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Au nom du ciel !

lilasys

Maître Poète
#1
Au nom du ciel !

Il y a ces berceaux qui paraissent familiers!
Comme si l'âme prestige à ne jamais mourir
Comme si un cœur alloue un autre soupir
Entre les lignes elle adopte la marche d'escalier

Etrange drame que celui de ne pas oublier
Des instants de bonheur à la lumière du zephyr
Le temps de vivre et ne point se trahir
Quel vent feuillette la vie à s'en noyer?

Quelles questions ont la capacité d' apprendre?
Le ciel présage bien des mots sans fin
Des jours de pluie, des jours où la faim
N'est plus un discours au regard de cendre

......lilasys
 

Luron2ème

membre du staff
#2
Au son du fiel !

Il y a des verts sots qui paraissent singuliers !
Comme si l'arme sert toujours pour mourir,
Comme si une peur alloue d’autres soupirs,
Tant les signes qu’ils adoptent semblent familiers.

Etrange drame qu’il ne faut jamais oublier,
Ces instants de malheur sans la lumière pour adoucir,
Où le temps de vivre est de ne point se trahir,
Souvent baïonnette donne l’envie de guerroyer .


De l’abolition, ils ont l’incapacité de comprendre,
Le fiel présage bien des maux sans fin,
Des jours d’ennuis, des tours toujours, enfin !
C'est plus un parcours que d’égards à pendre.
 

lilasys

Maître Poète
#4
Au son du fiel !

Il y a des verts sots qui paraissent singuliers !
Comme si l'arme sert toujours pour mourir,
Comme si une peur alloue d’autres soupirs,
Tant les signes qu’ils adoptent semblent familiers.


Etrange drame qu’il ne faut jamais oublier,
Ces instants de malheur sans la lumière pour adoucir,
Où le temps de vivre est de ne point se trahir,
Souvent baïonnette donne l’envie de guerroyer .


De l’abolition, ils ont l’incapacité de comprendre,
Le fiel présage bien des maux sans fin,
Des jours d’ennuis, des tours toujours, enfin !
C'est plus un parcours que d’égards à pendre.
Merci