brume.
Au ciel, pas une lumière qui s’émancipe,
Vient chez nous pour quelque temps rester.
Et les oiseaux comme de coutume
Sur les arbres perchés chantent.
Chèvres et moutons toute la nuit calmes
A présent appellent leurs maîtres
Qui toujours les conduisent dans espaces verts.
Dans ma véranda je me suis assis
Au moment où ce vent impétueux
Hostile aux plantes derrière cette case,
Aux feuilles jaunes des fleurs
Entama sa marche vers ce village.
Village paisible !O village natal !
Matin crépusculaire ou journée morte
Diraient certains qui n’osent de leur repos
Sortir.Dans cette cour peu étouffée
Ma mère passa sa houe et laissa
L’unique image que tous observent,
Car dans son enfance elle grandit
Sans laisser propreté derrière elle
Négliger le domicile qui est l'homme ;
Un prunier tout à fait favorable
Que le vent maintenant menace,
Bien que résistant aux assauts répétés
Perd ses feuilles qui s’écroulent
Et m'encerclent.Et les gouttes d'eau
Qui du ciel peu à peu proviennent
Sur ma tête tombent et tombent.
La grand-mère d’en face, meurtrie par l’âge,
De sa cuisine en terre battue seauts à la main
Sort; et tranquillement vers sa véranda se dirige.
October 18, 2008