Astres poussières
Plus d'un milliard d'année, que je l'ai rencontrée,
La suivant dans l'espace, sans me mettre à sa place,
Une filante étoilée, mais jamais déplacée,
De son orbite place, n'en bougeant ni dépasse.
Ne brillant pourtant point, préférant le retrait,
Se noyant dans la masse, loin de toutes lueurs
Elle aspirait au calme, ignorant les regrets,
Au sentiment palpable, d'un souffle de douceur
Plus d'un million d'année, je lui ai psalmodié,
Paroles de furie, tu demeures mon amie,
Nous sommes l'allégorie, source de l'infini,
Ton astre me paraît, bien plus enluminé.
Plus d'un million d'année, sur lui je peux compter,
Et malgré nos travers et nos mots mal pensés,
Il reste ma bouffée d'air, un ami escompté,
Un être de lumière, une rencontre insensée.
Ne manquant d'une d'année, pouvoir la subjuguer,
Imager un visage, tout droit sortit des âges,
Sur la dernière planète pouvant me rendre esthète,
Au delà de l'image, viens, je t'offre ma plage.
Phoeube, Matthale ©(07/06/2018)
Plus d'un milliard d'année, que je l'ai rencontrée,
La suivant dans l'espace, sans me mettre à sa place,
Une filante étoilée, mais jamais déplacée,
De son orbite place, n'en bougeant ni dépasse.
Ne brillant pourtant point, préférant le retrait,
Se noyant dans la masse, loin de toutes lueurs
Elle aspirait au calme, ignorant les regrets,
Au sentiment palpable, d'un souffle de douceur
Plus d'un million d'année, je lui ai psalmodié,
Paroles de furie, tu demeures mon amie,
Nous sommes l'allégorie, source de l'infini,
Ton astre me paraît, bien plus enluminé.
Plus d'un million d'année, sur lui je peux compter,
Et malgré nos travers et nos mots mal pensés,
Il reste ma bouffée d'air, un ami escompté,
Un être de lumière, une rencontre insensée.
Ne manquant d'une d'année, pouvoir la subjuguer,
Imager un visage, tout droit sortit des âges,
Sur la dernière planète pouvant me rendre esthète,
Au delà de l'image, viens, je t'offre ma plage.
Phoeube, Matthale ©(07/06/2018)
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