Au vent mes enfants
Je laisse au bien plus désirable,
le champ libre de mes frustrations,
La porte des promesses, à bien souvent claquée,
mais le vents du chagrin à cesser de soufflé.
L'intolérance des mots, des couleurs ou des formes,
a souvent pris la place de bien meilleur remord.
Le monde est ainsi fait, et moi je n'y peut rien,
A pars peut être parlé, de se qui va pas bien.
Regardé cet enfant qui va naitre demain,
Lui a t on demandé, lui, ce qui l'en pensé,
de se retrouvé la, dans ce monde incertain,
ou on lui laisse à peine, sa pars de pain!
tous va à vau lot, et de moins en moins bien.
Laisser dont les enfants au cieux de notre vie,
ne mettez pas au monde, les esclave de demain.
Cette génération, est surement la dernière,
qui verra notre terre disparaître en poussière.
A moins, et je l'espère au plus profond de moi,
que, ces petits êtres de lumière,
choisissent une autre voie, que celle de leurs anciens,
Qu'ils fassent de ce monde un merveilleux refrain.
A tous les futures bb
Je laisse au bien plus désirable,
le champ libre de mes frustrations,
La porte des promesses, à bien souvent claquée,
mais le vents du chagrin à cesser de soufflé.
L'intolérance des mots, des couleurs ou des formes,
a souvent pris la place de bien meilleur remord.
Le monde est ainsi fait, et moi je n'y peut rien,
A pars peut être parlé, de se qui va pas bien.
Regardé cet enfant qui va naitre demain,
Lui a t on demandé, lui, ce qui l'en pensé,
de se retrouvé la, dans ce monde incertain,
ou on lui laisse à peine, sa pars de pain!
tous va à vau lot, et de moins en moins bien.
Laisser dont les enfants au cieux de notre vie,
ne mettez pas au monde, les esclave de demain.
Cette génération, est surement la dernière,
qui verra notre terre disparaître en poussière.
A moins, et je l'espère au plus profond de moi,
que, ces petits êtres de lumière,
choisissent une autre voie, que celle de leurs anciens,
Qu'ils fassent de ce monde un merveilleux refrain.
A tous les futures bb
