J’aimerais m’arrêter aux berges de tes yeux
Où tes sourires sont éternels
Mais, tes mots restent silencieux
Et je vis au conditionnel.
Ta magie des mots, ta poésie,
Ont fait ressurgir en moi
Des sentiments oubliés. Une folie
De vouloir ne fut-ce que tes bras.
Au crépuscule de ma jeunesse,
Brûle encore en moi le feu du désir.
Je me damnerais pour en peu de tendresse
Mais la peur d’aimer me déchire.
Il est plus aisé d’être sage
Que de se lancer vers l’inconnu.
Libérer mon cœur de sa cage
Serait mettre mon âme à nu.
Cet amour qui n’est pas né
Déjà s’en va mourir.
Mais entre nous l’amitié
Ne pourra que grandir
Où tes sourires sont éternels
Mais, tes mots restent silencieux
Et je vis au conditionnel.
Ta magie des mots, ta poésie,
Ont fait ressurgir en moi
Des sentiments oubliés. Une folie
De vouloir ne fut-ce que tes bras.
Au crépuscule de ma jeunesse,
Brûle encore en moi le feu du désir.
Je me damnerais pour en peu de tendresse
Mais la peur d’aimer me déchire.
Il est plus aisé d’être sage
Que de se lancer vers l’inconnu.
Libérer mon cœur de sa cage
Serait mettre mon âme à nu.
Cet amour qui n’est pas né
Déjà s’en va mourir.
Mais entre nous l’amitié
Ne pourra que grandir