L'angoisse envahi mon corps,
L'envie incruste mes pensées
Tôt ce soir je m'endors,
Pour effacer cette journée.
L'aube apparaît au loin
Je me réveille éteint
Terrassé par la veille
Je bois ma bouteille.
L'angoisse envahi mon corps,
De bon matin je suis par terre,
Assommé par ma guerre,
Je ne retiens aucun efforts.
Après tant d'années d'avancer,
Je revoit tout mon passé
Où la vie ma traversé,
Où mon histoire ma marqué,
L'envie incruste mes pensées,
De prendre ma douleur,
D'oublier tout mes coeurs
Qui mon été gagné.
La journée continue de passer,
Je m'enfonce dans ma perte,
Pense à monter sur cette crête,
Pour finir en toute beauté.
Tôt le soir je pense,
Respire, décompense,
Je suis encore vivant,
Ce n'était pas le moment.
Je n'ai pas effacer la journée,
Cela ce répète en boucle,
Ce soir dans mon lit je m'enroule,
En espérant un lendemain ensoleillé.
L'envie incruste mes pensées
Tôt ce soir je m'endors,
Pour effacer cette journée.
L'aube apparaît au loin
Je me réveille éteint
Terrassé par la veille
Je bois ma bouteille.
L'angoisse envahi mon corps,
De bon matin je suis par terre,
Assommé par ma guerre,
Je ne retiens aucun efforts.
Après tant d'années d'avancer,
Je revoit tout mon passé
Où la vie ma traversé,
Où mon histoire ma marqué,
L'envie incruste mes pensées,
De prendre ma douleur,
D'oublier tout mes coeurs
Qui mon été gagné.
La journée continue de passer,
Je m'enfonce dans ma perte,
Pense à monter sur cette crête,
Pour finir en toute beauté.
Tôt le soir je pense,
Respire, décompense,
Je suis encore vivant,
Ce n'était pas le moment.
Je n'ai pas effacer la journée,
Cela ce répète en boucle,
Ce soir dans mon lit je m'enroule,
En espérant un lendemain ensoleillé.