J'ai vu cette volupté qui naquit
Perça le silence de mes sentiments d'un grand cris
Réveillant les envies endormies
Les espérances que la solitude a taris.
Depuis longtemps je pleurs les amours qui ont péri
De la douleur mon cœur s'était épris
Et s'effondrait sur les ruines des bonheurs détruits.
Puis tu m'as montré l'aube qui fleurit
Ses rayons d'or bourgeonnant dans le ciel de nuit
Réchauffant les arbres qui par le froid étaient engourdis
Le soleil qui s'exhiba dans la fraicheur enhardie
Par le début de l'automne, l'été qui s'évanouie
La beauté des couleurs rougeâtres, le ciel gris
Des temps pour s'aimer dans la chaleur de notre lit.
Merci de votre lecture,
Au plaisir de vous écrire
I.
Perça le silence de mes sentiments d'un grand cris
Réveillant les envies endormies
Les espérances que la solitude a taris.
Depuis longtemps je pleurs les amours qui ont péri
De la douleur mon cœur s'était épris
Et s'effondrait sur les ruines des bonheurs détruits.
Puis tu m'as montré l'aube qui fleurit
Ses rayons d'or bourgeonnant dans le ciel de nuit
Réchauffant les arbres qui par le froid étaient engourdis
Le soleil qui s'exhiba dans la fraicheur enhardie
Par le début de l'automne, l'été qui s'évanouie
La beauté des couleurs rougeâtres, le ciel gris
Des temps pour s'aimer dans la chaleur de notre lit.
Merci de votre lecture,
Au plaisir de vous écrire
I.