Quand l’ange qui git en moi se retourne et s’envole sans jamais revenir
J’aperçois en moi cette lumière rouge qui brille sans jamais dépérir
Une tête qui se baisse et le sanglot qui commence à trahir
Les doux soupçons que je pouvais un jour lui offrir
Des plumes tombent en bas de la falaise où je le vois mourir
La trahison n’a d’autres pêchés que la lâcheté
Et au moment inopportun où le corps se lance au souhait
De vouloir changer de camp, il voit la vie échouer
La masse tombe au rythme des sanglots désespérés.
Il lui avait pourtant avoué qu’il l’aimait…
La flamme lui tourne dangereusement le dos
Et il fuit, il pleure, hurle de grossiers mots
Il aurait aimé être dans ses bras, bien au chaud
Mais chaque envie s’envole au rythme des sanglots
Ce n’est jamais exactement ce qu’il lui faut
Gentil garçon au bord d’un lac imaginaire
Jolie marée jouissant en bordure d’air
Prenez soin de lui comme une véritable mère
Car jamais l’attention n’a été chère
Car jamais le bonheur n’a été père
Le corps et l’âme finalement plongés dans le noir
Plaisantaient d’un amour qui n’a été que dérisoire
Se terminant quand il n’a plus pû y croire
Sa vie n’a jamais été autre chose qu’un rasoir
Tranchant chacun de ses jours comme l’abattoir
Qui tranquillement s’en alla au rythme des sanglots…
J’aperçois en moi cette lumière rouge qui brille sans jamais dépérir
Une tête qui se baisse et le sanglot qui commence à trahir
Les doux soupçons que je pouvais un jour lui offrir
Des plumes tombent en bas de la falaise où je le vois mourir
La trahison n’a d’autres pêchés que la lâcheté
Et au moment inopportun où le corps se lance au souhait
De vouloir changer de camp, il voit la vie échouer
La masse tombe au rythme des sanglots désespérés.
Il lui avait pourtant avoué qu’il l’aimait…
La flamme lui tourne dangereusement le dos
Et il fuit, il pleure, hurle de grossiers mots
Il aurait aimé être dans ses bras, bien au chaud
Mais chaque envie s’envole au rythme des sanglots
Ce n’est jamais exactement ce qu’il lui faut
Gentil garçon au bord d’un lac imaginaire
Jolie marée jouissant en bordure d’air
Prenez soin de lui comme une véritable mère
Car jamais l’attention n’a été chère
Car jamais le bonheur n’a été père
Le corps et l’âme finalement plongés dans le noir
Plaisantaient d’un amour qui n’a été que dérisoire
Se terminant quand il n’a plus pû y croire
Sa vie n’a jamais été autre chose qu’un rasoir
Tranchant chacun de ses jours comme l’abattoir
Qui tranquillement s’en alla au rythme des sanglots…