Au soleil du devoir,
(pastiche)
Dans l'immense clarté de l'univers géant,
Cette corde nous retient toujours nos envies,
Dans la joie et la puissante de mes cadeaux d'avant,
Allant d'hier au lendemain, je m'encombre de tes écrits.
Tendre à la gloire d'être libre dans notre belle France,
Qu'elle est cette notion de notable qui s'inscrit ?
Ce n'est seulement que cette sombre indifférence,
Les yeux ouverts, demain me reposer, pour toi, fleur, pardi !
Te reste-t-il encore de belles finesses sans que tu te fâches ?
Car ceux qui se gourent derrière ne sont jamais à la tâche,
Qu'encombre ce devoir de demain qui te semble,
Un quatrain que j'adore avec des vers qui te ressemblent.
Parce que, je peux te dire que pour tous ces moments,
Il doit te rester l'amour partagé en faste de bonheur,
Ce regain ne peux être arrêté par quelques déplaisants,
Compliment aujourd'hui pour ce cri sans erreur.
(pastiche)
Dans l'immense clarté de l'univers géant,
Cette corde nous retient toujours nos envies,
Dans la joie et la puissante de mes cadeaux d'avant,
Allant d'hier au lendemain, je m'encombre de tes écrits.
Tendre à la gloire d'être libre dans notre belle France,
Qu'elle est cette notion de notable qui s'inscrit ?
Ce n'est seulement que cette sombre indifférence,
Les yeux ouverts, demain me reposer, pour toi, fleur, pardi !
Te reste-t-il encore de belles finesses sans que tu te fâches ?
Car ceux qui se gourent derrière ne sont jamais à la tâche,
Qu'encombre ce devoir de demain qui te semble,
Un quatrain que j'adore avec des vers qui te ressemblent.
Parce que, je peux te dire que pour tous ces moments,
Il doit te rester l'amour partagé en faste de bonheur,
Ce regain ne peux être arrêté par quelques déplaisants,
Compliment aujourd'hui pour ce cri sans erreur.