Je voudrais les voir grandir,
Dans leurs mains, ils sont petits,
Pour décider de l’avenir,
Ont-ils encore un avis?
Il y a des panses,
Qui sont révoltés,
Mais l’état nie la violence,
Il y a des fonds,
Qui nous sont volés,
Personne n’est pris pour un con.
J’avais pas grand-chose à dire,
Leur arrogance est ainsi,
Je voudrais pas les maudire,
Mais ils me pourrissent la vie.
Il y a des cœurs,
Qui meurts tous les jours,
Et ainsi née la rancœur,
Il y a l’argent, au sommet des tours,
Mort sans même être né,
Et c’est triste à pleurer.
Dans leurs mains, ils sont petits,
Pour décider de l’avenir,
Ont-ils encore un avis?
Il y a des panses,
Qui sont révoltés,
Mais l’état nie la violence,
Il y a des fonds,
Qui nous sont volés,
Personne n’est pris pour un con.
J’avais pas grand-chose à dire,
Leur arrogance est ainsi,
Je voudrais pas les maudire,
Mais ils me pourrissent la vie.
Il y a des cœurs,
Qui meurts tous les jours,
Et ainsi née la rancœur,
Il y a l’argent, au sommet des tours,
Mort sans même être né,
Et c’est triste à pleurer.
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