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Aujourd’hui le concerto

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Aujourd’hui le concerto

C’est bien dans l’art que Monique a,
Elle fit une ouverture en harmonica,
Pour souffler faisant vibrer ses lames,
D’un son amenant les larmes.

Faisant enfler son tronc, bonne,
Pour continuer avec son trombone,
Attendant une frappe des cymbales,
Sûr de son cor, mélangé au sein tribal.

Découvrant le tuba et son triangle,
Les tuyaux de l’orgue tenus par une sangle
Gonflant sa batterie, jonglant avec la basse,
Le bas son, répondit flûte à la contrebasse.

Menant les instruments à la baguette,
Sans jamais être un air de guinguette,
A son arc, elle avait plusieurs cordes,
Sur sa harpe, elle rassemble les hordes.

Piano, elle retournait chez elle dans le haut bois,
Délaissant de nouveau ses amis antibois,
Evitant les chasseurs et leurs « pan ! pan !»
Préférant les accords de la flûte de pan,

Elle leur criait : halte au feu ! Halte au,
En essayant l’alarme sur son banjo,
Avec eux pas question d’accorder les violons,
Accordant sa guitare au clavecin un peu souillon.

Mêlant au synthétiseur le xylophone,
A la belle mélodie du saxophone.
Sa renommée n’était pas trompette,
Ni même une simple petite clarinette.

***

X

Aujourd’hui le con serre tôt

C’est bien dans l’art que Monique a,
Elle fit une ouverture en harmonica,
Pour souffler faisant vibrer ses lames,
D’un son amenant les larmes.

Faisant enfler son tronc, bonne,
Pour continuer avec son trombone,
Attendant une frappe des seins balles,
Sûr de son corps, mélangé du sein tribal.

Découvrant le tube bas et son triangle,
Les tuyaux de l’orgue tenus par une sangle
Gonflant sa batterie, jonglant avec la basse,
Le bas son, répondit flûte à la contrebasse.

Menant son instrument à la baguette,
Sans jamais être un air de guinguette,
A son arc, elle avait plusieurs cordes,
Sur sa harpe, elle rassemble les hordes.

Piano, elle retournait chez elle dans le haut bois,
Délaissant de nouveau ses amis antibois,
Evitant les chasseurs et leurs « pan ! pan !»
Préférant les accords pour une flûte de pan,

Elle leur criait : halte au feu ! Halte au,
En essayant la larme sur son banjo,
Avec eux pas question d’accorder les violons,
Accordant son Guy, tare au clave sein un peu couillon.

Mêlant au synthétiseur le xylophone,
A la belle mélodie du saxophone.
Sa renommée n’était pas trompette,

Ni même une simple petite clarinette.
 

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
#2
Pas lu, juste que de souvenir, tu as jamais fait d'éro ^^
Mais je lirais pas, ton image changerait trop pour moi :)
 

Polymnie2

Maître Poète
#3
Elle arriva à cubas
fit un tour sur elle même
grâce à son cul bas

Concerto réussi
amitiés poly
 
#7
Aujourd’hui le concerto

C’est bien dans l’art que Monique a,
Elle fit une ouverture en harmonica,
Pour souffler faisant vibrer ses lames,
D’un son amenant les larmes.


Faisant enfler son tronc, bonne,
Pour continuer avec son trombone,
Attendant une frappe des cymbales,
Sûr de son cor, mélangé au sein tribal.


Découvrant le tuba et son triangle,
Les tuyaux de l’orgue tenus par une sangle
Gonflant sa batterie, jonglant avec la basse,
Le bas son, répondit flûte à la contrebasse.


Menant les instruments à la baguette,
Sans jamais être un air de guinguette,
A son arc, elle avait plusieurs cordes,
Sur sa harpe, elle rassemble les hordes.


Piano, elle retournait chez elle dans le haut bois,
Délaissant de nouveau ses amis antibois,
Evitant les chasseurs et leurs « pan ! pan !»
Préférant les accords de la flûte de pan,


Elle leur criait : halte au feu ! Halte au,
En essayant l’alarme sur son banjo,
Avec eux pas question d’accorder les violons,
Accordant sa guitare au clavecin un peu souillon.


Mêlant au synthétiseur le xylophone,
A la belle mélodie du saxophone.
Sa renommée n’était pas trompette,
Ni même une simple petite clarinette.


***
X

Aujourd’hui le con serre tôt

C’est bien dans l’art que Monique a,
Elle fit une ouverture en harmonica,
Pour souffler faisant vibrer ses lames,
D’un son amenant les larmes.


Faisant enfler son tronc, bonne,
Pour continuer avec son trombone,
Attendant une frappe des seins balles,
Sûr de son corps, mélangé du sein tribal.


Découvrant le tube bas et son triangle,
Les tuyaux de l’orgue tenus par une sangle
Gonflant sa batterie, jonglant avec la basse,
Le bas son, répondit flûte à la contrebasse.


Menant son instrument à la baguette,
Sans jamais être un air de guinguette,
A son arc, elle avait plusieurs cordes,
Sur sa harpe, elle rassemble les hordes.


Piano, elle retournait chez elle dans le haut bois,
Délaissant de nouveau ses amis antibois,
Evitant les chasseurs et leurs « pan ! pan !»
Préférant les accords pour une flûte de pan,


Elle leur criait : halte au feu ! Halte au,
En essayant la larme sur son banjo,
Avec eux pas question d’accorder les violons,
Accordant son Guy, tare au clave sein un peu couillon.


Mêlant au synthétiseur le xylophone,
A la belle mélodie du saxophone.
Sa renommée n’était pas trompette,

Ni même une simple petite clarinette.
Excellent! Très bien trouvé! J'adore cette lecture tout en musique, j'espère qu'il y aura un rappel!