L'Amour, l'Amour et rien que l'Amour,
Vous passez votre temps, votre vie, à lui courir après,
Votre existence est axée sur cet être si sourd,
N'avez-vous pas remarqué, que lorsque vous l'appelez,
Il ne vous répond presque jamais ou très peu?
L'amour aime s'amuser, Mortel! Accordez-lui ce peu.
J'ai pris mes distances, ayant compris que son jeu était dangereux,
J'ai l'habitude de mouiller mon coeur, afin qu'il ne prenne feu,
Et vous osez me critiquer, pour vous j'ai un coeur de pierre,
Mais savez-vous ce que j'ai vécu? Les souffrances que j'ai subi hier?
Critiqué car je ne passe pas mon temps à écrire des poèmes à l'eau de rose,
Critiqué car depuis longtemps j'ai arrêté d'espérer à cette stupide osmose,
Malgré vos remarques ridicules, je ne rebrousse pas chemin,
Je ne change et ne changerai jamais. Du début à la fin,
Mes poèmes diront quelque chose de concrèt et j'ai une question,
Pensez-vous que balancer des je t'aime amélioreront vos vies? J'en doute fortement,
L'amour est éphémère, aujourd'hui je t'aime, et demain que dit-on?
" Je ne t'aurais jamais cru capable de.. , je te déteste..." Mais je t'aime,
Tu ne sais pas ce que tu veux, tes nuits tu les passes en pleurant.
Et vous voulez que je sois comme ça, que je parle d'amour dans mes poèmes?
Que j'appelle tous les Dieux afin qu'ils berçent mon coeur de ce doux sentiment?
Jamais. Je vous laisse le faire, continuer, avancer et vous faire des illusions,
Car moi il y a bien longtemps que j'ai abandonné l'Amour et ses tourments,
Dans l'ombre, je cherche des vers, des rimes, je prépare ma révolution,
Cette révolution a été commanditée par tout ce qui souhaite de tout coeur,
Qui me le répète sans cesse et éxige dans vos poèmes une évolution,
Ce classique je l'ai écrit, car je suis le messager de cette population,
Qui depuis toujours, est persuadée qu'Amour ne rime pas avec Bonheur.
Vous passez votre temps, votre vie, à lui courir après,
Votre existence est axée sur cet être si sourd,
N'avez-vous pas remarqué, que lorsque vous l'appelez,
Il ne vous répond presque jamais ou très peu?
L'amour aime s'amuser, Mortel! Accordez-lui ce peu.
J'ai pris mes distances, ayant compris que son jeu était dangereux,
J'ai l'habitude de mouiller mon coeur, afin qu'il ne prenne feu,
Et vous osez me critiquer, pour vous j'ai un coeur de pierre,
Mais savez-vous ce que j'ai vécu? Les souffrances que j'ai subi hier?
Critiqué car je ne passe pas mon temps à écrire des poèmes à l'eau de rose,
Critiqué car depuis longtemps j'ai arrêté d'espérer à cette stupide osmose,
Malgré vos remarques ridicules, je ne rebrousse pas chemin,
Je ne change et ne changerai jamais. Du début à la fin,
Mes poèmes diront quelque chose de concrèt et j'ai une question,
Pensez-vous que balancer des je t'aime amélioreront vos vies? J'en doute fortement,
L'amour est éphémère, aujourd'hui je t'aime, et demain que dit-on?
" Je ne t'aurais jamais cru capable de.. , je te déteste..." Mais je t'aime,
Tu ne sais pas ce que tu veux, tes nuits tu les passes en pleurant.
Et vous voulez que je sois comme ça, que je parle d'amour dans mes poèmes?
Que j'appelle tous les Dieux afin qu'ils berçent mon coeur de ce doux sentiment?
Jamais. Je vous laisse le faire, continuer, avancer et vous faire des illusions,
Car moi il y a bien longtemps que j'ai abandonné l'Amour et ses tourments,
Dans l'ombre, je cherche des vers, des rimes, je prépare ma révolution,
Cette révolution a été commanditée par tout ce qui souhaite de tout coeur,
Qui me le répète sans cesse et éxige dans vos poèmes une évolution,
Ce classique je l'ai écrit, car je suis le messager de cette population,
Qui depuis toujours, est persuadée qu'Amour ne rime pas avec Bonheur.