Au large des rêves
Abandonné dans mes pensées, je fixe la nature assoupie,
Le cœur vidé, je perds ma respiration malgré mes efforts,
De verser une pluie fine tels des fragiles perles sur ma pâleur,
Même si ces quelques minutes furent beaucoup trop brèves,
Le vent se lève et offre ses caresses sur ma peau d’amour,
Les éclats des rayons dorés du soleil brillent aux grès du ciel,
Ceux-là me font cligner et fermer mi-clos mes paupières,
Je m’évade aux cœurs de mes chimères, où tout est permis,
Tout ce qui m’entoure m’offre à souhait tellement de confort,
Sentant mon regard effleurer tout ce qu’il croise, il offre sa chaleur,
Les sensations qui prennent mon corps sont sans trêve,
D’un mélange de sentiments, je sens que mon cœur est lourd,
Promenant mon regard entre les horizons et les gratte-ciels,
Cela me permet de me laisser porter par des rêves éphémères,
De ces rêves, je me réveille et dans un souffle court, je frémis,
Doucement, je déambule la mine au vent, entre ces jolis décors,
Lors d’un geste furtif, j’essuie sur ma joue quelques pleurs,
Peu à peu, je sors et renais presque de mon propre rêve.
Abandonné dans mes pensées, je fixe la nature assoupie,
Le cœur vidé, je perds ma respiration malgré mes efforts,
De verser une pluie fine tels des fragiles perles sur ma pâleur,
Même si ces quelques minutes furent beaucoup trop brèves,
Le vent se lève et offre ses caresses sur ma peau d’amour,
Les éclats des rayons dorés du soleil brillent aux grès du ciel,
Ceux-là me font cligner et fermer mi-clos mes paupières,
Je m’évade aux cœurs de mes chimères, où tout est permis,
Tout ce qui m’entoure m’offre à souhait tellement de confort,
Sentant mon regard effleurer tout ce qu’il croise, il offre sa chaleur,
Les sensations qui prennent mon corps sont sans trêve,
D’un mélange de sentiments, je sens que mon cœur est lourd,
Promenant mon regard entre les horizons et les gratte-ciels,
Cela me permet de me laisser porter par des rêves éphémères,
De ces rêves, je me réveille et dans un souffle court, je frémis,
Doucement, je déambule la mine au vent, entre ces jolis décors,
Lors d’un geste furtif, j’essuie sur ma joue quelques pleurs,
Peu à peu, je sors et renais presque de mon propre rêve.