ANGOISSES ET DESESPOIR
Mon cœur palpite, mes angoisses ressurgissent.
J’en ai assez de l’entendre battre aussi fort.
Elles m’envahissent sans raison,
Me consume comme du poison.
Je fume pour me calmer,
Mais cela ne fait que l’accélérer.
Je ne les maîtrise pas,
Je ne les contrôle pas.
Mes angoissent m’angoisse.
Cela peut sembler dérisoire.
Jour après jour mon cœur s’affaiblit,
C’est pour moi une question de survie,
De pouvoir le calmer,
Pour le laisser m’aimer.
Prendre une grande inspiration,
Pour un peu de relaxation.
Me laisser glisser doucement,
Dans une plénitude apparente.
Je rêve parfois qu’il s’arrête,
Et me laisse mourir en paix.
Mais la vie me répète,
Que je ne le pourrais.
Ce n’est pas à moi de décider,
A quel moment je dois y aller.
Laisser les anges prendre mon âme,
Sans que personne ne la réclame.
J’avoue … J’ai peur de la vie,
Et pourtant je ne vie qu’en survie.
Je suis encore une enfant,
Malgré mes 33 ans ;
J’aimerais me réfugier dans le ventre de ma mère,
Comme je le fus naguère.
L’insouciance de mon adolescence,
Fut brisée par ta naissance.
Mais tout l’amour que tu m’as apporté,
M’a rempli de joie et de gaieté.
Je n’avais pas vu que tu avais grandi,
Et que tu étais bientôt prêt à faire ta vie.
Cela me peine beaucoup,
Mais t’inquiète … Je tiendrai le coup.
Si j’avais pu, tu aurais eu une sœur,
Que tu aurais porté dans ton cœur.
Car je sais que le petit ange que j’ai élevé
Est plein d’amour et de générosité.
Toi, mon fils, tu es la source de mes espoirs,
Sans toi je vivrais dans le noir.
Car tu es une partie de moi,
Et je suis une partie de toi.
Mon corps n’est pas si fragile,
Je suis juste un peu fébrile.
Garder l’espoir en l’avenir,
Avancer et m’épanouir.
La morale de mon histoire
Est de ne pas perdre espoir.
M’affirmer en tant que femme,
Et surtout garder la flamme.
Etre aimée à la folie,
Faire battre mon cœur pour lui.
Le laisser me consumer,
Par un tendre baiser.
Mon cœur palpite, mes angoisses ressurgissent.
J’en ai assez de l’entendre battre aussi fort.
Elles m’envahissent sans raison,
Me consume comme du poison.
Je fume pour me calmer,
Mais cela ne fait que l’accélérer.
Je ne les maîtrise pas,
Je ne les contrôle pas.
Mes angoissent m’angoisse.
Cela peut sembler dérisoire.
Jour après jour mon cœur s’affaiblit,
C’est pour moi une question de survie,
De pouvoir le calmer,
Pour le laisser m’aimer.
Prendre une grande inspiration,
Pour un peu de relaxation.
Me laisser glisser doucement,
Dans une plénitude apparente.
Je rêve parfois qu’il s’arrête,
Et me laisse mourir en paix.
Mais la vie me répète,
Que je ne le pourrais.
Ce n’est pas à moi de décider,
A quel moment je dois y aller.
Laisser les anges prendre mon âme,
Sans que personne ne la réclame.
J’avoue … J’ai peur de la vie,
Et pourtant je ne vie qu’en survie.
Je suis encore une enfant,
Malgré mes 33 ans ;
J’aimerais me réfugier dans le ventre de ma mère,
Comme je le fus naguère.
L’insouciance de mon adolescence,
Fut brisée par ta naissance.
Mais tout l’amour que tu m’as apporté,
M’a rempli de joie et de gaieté.
Je n’avais pas vu que tu avais grandi,
Et que tu étais bientôt prêt à faire ta vie.
Cela me peine beaucoup,
Mais t’inquiète … Je tiendrai le coup.
Si j’avais pu, tu aurais eu une sœur,
Que tu aurais porté dans ton cœur.
Car je sais que le petit ange que j’ai élevé
Est plein d’amour et de générosité.
Toi, mon fils, tu es la source de mes espoirs,
Sans toi je vivrais dans le noir.
Car tu es une partie de moi,
Et je suis une partie de toi.
Mon corps n’est pas si fragile,
Je suis juste un peu fébrile.
Garder l’espoir en l’avenir,
Avancer et m’épanouir.
La morale de mon histoire
Est de ne pas perdre espoir.
M’affirmer en tant que femme,
Et surtout garder la flamme.
Etre aimée à la folie,
Faire battre mon cœur pour lui.
Le laisser me consumer,
Par un tendre baiser.