Je tire ma révérance, à dame la nature
Pour cette création d’homme, et de loin la plus pure
Demoiselle au teint pâle, et aux cheveux aubruns
Elle a conquit mon cœur, moi je convoite le sien
Porté,je l’espère,par un vent de bohème
Je m’avancerai vers elle,en lisant ce poème
Les yeux dans les yeux,son regard dans le mien
Tu ne sais que dire,moi j’ai l’air malin
Et quand le soleil,demain,aura repris sa place
Et qu’au froid matinal,le brouillard en ami sera là
Mon cœur qui saigne,puis casse.
C’est une fin triste,que ta possible réaction
Le pire un silence, comme toile de fond
Tombe déchéance,sur mon appréhension
Pour cette création d’homme, et de loin la plus pure
Demoiselle au teint pâle, et aux cheveux aubruns
Elle a conquit mon cœur, moi je convoite le sien
Porté,je l’espère,par un vent de bohème
Je m’avancerai vers elle,en lisant ce poème
Les yeux dans les yeux,son regard dans le mien
Tu ne sais que dire,moi j’ai l’air malin
Et quand le soleil,demain,aura repris sa place
Et qu’au froid matinal,le brouillard en ami sera là
Mon cœur qui saigne,puis casse.
C’est une fin triste,que ta possible réaction
Le pire un silence, comme toile de fond
Tombe déchéance,sur mon appréhension