Au fond d'une boîte de physique. (D’après Au son d’une boîte à musique de Lilasys)
L’envie n’explose plus mes gourdes soupières,
Seule ma sœur débat haut les cendres du soupir,
Je déballe la boîte de physique pour ce rien éphémère,
Et la grande expérience détourne et survole tes sourires.
« je me souviens de ce présent qui est inestimable,»
Celui qui berçait les courroies et les jeux alcalins,
Je décompte les désirs comme elle compte ses bagues,
Quand le mélo dit et dérouille son carmin.
J’ai surpris l’affinage et tu ressens ma garigue,
Le détour merveille en ce coffret est plus que d’allégresse,
Mais il faut que l’envie soit douces sans intrigue,
Vers les vieux chanteurs qui réveillent les prouesses.
Elle décèle le concret à admettre, une sœur exhalée,
Tout ce qui se fouit en rond est ma foi en conseiller,
Ces riens délicieux font l’humour à petites doses,
Pour celui qui rit toujours, seul ma sœur les nuits indispose....
Au son d'une boîte à musique
La nuit ne pose plus mes lourdes paupières
Seul mon cœur bat Ô tendres souvenirs
J’entrebâille la boîte à musique ce lien avec ma mère
Et la petite danseuse étoile tourne et vole mes soupirs
Je me souviens de ce présent qui est inestimable
Celui qui berce tant de joies et tant de chagrins
Elle compte les rires , elle conte des blagues
Quand la mélodie s'enrouille à mi chemin
Elle a pris de l'âge et je ressens sa fatigue
Le velours vermeil de ce coffret n'est plus de toute jeunesse
Mais il fait que me nuits soient douces et naviguent
Vers ces lieux enchanteurs qui sommeillent Ô tristesse
Elle recèle mes secrets , une lettre , une fleur parfumée
Tout ce qui s'enfouit au fond de soi reste éveiller
Les biens les plus précieux fait d'amour ; d'ecchymoses
Tout ce qui ne se dit jamais ,seul le cœur un jour en dispose....
LILASYS....
L’envie n’explose plus mes gourdes soupières,
Seule ma sœur débat haut les cendres du soupir,
Je déballe la boîte de physique pour ce rien éphémère,
Et la grande expérience détourne et survole tes sourires.
« je me souviens de ce présent qui est inestimable,»
Celui qui berçait les courroies et les jeux alcalins,
Je décompte les désirs comme elle compte ses bagues,
Quand le mélo dit et dérouille son carmin.
J’ai surpris l’affinage et tu ressens ma garigue,
Le détour merveille en ce coffret est plus que d’allégresse,
Mais il faut que l’envie soit douces sans intrigue,
Vers les vieux chanteurs qui réveillent les prouesses.
Elle décèle le concret à admettre, une sœur exhalée,
Tout ce qui se fouit en rond est ma foi en conseiller,
Ces riens délicieux font l’humour à petites doses,
Pour celui qui rit toujours, seul ma sœur les nuits indispose....
Au son d'une boîte à musique
La nuit ne pose plus mes lourdes paupières
Seul mon cœur bat Ô tendres souvenirs
J’entrebâille la boîte à musique ce lien avec ma mère
Et la petite danseuse étoile tourne et vole mes soupirs
Je me souviens de ce présent qui est inestimable
Celui qui berce tant de joies et tant de chagrins
Elle compte les rires , elle conte des blagues
Quand la mélodie s'enrouille à mi chemin
Elle a pris de l'âge et je ressens sa fatigue
Le velours vermeil de ce coffret n'est plus de toute jeunesse
Mais il fait que me nuits soient douces et naviguent
Vers ces lieux enchanteurs qui sommeillent Ô tristesse
Elle recèle mes secrets , une lettre , une fleur parfumée
Tout ce qui s'enfouit au fond de soi reste éveiller
Les biens les plus précieux fait d'amour ; d'ecchymoses
Tout ce qui ne se dit jamais ,seul le cœur un jour en dispose....
LILASYS....